Overblog
Suivre ce blog Administration + Créer mon blog
2 juin 2017 5 02 /06 /juin /2017 00:25

Ne pouvant dormir après avoir vu cette vidéo, il m'a fallu me résigner à sortir de mon lit pour la mettre en ligne sur votre blog. Elle montre des jeunes Congolais arrêtés du simple fait qu'il sont des Bakongos - certainement au bord de la route comme on le constate dans la vidéo. On entend clairement un milicien de l'ethnie-Etat dire : "On va vous tuer. To ko barrer bino".

Si nous n'étions pas dans une démarche génocidaire, on aurait pu chercher à les amener devant le juge, devant l'accusateur par procuration, on aurait tout fait pour  prouver leur appartenance aux ninjas nsiloulou du Général Ntumi avant de les juger et de les condamner - puisque la peine de mort n'existe pas au Congo-Brazzaville. Or, nous constatons qu'ici, il s'agit juste de combler une frustration devant l'incapacité de la faiblesse publique d'arrêter de vrais ninjas nsiloulou car ces jeunes gens n'ont pas d'armes - contrairement aux vrais ninjas nsiloulou. Les sévices que certains d'entre eux ont subis, le fait qu'un jeune homme est totalement dénudé, montrent qu'il s'agit ici, de les humilier, de venger les soldats morts au champ de bataille car nous voyons bien que les ninjas nsiloulou ne s'en prennent qu'aux miliciens de la faiblesse publique et non aux simples citoyens. Les ordres ne sont décidément pas les mêmes ici ou là.

Si les ninjas nsiloulou sont en situation de légitime défense quand ils prennent la vie de leurs assaillants, dans cette vidéo, nous constatons que les jeunes arrêtés le sont simplement parce qu'ils sont Bakongo. C'est donc bien la preuve d'un génocide planifié. Leur appartenance aux ninjas nsiloulou n'est pas prouvée même si on leur pose des questions car leurs réponses sont conditionnées par la peur - juste pour faire illusion devant la caméra.

Cette vidéo pourra demain être présentée à la Cour Pénale Internationale car ces jeunes gens, il est à peu près sûr qu'à l'heure où j'écris ces mots, ont déjà été assassinés. Il y a d'un côté des hommes qui luttent contre une armée avec un code de l'honneur et de l'autre, des mercenaires et assassins qui tuent tout Mukongo valide ou non valide du simple fait de son appartenance ethnique. C'est du terrorisme d'Etat, un génocide, un holocauste visant exclusivement tout Mukongo car il est impossible de distinguer le bon Mukongo du mauvais. Le crime, ici, c'est d'être un Mukongo. Dans ce cas, tous sont mauvais ; il faut s'en débarrasser. Dans le doute, tuer. Dans le soupçon, tuer. Même sans raison, tuer. Le Mukongo est déjà condamné à mort parce que Mukongo par l'homme qui détient le permis James 007 de tuer dans l'impunité absolue. C'est un scandale pire que celui de la disparition du Beach car on s'efforce de faire disparaître le génome kongo. Si tout ceci est à cause d'un hypothétique coltan, nous refuserons demain que ce coltan du sang soit vendu à ceux qui nous ont regardé mourir.

Attendez, nous ne sommes pas aussi aveugles ! Non, nous savons distinguer une opération de police où l'on veut arrêter des gens dûment identifiés d'une guerre qui oppose deux armées ou d'un génocide planifié dont le but est d'éradiquer une catégorie de la population à cause de sa spécificité identitaire et culturelle. Ntumi n'est qu'un prétexte.

Nous gardons jalousement cette vidéo pour demain la soumettre à la CPI. Voilà la preuve du génocide au travers des rafles des Bakongo, surtout des jeunes Bakongo. Si le milicien se permet devant les caméras de dire : "on va vous tuer", c'est qu'ils ont reçu l'ordre de tuer pour tuer. Le crime de ces jeunes gens ? Etre des Bakongo. C'est donc un génocide planifié de longue date. Le monde finira par prendre conscience de ce qui se passe dans ce pays avant que tous les Bakongo ne soient massacrés. Non, une opération de police qui rase les villages, qui tue tout Mukongo sans distinction d'âge et de sexe, n'en est pas une mais un crime contre l'humanité. Le Pool n'est qu'une étape dans cette nazification de l'ethnie-Etat qui veut réduire la population kongo a son expression la plus insignifiante. C'est une guerre de nivellement démographique, un prolongement en pire de l'opération Mouébara. Pendant que le monde détourne son regard du torrent de sang qui coule dans mon pays, Denis Sassou Nguesso efface toute une région de la carte. Que des nègres massacrent des nègres fait l'affaire des barbares "civilisés" qui vendent des armes aux barbares sans humanité du tout. La récolte du coltan vaut bien cela.

Ces jeunes gens ne seront pas présentés à Toto Ngakala qui laisse tranquilles les terroristes mbochis appelés " Bébés noirs" qui massacrent les populations à l'arme blanche, tuent, violent - alors que les troubles du 4 avril 2016 n'ont causé aucune perte humaine ; ce qui n'a pourtant pas empêché qu'on déclenche le recueil du sang et des larmes des autres - c'est-à-dire, des larmes et du sang kongo.

Cet holocauste des Bakongo qu'on tue parce que Bakongo doit faire l'objet demain d'un jugement international à l'instar du jugement de Nuremberg. Hitler n'est pas mort ; il vit au Congo sous un masque mbochi. Ce n'est pas une réincarnation mais une trans-épidermisation, une possession, une métempsychose. La peau est nègre mais la haine et la soif de sang sont bien d'Hitler... Mes mots ne sont pas assez proches de la réalité. En tout cas, le démon nazi qui a fait Hitler est bien au Congo où il fait la pêche au bord de l'Alima.

Je suis un Mukongo comme je suis un Mbochi car je suis Congolais, la nationalité m'associant à tous mes autres compatriotes en transcendant toutes les différences. Je déplore la mort de tout citoyen de mon pays - même ceux qui meurent des balles de ceux qui se défendent contre une soldatesque criminelle. Mais là, dans cette situation-là où la justice a disparu, où les miliciens du régime se donnent du courage en tuant des hommes désarmés sans défense, je pousse un cri d'alarme, j'appelle le monde à l'aide car si certains s'estiment développés ou civilisés et acceptent ce qui se passe dans le Pool sans ciller, alors ce monde est entre les mains de monstres inhumains qui veulent faire disparaître ce qui reste d'êtres humains véritables.

Depuis le commencement des temps historiques, la différence tue. Elle tuait pour conquérir, pour piller, pour assujettir mais désormais, elle tue juste pour le plaisir de faire couler les larmes et le sang des autres. Cela n'arrive que lorsque la folie est au pouvoir. Exactement comme ce qui se passa sous l'Allemagne hitlérienne ! Tuez-les tous ! Tirez sur tout ce qui bouge ! Massacrez les Bakongo ! Les ordres de Denis Sassou Nguesso sautent aux yeux de ceux qui savent déchiffrer les faits. Ce ne sont pas les Bakongo qui meurent ; c'est l'unité nationale qu'on assassine. A jamais !

 

LION DE MAKANDA MWAN' MINDZUMB', MBUTA MUNTU

Partager cet article
Repost0
31 mai 2017 3 31 /05 /mai /2017 13:20
COMMUNIQUE DES FALC SUITE AUX FAKE NEWS DU PSEUDO VIOL MONTE DE TOUTES PIECES PAR LE ROI D'OYO ET SES ACOLYTES

Communiqué des FALC suite aux << FAKE NEWS >> du pseudo viol monté de toutes pièces par le roi d'OYO et ses acolytes

Nous rejetons en bloc des allégations mensongères qui accusent nos éléments d'avoir commis le viol sur des jeunes filles. 
Le combat que nous menons (résister contre la dictature) obéit a des règles spirituelles et traditionnelles très strictes qui nous interdisent de  :

  • ne pas voler,
  • de ne pas piller,
  • ne pas demander de l'argent,
  • ne pas coucher avec une femme,
  • ne pas tuer les civils,
  • ne pas violer.

L'opinion nationale est bien rodée à ce genre de montage de la part des ennemis des Congolais.

S'agissant de l'opération du vendredi 26 Mai 2017, le détachement ayant mené cette opération était sous les ordres du caporal NDZOZA, chef du bataillon, un détachement de 20 éléments , ils étaient sous l'autorité du commandant VAUSS chef de la zone militaire de MINDOULI . Des instructions ont été claires sur la mission et les objectifs :

1-Neutraliser les convois (bus) ;

2-Sécuriser les lieux de l'opération ;

3-Mettre la main sur les caches d'armes et kits militaires ;

4-Identifier les civils et les militaires ;

5-Mettre en sécurité les civils ;

6-Neutraliser les bus de façon à envoyer un message clair à qui de droit ;

7-Neutraliser les hommes en armes et en tenue militaire.

Voilà entre autres les missions qui ont été assignées à nos éléments FALC.


L'opération avait été filmée du début jusqu'à la fin. BrazzaNews détient les vidéos de cette opération. Pour des raisons stratégiques, nous lui avons interdit de le publier, le site BrazzaNews sera chargé de fournir ces preuves aux organisations internationales. 


La mission des FALC avait été accomplie avec professionnalisme et détermination.

Nous prenons les civils à témoins, car les justes ne se tairont pas, ils savent que nos FALC ont été professionnels.

 

Porte-Parole des FALC, le lieutenant colonel NGUIMBI,

Formé à l'école de guerre aux USA (Académie navale d'Annapolis) 
Ancien marine (United States Marine Corps)
Ex-force spéciale américain, ayant servi l'US en Afghanistan, en Irak et récemment en Syrie.

Partager cet article
Repost0
31 mai 2017 3 31 /05 /mai /2017 12:08

Quand on s'enfonce dans l'absurdité par mégalomanie, on ne peut que traîner des casseroles et Denis Sassou Nguesso traîne trop de casseroles en même temps ce coup-ci : crise économique qu'il ne parvient pas à résorber en dépit de la mise en exploitation de nouveaux gisements pétroliers - plongeant son pays dans la faillite qui se fait de plus en plus sentir, guerre d'extermination dans le Pool qui tourne au bourbier du Poolailler provoquant la désertion de plusieurs garde-chiourmes du régime, prisonniers politiquement condamnés injustement sans être jugés - ce qui devient de plus en plus intenable, une guerre de succession qui se joue déjà entre enfants, neveux et ressortissants de l'ethnie-Etat - notamment entre Denis Christel Sassou Nguesso et Jean Dominique Okemba, une communauté internationale qui se modifie et qui amène de nouvelles personnalités plus hostiles aux dictatures comme Donald Trump, etc. Il faut commencer à se débarrasser de quelques-unes.

Le cas du Général Jean Marie Michel Mokoko est l'une de ces casseroles dont il aimerait bien se débarrasser au plus vite. Pourquoi avant les législatives ? Parce que dans les régions nord du Congo, la colère gronde et certaines régions menacent de ne pas organiser les élections législatives. Hélas, Toto Ngakala traîne dans la confection des fausses preuves. Il vaudrait mieux pour le monstre de l'Alima solder la question de tous les prisonniers politiques au lieu de se contenter de résoudre au plus vite juste le cas Mokoko. Nous avons appris qu'il aurait renforcé la sécurité autour de la maison d'arrêt centrale de Brazzaville - comme s'il redoutait une tentative d'évasion des prisonniers politiques. Des miradors récemment installés auraient même ordre de tirer à vue en cas de tentatives d'évasion.

L'arbitraire appelle l'arbitraire comme l'excès appelle l'excès. Lorsqu'il ne reste plus que l'injustice pour maintenir un système, c'est que le coup de bâton de la justice n'est plus très loin. Traînant avec elle, les éléments de sa propre destruction, la dictature venue du bord de l'Alima tombera de ses propres excès. La question n'est plus comment mais quand. Il y a une fin à tout et les fins les plus dramatiques sont souvent celles auxquelles on ne s'attend pas.  Quoi que l'on fasse, la fin surviendra. Rien ne résiste à l'entropie qui est la règle absolue du temps. Même Rome eut une fin.

 

LION DE MAKANDA, MWAN' MINDZUMB', MBUTA MUNTU

PRESSE : SASSOU VEUT REGLER LE CAS JUDICIAIRE MOKOKO AVANT LES LEGISLATIVES
Partager cet article
Repost0
31 mai 2017 3 31 /05 /mai /2017 09:46
NIANGA MBOUALA : L'ARRESTATION DE SON DIRECTEUR DE CABINET EST UNE ATTAQUE QUI LE VISE DIRECTEMENT

Les Chinois disent que lorsqu'on attaque un serviteur, c'est son maître que l'on veut abattre ou que l'on défie. En effet, le serviteur ne fait rien sans l'ordre du maître. Attaquer le serviteur revient en quelque sorte à attaquer le maître. Si le maître ne réagit pas à l'arrestation de son serviteur, les autres serviteurs ne lui feront plus confiance. C'est l'autorité du Général Nianga Mbouala qui est en jeu au sein de toute la Garde Républicaine au travers de l'arrestation de son directeur de cabinet - à son insu et pendant son absence. Toto Ngakala lui manque de respect. Non, c'est Jean Dominique Okemba qui défie le Général Mandefo. Tata Mandefo doit réagir sinon le prochain sur la liste, c'est lui. Qu'il se rappelle l'histoire sordide du serviteur Ntsourou trahi et poignardé dans le dos par Jean Dominique Okemba qui sait faire avaler n'importe quelle couleuvre à Denis Sassou Nguesso qu'il aurait complètement envoûté.

L'arrestation du directeur de cabinet du Général Nianga Mbouala à la tête de la Garde Républicaine en rapport avec les événements du Pool où la soldatesque du monstre de l'Alima s'enlise, est une attaque directe contre la personne de notre barbe hirsute nationale. Décidément, Jean Dominique Okemba ne craint pas de se faire des ennemis pour plaire à son kani. Il y a des traîtres qui renseigneraient le Général Ntumi et l'arrestation du directeur de cabinet du Général Nianga Mbouala indique clairement que l'on suspecte la barbe hirsute de complicité avec l'ennemi.

On se rapproche de la bête mais on arrête d'abord ses serviteurs afin de la débusquer. Toto Ngakala n'a même pas pris le soin de contacter Barbe Hirsute avant l'arrestation de son directeur de cabinet. Ce qui indique que la suspicion a atteint des sommets. La dictature est vraiment une merde qui patauge dans la merde. Jean Dominique Okemba ne sait plus où mettre de la tête et pour la préserver, il est prêt à exposer celle de Nianga Mbouala. A chacun pour son cou, Oyo pour les uns, Ollombo pour les autres...

Cette affaire n'a que deux hypothèses possibles : ou bien Jean Dominique est un minable agent de sécurité du régime ou c'est un génie pour avoir trouvé le mouchard - si près de Denis Sassou Nguesso. Enfin, il lui a fallu tout de même plus d'une année ! Ce n'est pas digne d'un Einstein de la sécurité !  

Cette guerre à visée génocidaire commence à bien faire. Si elle ne se termine pas très vite, il faudra bientôt espionner les espions qui espionnent les espions qui espionnent les espions ! Onéreuse, sécurité ! Sans blague, Jean Dominique Okemba suspecte celui qui garde le roi d'Edou au plus près ! C'est une attaque grave, inouïe ! Même s'il avait envie de faire pression sur le petit-frère du directeur de cabinet arrêté, il manque d'imagination en s'attaquant directement au Général Barberousse, euh, pardon, Barbe Blanche, non Barbe Hirsute ! 

La guerre d'influence secoue le système de l'intérieur. Entre les originaires d'Oyo et ceux d'Ollombo, paraît-il, que rien ne va plus. A jouer de la différence comme instrument de division des hommes pour mieux les gouverner, on risque d'affaiblir son royaume car la différence finit par s'insinuer partout...

L'incompétence de toute une milice ethnique est mise à nu. La fiabilité du renseignement sécuritaire est proche de zéro. Et d'après, ce que l'on apprend, ce seraient les originaires d'Ollombo qui tombent plus au champ de bataille. Hier, une jeune dame me disait qu'il y avait de nombreuses veillées mortuaires à Nkombo.

Ce génocide était au départ aussi facile que des bombardements aveugles mais voilà que dans le bourbier du poolailler, ça sent de plus en plus mauvais.

Une dictature meurt toujours de ses excès et elle n'y peut rien car un excès en appelle toujours un autre plus gros. L'implosion du régime est en marche. Et cette crise économique qui dure n'arrange pas les choses ! Franchement, ce régime est une statue aux pieds d'argile. Quelques coups bien portés au bon endroit et l'édifice s'écroulerait comme un château de cartes En fait, Denis Sassou Nguesso ne règne que sur nos peurs. Or, la peur est désormais chez ceux qui l'administrent à notre peuple au quotidien. Il va arriver un moment où même l'argent ne parviendra plus à cimenter cette construction de sable. La haine du Mukongo, non plus. Face à la mort pour rien, même l'idiot du village devient lucide. Même l'idiot d'Oyo...

 

LION DE MAKANDA, MWAN' MINDZUMB', MBUTA MUNTU

 

Je mets en ligne un texte d'Anaïs Polo, rédactrice en chef d'OEIL DU CONGO BRAZZA :

 

OEIL DU CONGO BRAZZA 

ARRESTATION DU DIRCAB DU GÉNÉRAL NIANGA MBOUALA 

Le grand-frère du Dircab de Nianga Mbouala, le nommé Okandzé Onkourou qui est un ami et adepte du Président des FALC, est incarcéré à la DGST depuis un an à cause de son dévouement au Pasteur Ntumi. Ce dernier était un élément clé lors des négociations entre le pouvoir et le Révérend en 2003.
Nianga Mbouala avait même fait envoyer deux Hilux au Pasteur Ntoumi par l'intermédiaire de cet ami. 

Depuis son arrestation, Monsieur Okandzé Onkourou est sommé de montrer toutes les cachettes du Président des FALC, mais il dit ne pas savoir où se trouve son ami.

Pour la petite histoire, le rapprochement de Monsieur Okandzé Onkourou et le Pasteur Ntoumi, vient du fait que tata Ntumi avait soigné Okandzé de sa folie en 1995... Depuis, ce dernier guéri et convaincu est devenu un adepte sans faille de son guérisseur... Ils ont tissé par la suite des liens très forts.
 
Hier, son cadet, Dircab du Général Nianga Mbouala a été interpelé et écroué à la Maison d'Arrêt de Brazzaville par le tout puissant "FAIT À MON PARQUET" en l'absence du Général Nianga Mbouala, qui se trouve actuellement à Ouesso pour assurer la sécurité de papa 8. On reproche au Dircab d'être le petit-frère de Monsieur Okandzé Onkourou.

"Soki bo bimissi yé té, mandeffo na ngaï é ko koma motani à mon retour de Ouesso." DIXIT Nianga Mbouala alias Djo bill.

Anais Polo, la Tutsi du Congo Brazzaville, Rédactrice en Chef

Partager cet article
Repost0
29 mai 2017 1 29 /05 /mai /2017 15:30
JUSTICE/JAMAIS UN SANS DEUX : LE CLAN SASSOU &amp; NGUESSO ATTAQUE A NOUVEAU LE LION DE MAKANDA

COMMENTAIRE : Cher maître Delphine MEILLET. J'ai bien reçu votre mise en demeure de suppression de contenu. N'ayant jugé en rien mes propos que vous avez cités - diffamatoires dans la mesure où monsieur Wilfried Nguesso ne représente pas à lui tout seul son clan, je vous prie de porter plainte afin que la justice décide du caractère diffamatoire ou non de l'article incriminé  car votre interprétation de mes propos me paraît exagérée voire réductrice de tout un clan à un individu, peut-être juste pour créditer une intimidation judiciaire - justement - de tout le clan au pouvoir dans mon pays contre ma modeste personne.

L'article qui sert de prétexte à intimidation judiciaire - a été écrit en septembre 2015 ; il est assez curieux que son caractère diffamatoire n'apparaisse aux yeux de monsieur Wilfried Nguesso qu'aujourd'hui. Je me doutais que le régime de Brazzaville trouverait un trou de souris pour me renvoyer devant la justice. Juste surpris que le clan ait attendu près de huit ans pour contre-attaquer. Après celle-ci, quelque autre membre de la famille royale prendra le relais, j'en suis sûr.  Je serai toujours là pour répondre parce que le Congo le mérite.

Je suis prêt à me défendre seul s'il le faut pour mieux faire entendre la voix du peuple congolais qui souffre. Cette traque judiciaire dont je fais l'objet sera appréciée à juste titre par le peuple congolais. 

Je me bats pour la restauration de la démocratie dans mon pays, démocratie confisquée par la pire dictature au monde, celle du clan Sassou & Nguesso. Nulle croix ne sera assez lourde à porter pour cela. Je suis fils de la terre du Congo, de l'orteil au cheveu. Mes ancêtres n'ont pas été déportés en 1910 d'Afrique de l'Ouest dans ce pays. Tous mes ancêtres y reposent - notamment : IBOUANGA, IPOUDI, MADZIOMBO du côté de mon père. NZILA, BOUANGA, NZALI, IBALA, OUFOUNDOUNOU, ILAMA, etc, du côté de ma mère. Afin de les honorer et d'honorer le peuple congolais à qui je dois la vie, je suis prêt à subir une deuxième attaque en justice - même injustifiée. Je mets votre mise en demeure en ligne afin que les Congolais en prennent connaissance et jugent par eux-mêmes ce qu'il en est de la supposée diffamation. Des articles existent sur la Lettre Du Continent et dans de nombreuses revues et j'ai bien en mémoire ce qui se passait au Congo en 2015 à l'apparition de cette affaire... 

Dans ce contexte, chère madame Delphine MEILLET, chère Maître, Il n'est nullement nécessaire d'attendre trois jours pour ester en justice. Vous pouvez lancer la plainte dès aujourd'hui afin que la justice française examine cet article. Je vous épargne ma réponse sur les détails ci-mentionnés dans votre texte. Je les réserve au tribunal. Et si la justice française décide que je retirasse l'article - parce que diffamatoire, je m'inclinerai mais pas avant.

Très respectueusement et confiant en la justice française qui ne m'a jamais déçu,

 

LION DE MAKANDA, MWAN' MINDZUMB', MBUTA MUNTU

                                                               *

Mise en demeure de suppression de contenu 

Cher Monsieur,

Je vous contacte en ma qualité de conseil de Monsieur Wilfrid NGUESSO.

Vous avez publié en date du 3 septembre 2015 sur votre blog « Demain le nouveau Congo Brazzaville » un article intitulé « La presse : Wilfrid Nguesso le fils de Denis Sassou Nguesso veut s’établir définitivement au Canada ! », lequel est disponible à l’adresse suivante : http://www.demainlenouveaucongobrazzaville.org/2015/09/la-presse-wilfrid-nguesso-le-fils-de-denis-sassou-nguesso-veut-s-etablir-definitivement-au-canada.html

Aussi je vous mets par la présente en demeure, en votre qualité d’administrateur du blog « Demain le nouveau Congo Brazzaville », et pour le compte de mon client de supprimer l’article susmentionné, en ce qu’il est diffamatoire à l’encontre de Monsieur Wilfrid NGUESSO.

La diffamation est définie par l’article 29 alinéa 1er de la loi du 29 juillet 1881 comme « toute allégation ou imputation d’un fait qui porte atteinte à l’honneur ou à la considération de la personne ou du corps auquel le fait est imputé est une diffamation. La publication directe ou par voie de reproduction de cette allégation ou de cette imputation est punissable, même si elle est faite sous forme dubitative ou si elle vise une personne ou un corps non expressément nommés, mais dont l’identification est rendue possible par les termes des discours, cris, menaces, écrits ou imprimés, placards ou affiches incriminés ».

La diffamation publique envers un particulier est réprimée par l’article 32, alinéa 1er de la même loi aux termes duquel « La diffamation commise envers les particuliers par l'un des moyens énoncés en l'article 23 sera punie d'une amende de 12 000 euros ».

Monsieur Wilfrid NGUESSO porte à votre connaissance l’existence des contenus illicites suivants (en gras, en italiques et soulignés) au titre de la diffamation publique envers un particulier :

« C'est une honte de vouloir fuir son père parce que l'on sent soudre la colère populaire ».

« Les autorités canadiennes savent que la demeure des Nguesso à Mont-Royal (Montréal) d'un coût de 1, 2 millions de dollars est un BIEN MAL ACQUIS à l'aide de l'ARGENT MAL ACQUIS qu'il faudra restituer au peuple congolais. Nous demandons à nos compatriotes du CARTON ROUGE de s'occuper de ce dossier en portant plainte ».

« Nous demandons à la FRANCE de ne pas recevoir sur le sol français ces criminels en col blanc en leur refusant l'entrée du pays des Droits de l'Homme. LE CONGO DOIT SOLDER LE CONTENTIEUX SASSOU & NGUESSO. De toute façon, cette fois-ci, nous les poursuivrons judiciairement où qu'ils aillent. LE CONGO A DES BIENS ET DES DEVISES A RECUPERER ! »

« Ce clan coupable de crimes de toutes sortes a du sang sur les mains, soit en tuant directement, soit en causant la mort indirectement. Le Congo ne saurait se prévaloir d'un pays digne de ce nom si ces gens-là, ces assassins-là, ne sont pas jugés et condamnés à la Haye... »

Ces propos entraînent nécessairement dans l’esprit du lecteur l’idée selon laquelle Monsieur Wilfrid NGUESSO se serait rendu coupable d’avoir blanchi au Canada de l’argent issu de la corruption et de détournements de fonds publics dans son pays, le Congo Brazzaville.

Monsieur Wilfrid NGUESSO est également explicitement accusé d’être un « criminel en col blanc », un « assassin » faisant partie d’un « clan coupable de crimes de toutes sortes [qui] a du sang sur les mains, soit en tuant directement, soit en causant la mort indirectement ».

Or, il est incontestable que Monsieur Wilfrid NGUESSO n’a pas encore été définitivement jugé, de sorte qu’il demeure présumé innocent et que l’accusation d’avoir été impliqué dans des crimes et des faites de détournements de fonds publics, en ce qu’elle implique qu’il aurait enfreint la loi, porte nécessairement atteinte à son honneur et sa considération.

En conséquence, je vous mets par la présente en demeure, en votre qualité d’administrateur du blog « Demain le nouveau Congo Brazzaville », de supprimer l’intégralité de l’article.

En l’absence de réponse de votre part 3 jours après réception de la présente, nous engagerons des poursuites à votre encontre.

Conformément à mes règles déontologiques, je vous invite à transmettre la présente à votre Conseil habituel.

Vous souhaitant bonne réception de la présente, je vous prie de croire, cher Monsieur, à l’assurance de mes sentiments respectueux.

Delphine MEILLET
Avocat à la Cour
 
 
Partager cet article
Repost0
27 mai 2017 6 27 /05 /mai /2017 19:02
UPADS/LEGISLATIVES : JEREMY LISSOUBA DOIT POUSSER TSATY MABIALA PASCAL LE PETIT A DES PRIMAIRES GENERALISEES

Dans un article sur l'UPADS, nous sollicitions une plus grande implication des rejetons du professeur Lissouba PASCAL le GRAND en politique afin de préserver le parti créé par leur père. Les fistons Kolélas ne doivent pas être les seuls, déjà que les enfants de Marien Ngouabi se sont complètement désintéressés de la politique en abandonnant le PCT entre les mains de Denis Sassou Nguesso qui a fait du PCT un PCTue.

Les petits Lissouba peuvent être des fruits politiques du même arbre que leur père. Qui sait ? Les fils peuvent avoir à coeur de mieux défendre les idéaux de leurs pères que des transfuges du PCT comme Tsaty Mabiala Pascal, le petit. En effet, des rats palmistes traîtres conduits par Tsaty Mabiala Pascal le petit ont vendu le parti  UPADS à Denis Sassou Nguesso en le transformant en satellite du PCT. Le plus grand parti politique du Congo a été larbinisé par Pascal le petit, un rat palmiste aux dents longues et à la cupidité vorace qui entend squatter les cîmes des trois palmiers ad vital aeternam.

Entendre que Jeremy Lissouba a décidé d'entrer en lice aux législatives en provoquant ipso facto, une petite révolution appelée "primaires" à l'UPADS afin de permettre aux militants du parti de choisir entre lui et Guillaume Foutou, nous estimons qu'il faille généraliser cette démarche à tous les niveaux afin que les meilleurs candidats soient choisis par les militants eux-mêmes et non cooptés par le parti, permettant ainsi à Tsaty Mabiala Pascal le petit de choisir ses amis, tous acquis à ce qu'il reste au sommet des trois palmiers.

Nous appelons donc Jeremy Lissouba à exiger des primaires partout afin que l'UPADS se débarrasse des candidats corrompus aux législatives. Il est vrai que le FROCAD et l'IDC ont boudé ces législatives - certainement à raison car le choix des vainqueurs se fera certainement sous le manguier à Oyo. Cependant, nous soutenons la démarche de tenter la conquête du parlement par l'opposition. C'est possible si on allie mobilisation et vigilance. On vote, on filme les résultats et on reste jusqu'au dépouillement. Conquérir l'assemblée nationale et le parlement permettrait de réduire le pouvoir du monstre de l'Alima. Cette fois-ci, le peuple doit infliger non seulement infliger une seconde défaite au grand ndzokou mais faire en sorte que leur choix ne soit pas volé.

Si le parlement bascule entre les mains de démocrates, on peut contrer Denis Sassou Nguesso. Il s'agit de d'affaiblir le régime en prenant le pouvoir législatif. Si le PCT et apparentés trichent, il faudra cette fois-ci faire entendre la voix du peuple en surmontant la peur. Déjà que Denis Sassou Nguesso n'a pas la légitimité au sommet de l'Etat, il serait encore plus affaibli s'il se retrouvait en position de tricher pour se doter d'une majorité à l'assemblée nationale et au sénat.

Jeremy Lissouba doit secouer les trois palmiers pour en éjecter les rats palmistes qui rongent les régimes de noix de palme sur le dos du peuple depuis trop longtemps. Il est jeune comme la base des militants de l'UPADS et donc plus à même de comprendre leurs revendications. Tsaty Mabiala Pascal le petit doit laisser la tête du parti à quelqu'un de plus sérieux, une personne incorruptible. Il faut extirper toutes les taupes du parti du professeur Lissouba PASCAL le GRAND pour préparer ce parti aux enjeux futurs.

Un homme qui a n'a recueilli que 4% des suffrages à l'élection présidentielle n'est plus légitime à diriger un parti comme l'UPADS. Il est temps d'éclipser Tsaty Mabiala Pascal le petit. Que des primaires lui soient imposées même à Loudima où il n'est plus du tout populaire car vomi par les militants. Un homme aussi décrié, de surcroît traître transfuge du PCT dont il est la taupe pour remorquer le parti de Lissouba PASCAL le GRAND au PCT, doit être affaibli et les législatives en sont une occasion avant que le Congrès du parti ne le fasse chuter du sommet des palmiers droit dans le fleuve Niari. La reprise en main de nos grands partis est une étape indispensable dans la reconstruction de la démocratie. Les partis politiques sont des chevaux sur lesquels doivent monter des cavaliers qui font la course politique pour faire gagner le peuple et non le faire perdre. La démocratie passe par la reconquête et l'épuration de nos partis politiques.

 

LION DE MAKANDA, MWAN MINDZUMB', MBUTA MUNTU

 

Voici à présent un texte que j'ai reçu du Congo qui résume la prise de conscience des militants du parti aux trois palmiers :

" A l'UPADS, des primaires ont eu lieu ce vendredi 26 mai 2017 à la circonscription N°2 de Dolisie où Jeremy a battu le député sortant Guillaume Foutou pour les prochaines élections législatives. A quand les primaires à Loudimaoù Tsaty Mabiala Pascal le petit est à son troisième mandat bien qu'il soit souvent battu mais repêché par le pouvoir PCT pour servir de faire valoir.

Qu'une génération d'hommes nouveaux se mette au service des populations. Dolisie la capitale du Niari n'a aucun siège de l'UPADS, le parti du Pr Lissouba PASCAL, le GRAND. Aucun patrimoine pour Pascal Lissouba malgré la vente du siège du parti à Brazzaville à plus d'un milliard huit cents millions de francs cfa, argent qui a permis aux dirigeants de l'UPADS de se construire de grandes villas dans les grandes villes du Congo et d'Europe.

Lissouba Junior doit prendre la tête de l'UPADS et remettre Tsaty Pascal le petit à son parti naturel, le PCT car autour de lui s'est constitué un groupe d'usurpateurs qui ne servent que leurs intérêts reléguant ceux des militants aux calendes grecques.

Le moment du changement a sonné. Le peuple a le choix de son destin. "

 

     DIKASSOU, DUMISS KIFUMBA

Partager cet article
Repost0
25 mai 2017 4 25 /05 /mai /2017 10:04
SPIRITUALITE : REFLEXION SUR LE BIEN ET LE MAL

Le triomphe du bien sur le mal n'est ni une loi de la nature, ni un principe divin immuable car c'est Dieu qui a fait le mal, le frère jumeau négatif du bien. Comme il a fait la mort à côté de la vie. La philosophie tout entière s'arrête devant l'existence du mal. Pourquoi le mal ? La religion a bricolé une réponse et garanti dans le monde merveilleux du rêve le triomphe du bien dans l'absolu. Ce que les lois de la nature - c'est-à-dire, celles du Créateur, ne confirment pas. La force n'est ni bien, ni mal - tout dépend comment et pourquoi on l'utilise. Même la vie n'est ni bien ni mal car elle engendre les deux. Idem pour la mort.

On souhaite le bien mais ceux-là mêmes qui le souhaitent et le proclament font le mal en vous forçant à agir pour le bien qu'ils ont le privilège de définir pour vous. OR, LE BIEN DEFINI PAR LE MAL EST MAL. Dans ce monde, non, dans tout l'univers, Tout est question de force, de puissance, de volonté, de détermination, d'ondes de choc, de lutte acharnée, d'opposition entre le pôle positif et le pôle négatif et rien ne peut garantir le triomphe du bien sur le mal : tout dépend des forces en présence. Rome parlait de paix mais cette paix était aussi soumission, esclavage pour ses sujets. Même au ciel, on prétend que Dieu, après une rude bataille, y chassa des anges mauvais pour les précipiter sur terre. Drôle de résolution du problème : le Dieu Tout-Puissant ne parvient pas à détruire le mal ; il se contente de le chasser. Où ? Sur notre planète. Belle preuve d'amour, n'est-ce pas pour celui dont la religion dit : "DIEU EST AMOUR" ?


Ô, hommes de peu de foi dans la vérité ! Ecoutez ce que dit l'esprit de VERITE dans lequel le mensonge n'a aucune place : le mal triomphe si le bien ne fait rien. Il faut arrêter de rêver de la toute-puissance du bien là où nous constatons la toute-puissance du mal. Dieu n'a pas empêché l'esclavage, les guerres, l'exploitation des peuples - puisque lui-même fait la Guerre. Même une guerre spirituelle a des manifestations sur le monde physique - ce qui la ramène à une guerre physique.

Jésus a été crucifié par le mal. Donc si le mal peut crucifier le Juif prétendu, par décret de l'empereur Constantin, consubstantiel à Dieu, si le bien ne l'arrête pas, il crucifiera l'humanité. Arrêtez de regarder les choses par le côté merveilleux de la religion mensongère qui vous cache la vérité. Le mal n'a pas de limite parce que le mal n'a pas de morale tandis que le bien a des limites parce qu'il a une morale. La question est : que devons nous faire pour arrêter le mal ? La prière, c'est bien mais si elle suffisait à faire disparaître le mal, il y a longtemps que les milliards de milliards d'heures de prières l'auraient totalement évincé. Combien de prières ont-elles monté vers Dieu depuis le commencement de l'humanité ? Des milliards de milliards. Combien de prières a-t-il exaucées ? Si vous avez la réponse. J'attends.
 

N'oubliez pas que le MAL à des bombes thermonucléaires, atomiques, des armes sophistiquées, bref, de quoi détruire la terre mille fois. Quelles sont en face les armes du bien ? Juste la raison, la conscience, le bon sens, la prière, là où le MAL rajoute la folie à toutes ses armes de destruction absolue. Or, face à la folie, juste une seule réponse : une folie plus grande, une folie lucide du BIEN. Et sachez que la folie est aux commandes de ce monde. Si le bien ne se transforme en folie, il ne peut vaincre le MAL.


Ceux qui nous ont apporté la religion chrétienne ont aussi apporté le mensonge, l'esclavage, le pillage de nos ressources et la mort car même leur religion a été un élément de domination mentale, c'est à dire, le Mal. Le mal ment, dissimule, la vérité, tue, asservit physiquement et mentalement. Bref, le mal est POUVOIR, un pouvoir absolu - sans limites car le mal se permet tout et ose tout contrairement au bien. Si en face, le bien se contente de prières, c'est-à-dire, d'inaction dans le monde physique, je n'ai pas de crainte à conclure que ce monde est déjà perdu, que l'humanité sera détruite par la rêverie merveilleuse du bien. Si le mal est pouvoir absolu, le bien doit avoir la même prétention sinon une prétention plus élevée.

La gazelle ne se contente pas de prières quand le léopard veut la manger. Elle connaît la loi divine qui veut qu'elle soit la proie et le léopard le prédateur. Et le léopard n'a rien demandé. Dieu aurait pu faire du léopard un herbivore. Mais l'herbe que mange la gazelle ne prie-t-elle pas ? Elle ne peut pas bouger comme faite pour être mangée alors que la gazelle peut courir. A défaut de combattre le léopard, elle court. RUN !

Depuis le commencement du monde, Le bien et le mal se font la course (en fait, la guerre). LE MAL EST LARGEMENT DEVANT. SACHEZ, Ô HOMMES DE PEU DE FOI DANS LA VERITE, QUE LORSQUE LE MAL TRIOMPHE DU BIEN, IL SE PROCLAME BIEN COMME LORSQUE LE BARBARE VAINQUEUR SUR LE CIVILISE SE PROCLAME CIVILISE ET DECRETE QUE LE CIVILISE, C'EST LE BARBARE. LORSQUE LE MENSONGE TRIOMPHE DANS L'ESPRIT HUMAIN, IL DEVIENT PAR SUBSTITUTION, VERITE. IL FAUT ALORS DES SERVITEURS DE LA VERITE POUR RAMENER CELLE-CI A LA SURFACE. DANS CE MONDE, RIEN N'EST MIEUX DISSIMULE QUE LA VERITE, BIEN PLUS QUE L'OR ET L'ARGENT. Ceci est un enseignement de BDM que Je vous le livre...


LION DE MAKANDA, MWAN MINDZUMB', MBUTA MMUNTU,

LONGUI YA BDM

Partager cet article
Repost0
24 mai 2017 3 24 /05 /mai /2017 17:23
Le braqueur et violeur Lider Hadrien Mbola, directeur du protocole de madame Jacqueline Lydia Mikolo, ministre de la Santé du Congo
Le braqueur et violeur Lider Hadrien Mbola, directeur du protocole de madame Jacqueline Lydia Mikolo, ministre de la Santé du Congo

Le braqueur et violeur Lider Hadrien Mbola, directeur du protocole de madame Jacqueline Lydia Mikolo, ministre de la Santé du Congo

Interpellé par des concitoyens, je me vois dans l'obligation de réagir à l'arrestation de cinq malfrats braqueurs et violeurs menés par un militaire, ancien cobra mbochi, en la personne de Mesmin Oko. Seul un Mbochi pouvait se permettre de monter un tel gang pour nuire au peuple congolais. Pourquoi ? Parce qu'il se sent possesseur d'une partie du pouvoir de l'anti-Etat. Tout militaire mbochi est un Mesmin Oko en puissance. Pourquoi ? Ils appartiennent à l'ethnie-Etat. ILS ONT LE POUVOIR DE FAIRE TOUT ET N'IMPORTE QUOI DANS L'IMPUNITE. Mesmin Oko risque de ne faire que quelques jours en prison. Vous ne me croyez pas ? Attendons de voir.

Que la police ne se vante pas trop vite car le Lion De Makanda n'est pas sujet à la manipulation par la propagande. Trop de zones d'ombre demeurent qui nous poussent à nous interroger et à exiger des éclaircissements.

Le chef de bande a été recruté dans l'armée. Certainement en sa qualité de Mbochi car comment comprendre qu'une personne d'aussi basse moralité soit un soldat de la république ? On peut comprendre pourquoi Asie Savon de Marseille a pu parler de "faiblesse publique" car il sait que les membres de l'ethnie-Etat qui composent cette armée sont des voyous de la pire espèce. Et si le cobra mercenaire Mesmin Oko est à l'image de toute la soldatesque de l'anti-Etat du Congo, on peut imaginer toutes les exactions que subissent les pauvres populations du Pool.

- Comment ces cinq malfrats ont-ils été arrêtés ? Le colonel Serge Pépin ITOUA POTO n'en donne pas plus de détails.

- Quelles sont les professions de nos cinq malfrats ? Il ne suffit pas de dire que le chef de gang était un ancien militaire qui avait quitté l'armée car RIEN ne prouve qu'il avait vraiment quitté la faiblesse publique. Le fait qu'ils sachent tous manipuler des armes de guerre en dit long.

- Sinon comment expliquer l'arsenal militaire de nos braqueurs ? Pour ne pas salir l'armée, c'est plus facile de nous dire que monsieur Mesmin OKO est un ancien militaire pour que l'honneur de l'armée reste sauf mais comment vous croire, cher colonel ITOUA POTO ? Quelle preuve apportez-vous pour étayer vos dires ? A quelle date aurait-il quitté l'armée ? A-t-il vraiment posé sa démission ? Si oui, quand ? Cela ne m'étonnerait pas que Mesmin OKO alias MEZO  ait cumulé son salaire de soldat avec le butin de ses larcins.

- D'où viennent donc les tenues militaires de nos cinq malfrats bérets rouges, les armes et tout l'attirail militaire qui leur permettait d'opérer leurs braquages ? Est-il si facile pour des civils de s'en procurer ? Je pense que non.

- Il y a deux étrangers dans le lot. On aimerait bien savoir qui sont ces gens qui font partie du gang de Mesmin OKO alias Mezo. Comment sont-ils entrés dans notre territoire ? Pour y faire quoi ? Où vivent-ils ? De quoi ? Un pays passoire comme le Congo ne peut qu'admettre de tels malfrats sur son territoire et le fait qu'on nous en dise peu me laisse dubitatif. Ce Camerounais et ce Congolais de la RDC pourraient bien avoir des liens avec le système, avec l'anti-Etat car ils apparaissent comme des gens qui mènent la belle vie.

Ayant appris que monsieur Lider Hadrien MBOLA est directeur du protocole de madame Jacqueline Lydia MIKOLO, ministre de la santé (ci-dessus deux photos du gangster au domicile de madame la ministre), je m'interroge :

- Comment madame Jacqueline Lydia MIKOLO a pu se permettre de nommer un gangster braqueur et violeur comme directeur du protocole de son ministère ? Lui a-t-on imposé le bandit de grand chemin comme le veut la rumeur ? Mesure-t-elle les risques encourus en embauchant un tel personnage qui aurait pu la braquer ou la violer ? Pour cela, il lui suffisait de venir cagoulé. Si elle n'a pas eu le choix de son personnel ministériel, elle a le devoir de s'expliquer car c'est une honte d'avoir un directeur de protocole d'un ministère de l'anti-Etat braqueur, voleur et violeur. Elle ne peut pas faire l'économie d'une explication. A ce que dit la rumeur, il semblerait que cet homme, ce Lider Hadrien MBOLA, lui ait été imposé par un haut cadre de la faiblesse publique. Le fait que ce gang était en possession d'armes de guerre, de tenues militaires, de talkies walkies semble plaider pour des complicités au sein de l'armée et de la police. Cette affaire met à mal notre "faiblesse publique" nationale, l'anti-Etat et tout le processus de recrutement des personnes qui sont censées gérer nos institutions.

Dans la mesure où un directeur de protocole d'un ministère est un poste prestigieux et bien rémunéré, nous nous demandons comment Lider Hadrien MIKOLO trouvait-il le temps de quitter Brazzaville pour Pointe-Noire afin de commettre ses forfaits avec ses potes de débauche et de crime ? Exerçait-il normalement son travail ? A-t-il été favorisé dans ses absences par madame la ministre MIKOLO ? Quels sont ses liens avec sa ministre de tutelle ?

Non, les petites explications sommaires et manipulatrices du colonel ITOUA POTO me laissent sur ma faim. Il faut que madame Jacqueline Lydia MIKOLO s'explique. Il faudra que la faiblesse publique s'explique sur les tenues, armes militaires et attirail de soldats et de policiers. Quand il s'agit d'éclairer la lanterne du peuple, monsieur Toto Ngakala alias coller la petite pétasse par le derrière n'est plus au rendez-vous.

Que la police et l'armée prennent en charge la communication dans cette affaire au lieu de laisser la justice le faire me laisse penser qu'il y a intrigues sous roche. Qui veut-on protéger ? Cette affaire n'est pas potable du tout. En effet, c'est une honte pour une armée si n'importe qui peut se passer pour l'un de ses membres. Cela montre suffisamment que Denis Sassou Nguesso n'est pas en sécurité dans son royaume car n'importe qui peut se passer pour un soldat - y compris des étrangers. A sa place, n'importe quel chef d'Etat sérieux demanderait des comptes à Jean Dominique Okemba qui dirige la Sécurité nationale. Le ministère de l'injustice ne peut rien faire dès qu'une affaire concerne un Mbochi car tous les Mbochis appartiennent à la caste royale du grand NKANI, premier malfrat de la république avec impunité absolue, lui qui a le droit de tuer - sans courir le risque d'être poursuivi - même dans le cas où il cesserait d'exercer le pouvoir.

Le Congo est une passoire pour les hommes, les armes et tout le reste. Nos compatriotes ne sont pas en sécurité si ceux-là mêmes qui sont chargés de les protéger sont des braqueurs, des voleurs et des violeurs. J'exige la preuve que monsieur Mesmin OKO n'est plus un soldat du royaume pour éviter que d'autres soldats utilisent du matériel acheté avec de l'argent public pour l'utiliser contre notre peuple.

En France, à l'heure de la moralisation de la vie publique, une telle affaire aurait eu de très sérieuses répercussions au sein du gouvernement et de la hiérarchie de la force publique mais nous savons que papi Ndzokou préfère la chasse au Mukongo que de défendre ses concitoyens. Les poignards, les armes, les bérets, les talkies walkies, tout vient de l'armée. On devrait au moins au niveau de l'Etat-Major revoir le dispositif de sortie du matériel militaire. Non, ce gang a bénéficié de complices au sein de la police et de l'armée. Je défie Toto Ngakala de mener une enquête et de me prouver le contraire. En attendant, nous sommons madame Jacqueline Lydia MIKOLO de s'expliquer !

 

LION DE MAKANDA, MWAN' MINDZUMB', MBUTA MUNTU

Partager cet article
Repost0
24 mai 2017 3 24 /05 /mai /2017 12:32

Pendant que le Burkina-Faso lève 40 milliards de francs cfa pour des objectifs d'investissement de son plan national de développement économique et social, Denis Sassou Nguesso s'endette lui de 34 milliards de francs cfa auprès des Chinois pour construire une nouvelle assemblée nationale. Questions : qu'est-ce qui ne va pas avec l'ancienne assemblée nationale ? N'aurait-on pas mieux fait de la rénover si nécessaire pour deux milliards de francs cfa et moderniser l'école publique avec le reste de l'argent ? Que va devenir l'ancienne assemblée nationale ? On ne va pas laisser un aussi coûteux édifice inexploité ou inoccupé ! On voit bien que dans cette opération, l'intérêt est ailleurs : il s'agit de justifier des sorties d'argent avec détournements sur des surcoûts - selon les méthodes bien rodées depuis vingt ans.

De nos jours, les hommes politiques africains se complaisent dans des comportements indignes qui rabaissent la valeur de l'homme noir. Nous avons pourtant pendant des milliers d'années eu de grands empires et de grands royaumes bien administrés avec humanité : Koush, Egypte, Nubie, empire Kongo, Luba, Ndongo, Matamba, Kuba, Aksoum, Kerma, Pount, Burundi, Rwanda, Bénin, Songhaï, Kanem Bornu, Mutapa, Zimbabwe,  etc. Nous n'avons pas eu besoin de copier qui que ce soit pour nous administrer de nous-mêmes avec dignité. Cependant, depuis que nous sommes dans le mimétisme de l'Occident, nous ne parvenons plus curieusement à nous administrer de façon convenable et honorable. L'argent sert en Europe à se développer ; en Afrique, il est source de conflits. En Europe, ils ont inventé le train, l'avion, la fusée, l'ordinateur, le téléphone portable en faisant travailler les intelligences à l'aide de l'argent. En Afrique, l'argent est plutôt, source de corruption mentale et de conflits.

L'Afrique est le continent de la démesure mais la démesure dans la bêtise et l'inhumanité. Tant que la bêtise rapporte gros, on continue dans le mode mboutou mboutou sans perspective d'avenir, sans planification à long terme. Pendant que l'Occident travaille à la voiture volante de demain, nous passons notre temps à nous massacrer. Des bruits de bottes militaires angolaises se font entendre à la frontière rdcienne. On se demande ce qu'il se passe. Au sud-Soudan, la guerre entre sud-Soudanais se poursuit. Pendant que l'Europe fait des programmations sur vingt, trente ou cinquante ans qui verront l'apparition de la voiture automatiquement pilotée ou de voiture volante, de drones de livraison, de colonisation de mars, de la lune, de nouveaux types de carburant, etc, l'Afrique reste au stade du Moyen-Age sans même parvenir à la réussite de la stabilité du mode de gouvernance - ce qui permettrait de se concentrer sur les oppositions de projets de société.

Ailleurs, la guerre est une crise, l'une des crises les plus graves mais pour le monstre de l'Alima, le mastodonte d'Edou, la guerre asymétrique n'en est pas une une. En attendant, des Congolais continuent à mourir, à s'entre-tuer. La guerre n'est pas seulement asymétrique mais c'est un non sens car on ne peut justifier une opération de police visant à capturer un individu par une guerre contre toute une région où les villages sont détruits, les populations massacrées sans sommation. Ceux qui pensent qu'il s'agit de fournir dix mille âmes aux magiciens hindous ont peut-être raison.

Denis Sassou Nguesso détruit une fois encore un équilibre social dans le Pool en poussant des dizaines de milliers de gens à fuir leur région où ils ont tout pour leur survie au quotidien. Pour les populations du Pool, l'anti-Etat de Denis Sassou Nguesso n'apporte que la mort au lieu de favoriser la vie. Et cela, c'est justement la définition même de la crise, à savoir, une situation où il est question de la vie ou de la mort de quelque chose, d'une institution, d'une entreprise, de quelqu'un, d'un groupe de populations, d'une société ou d'une civilisation. Quand on passe sa vie dans le déni comme Denis Sassou Nguesso, ce n'est pas à soixante-quatorze ans que l'on peut changer. Cet homme montre à toute l'humanité qu'il a de sérieux problèmes avec la réalité qu'il nie quand elle ne correspond pas à son monde schizophrénique.

Voici quelques images de Ninjas dans leur guerre asymétrique. On y voit des miliciens de l'anti-Etat PCTue tombés dans un guet-apens tendu par les Ninjas-Nsiloulous du Général Ntumi. Oui, le pasteur Ntumi est bien un Général du peuple qui met à mal les stratégies des Généraux de la "Faiblesse Publique" qui ont même peur de se rendre sur le terrain. OZA GENERAL YA SOLO ? KENDE NA LE POOL !

Les griots du régime qui nous suivent peuvent toujours crier aux Fake News. Cependant, les morts et les blessés que l'anti-Etat est obligé de reconnaître sont bien réels. Il y a une vraie guerre médiatique entre les démocrates et les serviteurs volontaires de l'anti-Etat. Cette guerre-là, ils ne peuvent la remporter. Et multiplier les insultes à notre égard n'y changera rien ; c'est même une preuve de carence en arguments. 

Dans le Pool, il n'y a peut-être pas, selon Denis Sassou Nguesso, "crise" mais comme il l'a bien reconnu, il y a guerre contre le peuple congolais qui se retrouve en situation de légitime défense - que cela vous plaise ou non. Et plus le temps passe, plus ceux qui sont dans l'asymétrie prennent des armes et des forces...

 

LION DE MAKANDA, MWAN' MINDZUMB', MBUTA MUNTU

A ceux qui crient aux Fake News, continuez à faire de la désinformation. Nous, nous informons notre peuple sur ce qui se passe vraiment au Pool...
A ceux qui crient aux Fake News, continuez à faire de la désinformation. Nous, nous informons notre peuple sur ce qui se passe vraiment au Pool...
A ceux qui crient aux Fake News, continuez à faire de la désinformation. Nous, nous informons notre peuple sur ce qui se passe vraiment au Pool...
A ceux qui crient aux Fake News, continuez à faire de la désinformation. Nous, nous informons notre peuple sur ce qui se passe vraiment au Pool...
A ceux qui crient aux Fake News, continuez à faire de la désinformation. Nous, nous informons notre peuple sur ce qui se passe vraiment au Pool...

A ceux qui crient aux Fake News, continuez à faire de la désinformation. Nous, nous informons notre peuple sur ce qui se passe vraiment au Pool...

Partager cet article
Repost0
23 mai 2017 2 23 /05 /mai /2017 11:46
LA LIBERATION DU CONGO NOUS CONCERNE TOUS CAR ELLE PROFITERA A TOUS

Au travers de la dictature de l'ethnie-Etat avec saupoudrage de quelques membres d'autres ethnies pour faire illusion, nous affrontons un anti-Etat, c'est-à-dire, le contraire d'un Etat, une sorte de congrégation de gangsters politiques qui ne sont au sommet du pays que pour servir les intérêts de clan. Un anti-Etat est un Etat privé totalement déconnecté du peuple - alors qu'un vrai Etat est public en servant le peuple. Il s'agit d'empêcher l'unité du peuple pour ne pas se retrouver cerné. On le divise en excitant les différences ethniques - aussi minimes soient-elles. Sans la division du peuple en deux castes principales, à savoir celle qui bénéficie des droits de tous devenus privilèges et celle qui est n'est là que pour faire oeuvre de soumission, une dictature ne peut durer longtemps. Quand Bakongo, Makélékélé et Diata manifestent, Talangaï, Ouenzé et Mikalou boivent la bière en silence. Les larmes et le sang des autres, les larmes et le sang de ceux qui ne sont pas les privilégiés. A l'intérieur des privilégiés, il y a ceux qui jouissent des ressources de tous et ceux qui n'ont qu'une participation idéologique à la vraie gestion du pouvoir.

"C'est notre pouvoir", vous disent-ils. Il ne s'agit pas du pouvoir d'un parti politique mais celui d'une ethnie tout entière. Une illusion. Et c'est à ceux-là qu'on demande d'aller mourir pour la défense du pouvoir - ceux qui ne reçoivent comme pitance qu'une simple boîte de sardines et du pain dur.

Seulement voilà, Denis Sassou Nguesso et son PCTue ruinent le pays et nous sombrerons tous. Quand il n'y a pas d'eau , pas d'électricité, pas de carburant, même Talangaï, Ouenzé, Mpila et Mikalou sont concernés.

Ceux qui bénéficient des privilèges et qui sont devenus complices d'un régime démocide ont peur de perdre leur position. D'où qu'ils viennent, ils défendent l'anti-Etat, l'Etat gangster, l'Etat privatisé. Ils vivent par l'Etat et sont prêts à tuer pour l'Etat mais pas à en mourir. On le voit pendant la guerre génocidaire qui se déroule dans le Pool. Les Généraux et les nantis vont retirer leurs fils du front en hélicoptère. On envoie les fils du Pool au charbon tuer ou mourir des balles de leurs frères. Au nom de l'obéissance aveugle.

Il est plus facile de cimenter un peuple par le haut mais il n'est pas impossible de nouer la cohésion par la base de la pyramide. Il suffit pour cela que le peuple dans son ensemble comprenne que la libération du pays profitera à tous. Profitant à tous, elle est donc une oeuvre collective qui doit au moins le temps de renverser la dictature - faire taire les différences. Nous sommes en face d'une division nationale politiquement instrumentalisée. Il suffit que les uns et les autres exigent un pays qui fasse jouer une égalité républicaine pour que le sentiment d'appartenance nationale prenne le dessus sur l'appartenance ethnique. C'est ainsi que l'on a soudé la France en une nation.

Si la libération du Congo profitera à tous, c'est donc que tous sont concernés. Au moins, le temps de la libération. Ensuite, après la libération du pays suivie par une transition démocratique, chacun pourra faire jouer le ressort de l'ambition individuelle. Il s'agira cette fois-ci de prendre le temps de réfléchir lors de la transition à un mode de gouvernance approprié et adapté à notre for intérieur de Bantous - au lieu d'imiter aveuglement des modèles qui ne nous réussissent pas depuis plus de cinquante ans de pseudo-indépendance.

Sous une dictature qui conduit notre pays à la faillite, nous constatons que tout le pays en subit les conséquences. Quand il n'y a pas d'eau, d'électricité, de carburant, de médicaments dans les hôpitaux, tout le peuple en pâtit. Quand Denis Sassou Nguesso aura fini de plonger le pays dans une faillite irréversible, les 8% qui le soutiennent aujourd'hui comprendront trop tard qu'ils ont été bernés.

Pour croire en nouveau en l'Etat, il suffit d'un homme qui n'écoute pas la musique du baratin ethnique et qui rêve de réaliser l'unité de son peuple par l'égalité des droit. Même qualité éducative, énergétique, sanitaire, numérique et infrastructurelle partout, des universités, des instituts, des centres de formation dans toutes les grandes villes et à travers tous les quatre points cardinaux, un maillage industriel du pays, la valorisation de la compétence dans la solidarité avec les plus fragiles, un vrai Etat qui défende enfin les intérêts du Congo face aux appétits des multinationales étrangères. Qu'y a-t-il de mal à ce que toutes les régions du Congo connaissent un développement identique - en tant compte de la spécificité environnementale ? Pourquoi défavoriser les meilleurs esprits de la nation au profit de courtisans incompétents qui plongent le pays dans les ténèbres ?

La raison disait Hegel n'a pas traversé l'Afrique. Nous savons qu'il avait tort car la raison n'a pas de couleur. L'Afrique est mère de l'humanité à qui elle a apporté la civilisation, la science, la vertu religieuse. Sans l'Afrique, il n'y aurait ni Pythagore, ni Solon, ni Platon, ni Euclide, ni Hyppocrate, ni Orphée, ni Moïse, ni Jésus. La lumière vient de l'Egypte mais la lampe et le combustible sont bien nègres. Nous avons subi un terrible déracinement et une acculturation qui nous a fait perdre notre identité et notre mémoire. Désormais, nous qui avons été les maîtres de l'histoire pendant plus de dix mille ans au travers de la Nubie et de l'Egypte, la subissons et nos maîtres qui ont détruit nos civilisations se moquent de nous. Nous imitons l'Occident mais nous n'avons pas les instruments de l'autonomie technologique. Conséquence : nous consommons la modernité. La démocratie prend mal sous le terreau de la pauvreté. Même en Europe, avant la création gigantesque des richesses par la évolution industrielle, la démocratie n'existait pas. Il nous faut à nouveau redevenir maîtres de notre destin. Les civilisations naissent et meurent. La nôtre a été assassinée. Celle de l'Europe finira par s'autodétruire - en entraînant peut-être l'humanité avec elle.

Nous importons tout même nos idées - alors que nous avons des cerveaux comme les Occidentaux. Nous pouvons discerner ce qui est bon de ce qui est mauvais mais nous nous laissons entraîner dans la barbarie. Nous voulons d'abord nous servir nous-même et nos différences avant de servir nos ressemblances. Nous avons été soumis par les étrangers. Désormais, la soumission a un masque noir. Cependant, nous cultivons la conscience et elle a commencé à germer - même si les ennemis de l'Afrique nous plongent dans la confusion. Pour les miettes et les os que les Occidentaux nous laissent, le Nègre assassine le Noir (le Nègre est esclave en continuant à servir le maître en tant que gouverneur noir tandis que le Noir est libre et aspire à le rester pour contrôler son destin). Aussi, les Etats africains sont tenus par les Nègres de service.

Il nous faut prendre le temps de la réflexion mais les urgences quotidiennes nous empêchent de voir au-delà du ventre car la pensée ne devient vraiment féconde que lorsque le ventre est assuré de trouver son moungouélé quotidien. Nous devons nous retrouver, nous reconstruire, nous libérer mentalement avant de réussir à entrer dans la modernité en hommes libres. Or, l'Occident contrôle la modernité et c'est là notre grand problème.

Les Congolais nous disent qu'ils comptent sur la diaspora et ils ont raison car le pays est verrouillé de l'intérieur, l'oppostion intérieure étant en prison ou en soumission. La solution pourrait bien venir de l'extérieur avec le concours des populations de l'intérieur. La diaspora congolaise a donc un rôle important à jouer. Elle doit se rassembler dans un seul objectif : libérer le Congo par tous les moyens. C'est dans cette optique que le Mouvement Républicain pour la Libération du Congo, en sigle MRLC, a été pensé et conçu avec un président démocratiquement élu en la personne de monsieur Henri PEMOT.

Toute nouvelle idée au service du collectif est toujours combattue à ses débuts car ceux qui servent des intérêts personnels cherchent d'abord à se positionner pour jouer les premiers rôles. Personne n'apprête une assiette quand l'on sait que le gibier n'a pas encore tué. Il faut au préalable une chasse collective pour faire tomber et abattre le ndzokou. Chacun apportera sa gamelle après cela. Pour l'instant, il s'agit de se rassembler et on se rassemble partout où il y a des Congolais : France, Grande Bretagne, Afrique du Sud, Hollande, Etats-Unis, etc. Ceux qui estiment que leurs petites associations suffisent à vaincre le système Sassou & PCTue n'ont qu'à persister dans leur cécité qui ne sert que leur propre ego. Au fond, en rejoignant le MRLC, ils ne perdent en rien la mainmise sur leurs appareils associatifs ou organisationnels. C'est l'union des braves pour la grande bataille avant que les ambitions personnelles ne se déchaînent.

Nous vous invitons à rejoindre le MRLC qui est une initiative collective sortie du Congrès de la Diaspora. Il y a de la place pour tous et chacun peut apporter une contribution multiforme. Nul besoin d'une visibilité ostentatoire pour celles et ceux qui ont peur de se faire remarquer ; on peut se contenter d'aider le Mouvement qui rendra compte de l'usage de votre contribution. N'oubliez pas : en face, c'est un mastodonte, un géant, un Etat devenu anti-Etat. Face à un monstre, il faut un autre monstre sinon on ne boxe pas dans la même catégorie.

Vous regardez comment Denis Sassou Nguesso retourne les moyens de l'Etat contre le peuple au nom duquel il s'endette pour nous laisser demain un pays endetté et en faillite. En politique, la taille fait la différence et force le respect. LE MRLC A BESOIN DE VOUS, MAINTENANT POUR SAUVER L'AVENIR DU PAYS QUI VOUS A DONNE LA VIE. La libération du Congo profitera même à la faune et à la flore, ainsi qu'à l'environnement, c'est-à-dire, à tout le pays car lorsqu'on laisse détruire des pans de forêts, c'est l'habitat d'oiseaux, d'animaux et d'insectes qu'on dévaste en abattant les arbres. Et sans le savoir, on accentue les dysfonctionnements climatiques auxquels nous sommes si mal préparés.

Pour une fois, une organisation fixe un objectif clair à atteindre : libérer le Congo. Tout le travail consister à oeuvrer dans ce sens, par tous les moyens, dans la discrétion.

Ce qui profite à tous est l'affaire de tous. La libération du Congo profitera à tous. C'est donc l'affaire de tout le monde et non de quelques-uns. Vous n'avez pas le droit d'être spectateurs. Il est temps de devenir acteurs du destin de notre peuple. Nous avons beaucoup parlé, marché, écrit. Il s'agit à présent d'agir. Ensemble, nous pouvons libérer le Congo. REJOIGNEZ LE MOUVEMENT REPUBLICAIN POUR LA LIBERATION DU CONGO !

 

LION DE MAKANDA, MWAN', MINDZUMB', MBUTA MUNTU,

PORTE-PAROLE DU MRLC ET DE LA DIASPORA

Partager cet article
Repost0

PrÉSentation

  • : JOURNAL D'ACTUALITES ANIME PAR LE LION DE MAKANDA. SITE WEB DES DEMOCRATES CONGOLAIS COMBATTANT LA DICTATURE SASSOU NGUESSO
  • : Journal d'actualités sur le Congo-Brazzaville administré par le LION DE MAKANDA (LDM) pour les démocrates patriotes du Congo-Brazzaville œuvrant pour le retour de la démocratie perdue en 1997. Nous nous battons par amour avec les mots comme armes et le Web comme fusil.
  • Contact

STATISTIQUES

 

D.N.C.B. : PLUS DE 15.000.000 DE PAGES LUES ***, PLUS DE 10.000.000 VISITEURS DE UNIQUES, *** PLUS DE 3000 ARTICLES, *** 517 ABONNES A LA NEWSLETTER, *** PLUS DE 2500 COMMENTAIRES... 

Recherche

MESSAGE&RADIO&TV DU JOUR

LDM_SWING.gif

                                               

Archives

VIDEO DU JOUR

 

 



Articles RÉCents

IMAGES

SassouKadhafi.jpgBonobo-copie-1.jpgBedieOuattara.jpg4lions-drinking.jpgBernard-Kouchner-Nicolas-Sarkozy-Mouammar-Kadhafi-1.jpgchemindefer-1-.jpgbrazza_la_poubelle.jpgChristel-Sassou.JPGchiracsassou3.jpgedouoyo1.jpglisb1-1.jpgbrazza-la-poubelle-1.jpgplissouba3.jpgdebrazza.jpg