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24 octobre 2006 2 24 /10 /octobre /2006 23:09

  Voici une image (en fin d'article)des conditions de transport ferroviaire dans notre pays le Congo qui nous a été envoyée par un ami. Comment de telles conditions sont-elle possibles, alors que le pays n'a jamais été aussi riche ? Certains pensent peut-être que nous nous en prenons à la mafiacratie de Mpila par pur plaisir...


 

 

 

 

 

Mais si on aime son pays, on ne peut se taire devant l'innommable, devant l'injustice, un simulacre d'Etat carnassier, un ramassis d'incompétents qui ne font que piller et faire piller le pays par des étrangers, devant des bricoleurs politiques au quotidien, des cleptocrates qui n'ont aucun amour ni de leur pays, ni de leurs compatriotes au nom desquels ils règnent au pinacle du pouvoir.

 Ces locomotives datent de l'époque coloniale car aucun nouvelle locomotive  n'a été achetée par le gouvernement congolais. Quand l'on pense que le CFCO (Chemin de Fer Congo-Océan) a été privatisé, on peut se demander pourquoi les Bolloré et consorts ne font rien pour améliorer les conditions de transport dans un pays qui ne finit pas de les enrichir... Une scène insoutenable que nous exposons aux yeux du monde entier afin que l'on sache qu'il n'y a pire esclavagisme que celui exercé par vos propres frères censés agir au nom de tous. Que fait-on de bon avec l'argent du pétrole pour le peuple congolais ? Ni eau potable, ni électricité, ni conditions de transport décentes, ni soins de qualité, ni scolarisation digne de ce nom, ni logements décents. En somme, rien de rien !

 

 Regardez et appréciez : l'image vaut tous les discours de la terre, dans toutes les langues imaginables de la terre. Admirez le spectacle du troupeau humain sous toutes les coutures car la scène n'appartient pas au XXIème siècle mais au moyen-âge ! Le train de la honte ! Le voyage de la misère de tout un pays ! Quatre jours pour faire cinq cents kilomètres ! Comment Sassou peut-il supporter ça ? Ah, j'oubliais, l'homme n'a ni coeur, ni grandeur d'esprit. Et l'on ose dire, écrire que Sassou est un homme d'honneur ? Quel est donc l'honneur d'un chef d'Etat ? Ne s'agit-il pas de la défense des intérêts de son pays et de ses concitoyens ? N'est-il pas au pouvoir pour pouvoir apporter le mieux-être de tous ? Or, il fabrique le mal-être de tous pour être heureux. Comment peut-on être heureux de voir ses frères malheureux ? Non, Sassou est un malade mental comme Néron, Hitler, et j'en passe... C'est un nain d'esprit, un malade du pouvoir, un homme totalement déconnecté de la réalité qui vit dans une bulle mégalomaniaque. Et l'on doit payer pour voyager dans ces conditions ? Sans blague ! Mais c'est une plaisanterie de mauvais goût ! Quand je pense qu'on voyage dans de meilleures conditions au Burkina-Faso, un pays quasi-désertique où il y a de l'eau potable en permanence, un pays qui n'a ni pétrole, ni bois, ni hydrographie insolente ! Quand je pense qu'on a gaspillé 4 milliards de francs cfa pour un mausolée de l'infâmie, un mausolée qui est une insulte gravée dans du marbre, de l'argent qui aurait pu être mieux utilisé ! Non, c'est psychologiquement insoutenable ! Et Sassou ose croire qu'il est capable de résoudre les problèmes au niveau continental ? Mais arrêtez de nous insulter !   Le statu quo est mauvais pour le peuple congolais car il pérennise l'injustice, la misère, les privilèges à une bande d'incapables analphabètes qui croient qu'ils ont plus de noblesse  que le plus petit de mes concitoyens grâce à l'argent volé au peuple congolais. Il faut que le peuple sache qu'il n'est pas obligé d'accepter une telle situation. Il faut lutter contre les choses qui apparaissent insurmontables : une dictature est comme un colosse en argile qu'on peut ébranler si on le veut... Si vous ne faites rien, vous mourrez de faim, de soif, de maladie. Alors, choisissez de mourir dans la dignité en vous levant et en protestant contre ce pouvoir inique qui vous tue à petit feu, chaque jour. Si ça continue, il ne restera du Congo que Sassou et sa petite famille... Mais ça le l'empêchera pas de régner ! Au Congo, le diable a un visage : Sassou Nguesso !!!!!!!!!!!! C'est le bourreau de tout un peuple.

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16 octobre 2006 1 16 /10 /octobre /2006 12:42

ABSTRACT : Dans cet article, nous allons répondre à un certain nombre de questions concernant la vie de l'explorateur Pietro Savorgnan Di Brazza, à savoir : son identité, en quelle qualité est-il venu au Congo, qui l'avait mandaté, est-ce la France ou un organisme privé, quelle était la nature du document signé avec Iloo, le Makoko, tout cela pour voir si le mausolée qui lui a été érigé à Brazzaville a un sens aux yeux de l'histoire, de l'éthique et des valeurs profondes de l'humanité. Nous nous inspirerons d'un livre, "LE PARTAGE DE L'AFRIQUE 1880-1914" (1) dont l'auteur, Henri wesseling, est professeur d'histoire à l'université de Leyde. Nous démontrerons que De Brazza a été mandaté par une association privée, l'AIA, l'Association Internationale Africaine qui avait son siège à Bruxelles et présidée par le roi Léopold. Il a donc à la fois trahi les Belges et les Tékés qui ne savaient pas lire, les Belges parce que l'AIA était belge et les Tékés pour leur avoir fait signer un faux écrit dans une langue et une écriture qu'ils ne comprenaient pas, faux qui avait donné lieu à un faux rapport car celui qui ment ment deux fois au moins : quand on essaie de maquiller un mensonge, il faut un deuxième mensonge et ainsi de suite....

A ceux qui s'interrogent sur le sens du mausolée et sur le pourquoi de la présence du président Chirac, il faut savoir que DE BRAZZA ETAIT UN FRANC-MACON et c'est à ce titre qu'il a été honoré pour avoir permis à la franc-maçonnerie de règner sans partage sur l'Afrique équatoriale française : avec maître Omar Bongo, maître Sassou qui a maintenant sa propre loge, vénérable Déby, etc. Sachez aussi qu'au sommet du pouvoir français, il est de ton d'être franc-maçon, car la fraternité confère un plus large pouvoir qui transcende les partis. Mitterand était un grand maître franc-maçon et dans la franc-maçonnerie, l'obéissance au grade supérieur est indiscutable ; ce qui en fait une secte dictatoriale. Vous comprendrez pourquoi la colonisation ne cessera jamais. L'esclavage aussi... car nos chefs d'Etat africains ne sont tout simplement pas libres !

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(1) WESSELING Henri), LE PARTAGE DE L'AFRIQUE 1880-1914, Paris, Editions Denoël, 1996

 

 

 

 


 QUI EST PIERRE SAVORGNAN DE BRAZZA ? (Source Wikipédia)

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Né à Rome, à Castel Gandolfo, sous le nom de Pietro Paolo Savorgnan di Brazzà, il est le septième fils du comte Ascanio Savorgnan di Brazzà, un noble d'Udine qui compte douze enfants. Son père, homme cultivé et voyageur, avait de nombreux amis français, dont le prestigieux général Louis Eugène Cavaignac. Avec son soutien et celui de son précepteur, Pietro vient à Paris et suit les cours du collège Sainte Geneviève, pour préparer le concours d'entrée à l'école navale de Brest. il y fait son entrée à 17 ans, Il en sort enseigne et embarque sur le Jeanne d'Arc pour l'Algérie, où il est horrifié par la répression de la révolte kabyle par les troupes françaises. La guerre de 1870 est alors déclarée : il veut être affecté dans une unité combattante. Il en profite pour demander la naturalisation française et se retrouve sur le cuirassé "La Revanche", dans l'une des escadres de la mer du Nord.

Avec l'avènement de la IIIe République, sa deuxième affectation est la frégate Vénus, qui faisait régulièrement escale au Gabon. En 1874, Brazza remonte deux fois le fleuve Gabon et l'Ogooué. Il propose ensuite au gouvernement d'explorer l'Ogooué jusqu'à sa source, afin de démontrer que ce fleuve et le Congo ne font qu'un. Avec l'aide d'amis bien placés, comme Jules Ferry et Léon Gambetta, il parvient à obtenir des subsides, complétant avec ses propres ressources. Il est naturalisé français à cette époque et adopte la francisation de son nom. Il doit cependant revenir quelques mois à Paris pour passer son diplôme de capitaine au long cours, afin de demeurer dans la Navale et de poursuivre son dessein.

Pour cette expédition qui dure de 1875 à 1878, il se munit de toiles de coton et d'outils pour le troc. Il est accompagné seulement d'un docteur, d'un naturaliste et d'une douzaine de fantassins sénégalais. Brazza s'enfonce dans l'intérieur des terres, et réussit à avoir de bonnes relations avec la population locale, grâce à son charme et son bagout. Son expédition est toutefois un échec au plan scientifique, car les deux fleuves sont bien différents. En tout état de cause, le 11 août 1878, Brazza et ses compagnons d'exploration, fatigués et malades, décident de faire demi-tour.

A la même époque, un journaliste du New York Herald, Stanley, à la recherche de Livingstone, disparu dans la région des grands lacs, a non seulement retrouvé le missionnaire britannique, mais aussi descendu le fleuve Congo. En 1879, le roi de Belgique, Léopold II, voulant tirer parti de la situation pour les intérêts de son pays, missionne le journaliste pour la construction d’une ligne de chemin de fer.

 LA FRANCE A-T-ELLE MANDATE DE BRAZZA AU CONGO ?

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L'on conviendra que l'on n'annexe pas de nouveaux territoires pour un Etat impérial comme la France sans avoir été mandaté car le voyage coûte cher en matériel (voiliers) et en  hommes (équipage). En l'occurrence, la France ici est représentée par la marine française. Voici ce qu'écrit Wesseling :

"Comme il souhaitait lui-même retourner au Congo, il postula une mission de la marine afin d'entreprendre une action quelconque pour le compte de la France. En vain, car la marine jalousait toujours ce jeune officier qui avait trop de succès à son goût. Mais le ministre pouvait difficilement refuser une faveur à un homme aussi important que Ferdinand de Lesseps (un maître franc-maçon). Aussi, lorsque celui-ci lui demanda d'accorder à Brazza un congé spécial pour lui permettre de remplir une mission pour le comité français de l'AIA, le ministre accepta. Brazza fonderait pour le compte de ce comité deux "stations hospitalières et scientifiques". ...mais il n'était nullement au service du gouvernement ni sous ses ordres. Il était agent d'une association privée. Sa mission ne revêtait pas non plus un caractère politique. Il ne s'agissait pas de fonder une colonie, mais des stations destinées à acquérir davantage de connaissances, à propager le christianisme et à lutter contre l'esclavage. Or dans la région du haut Congo, Brazza vaquerait à de toutes autres occupations" (Wesseling, page 132).

 On y voit un peu plus clair en ce qui concerne le mandataire de De Brazza et des missions qui lui étaient allouées. Il ne s'agit en aucun cas de créer une nouvelle colonie pour le compte de la France qui ne lui avait accordé aucun mandat d'explorateur ou de colonisateur. Et à ce titre déjà, le mausolée qui lui est dédié est encore de moins en moins légitime. Ce n'est pas fini. Je poursuivrai ce feuilleton un peu plus tard quand j'aurai plus de temps...

QUE S'EST-IL REELLEMENT PASSE AVEC ILOO, LE MAKOKO TEKE ?

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PORTRAITS D'ILOO, LE MAKOKO (Makoko est un titre royal )

 

Le 10 septembre 1880, a été signé le traité qui modifierait de façon décisive le cours de l'histoire congolaise. Ce traité est connu sous le nom de traité Brazza-Makoko parce qu'on a cru longtemps que Makoko était un patronyme et non une fonction. Cependant, Makoko était le titre que portait le souverain qui régnait sur la région, le roi Iloo des Batékés. On prétend que dans ce traité, Iloo aurait cédé à la France son territoire ; ce qui est complètement absurde : aucun roi ne céderait son pouvoir de territorialité sans être fou ! C'est d'un illogisme certain puisque Iloo ne savait ni lire ni écrire le français et on pouvait en guise de traduction lui dire n'importe quoi.

  Par ailleurs, dans son rapport au gouvernement, Brazza parlait d'une "protection" que la France aurait établi sur le territoire du Makoko qui s'étendait au-delà du fleuve Congo. Déjà ici, apparaît une première contradiction car protection n'est pas synonyme de cession. Contre qui la France allait protéger le royaume du Makoko ? Cette question montre qu'il s'agissait avant tout de prendre les devants sur les Belges car Stanley n'était pas loin...

  En fait, Brazza n'avait reçu que la permission d'occuper un morceau du territoire congolais en vue de l'établissement d'un comptoir français. Wesseling écrit : "

Ensuite, le 3 octobre, il (Brazza) convoqua les chefs locaux, qu'il considérait comme des "vassaux du Makoko", et prit possession de cette zone "au nom de la France et en vertu des droits acquis le 10 septembre 1880". Il leur déclara qu'il était envoyé par le "chef des Français". Il reconnut plus tard que c'était un petit (sic) mensonge..." (Wesseling, page 134).

 Voilà l'homme qui se voit construire un mausolée sur ma terre congolaise, un imposteur, un menteur, qui a fait signer au Makoko et à ses vassaux des documents sous la menace :

 

"Pourquoi ceux-ci (Makoko et ses rois vassaux) signèrent-ils ? D'abord, des pressions étaient exercées sur eux. Brazza les avertit que les Blancs allaient arriver dans leurs grands canoës et qu'il devaient donc choisir "la paix ou la guerre" (sic !) " (Wesseling, page 135).

  Certains historiens ont parlé d'une tromperie éhontée. En fait, "dans l'esprit des souverains africains, le texte de ces traités ne scellait pas la cession de leurs terres à des étrangers mais plutôt une amitié avec ceux-ci..." (Wesseling).

Qui a un cerveau pour comprendre comprenne....

QUEL EST LE SENS DU MAUSOLEE DE BRAZZA ?

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Déjà, dans sa forme, le bâtiment trahit les éléments de rituels francs-maçonniques comme le triangle qui est en fait une allusion à l'équerre des francs-maçons, les formes rondes évoquant le compas et les colonnes renvoyant à la règle. Sa forme générale renvoie à un symbolisme de l'Egypte antique...  Si je pouvais le visiter (hélas, je ne me trouve pas dans mon pays), je pourrais y trouver plusieurs symboles de cette secte au sommet de laquelle se trouvent de puissants Juifs banquiers internationaux comme les Rotschild.

 Ensuite, il y a les invités dans lesquels on trouve un grand parterre de francs-maçons : Sassou, Bongo, etc. Il est assez curieux que la plupart des chefs d'Etat africains soient des francs-maçons ; ce qui semble apparaître comme une allégeance nécessaire à l'accession au pouvoir : vous acceptez de vous soumettre, vous acceptez l'esclavage de votre propre peuple, ensuite, on vous donne tout...

 Enfin,  la raison occulte évoquée par les mystiques tékés : le nkini, un fétiche qui doit être enterré dans le cercueil d'un grand personnage pour pérenniser un pouvoir injuste. Maître Sassou qui a désormais sa propre loge (il a été bombardé grand maître en 1997 avant qu'il ne s'autoproclame président. Cherchez, l'information a été révélée par la presse...) n'a pas abandonné ses pratiques fétichistes, qui d'ailleurs se complètent aux véritables buts francs-maçonniques qui sont de livrer la terre totalement réduite en servitude, en esclavage à ...un dieu humain, une sorte de représentant du diable qui ne serait que le diable ou le démon lui-même...

  La franc-maçonnerie, en fait,  célèbre un de ses membres qui en usant de mensonges, de menaces ("vous avez pour père le diable et votre père a été menteur depuis le commencement...) leur a concocté une partie d'empire très riche qui n'a jamais cessé d'enrichir la France... éternelle (la première phrase de Sassou devant un média français quand il avait su qu'il avait gagné la guerre, en 1997, a été : "Il faut réconcilier le Congo et la France", comme si les deux pays étaient fâchés ou en guerre !...) Le désir de De Brazza d'être enterré en terre africaine était déjà comblé puisqu'il était enterré en Algérie. Les hippopotames sur le fleuve Congo ne se portaient pas plus mal ! Alors, merde au faux prétexte !

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15 octobre 2006 7 15 /10 /octobre /2006 21:52

Si Nicolas Sarkozy accédait à la magistrature suprême, il serait le premier juif président de la République française, non pas qu'il soit juif pratiquant mais nous avons noté qu'en France, les Juifs n'ont jamais dépassé la primature. Il nous semble plus aisé à expliquer pourquoi madame Ségolène Royal est plébiscitée car c'est une Française d'origne et Strauss Khan et Fabius qui sont Juifs seront certainement battus à ce simple titre. Les Français sont très regardants quand il s'agit de porter une personnalité au sommet du pouvoir et l'apparition de livres révélant les origines juives de Nicolas Sarkozy et sa vie de noble n'est pas un hasard. On pourrait avoir des surprises, car certains membres du camp même de Sarkozy qui l'accusent de ne pas être assez "républicain" pourraient manigancer pour élire Ségolène, une fille de France qui ne critique pas son pays à l'étranger. Et, surtout, qui est bien de France. Elle engrangera, si Le Pen n'est pas au deuxième tour, les voix du Front National. Au sommet de la République, en France, la raison d'Etat semble se confondre avec la raison des origines...  D'autre part, à confondre brutalité et courage, monsieur Sarkozy risque de faire plus peur qu'autre chose ; les français n'aimeraient pas avoir un petit dictateur hongrois au pouvoir. Le réveil de ceux qu'on appellent chiraquo-villepinistes était à prévoir. Le pouvoir ne se donne pas : il faut le prendre ou le mériter mais quoi qu'il en soit, des empoignades sont nécessaires. Mais que croyait donc Sarkozy ? Que le chemin à l'Elysée est le boulevard réservé à un candidat unique prêt à "karsheriser" tout ce qui bouge ?

Qui du courage politique ou de l'origine l'emportera ? Affaire à suivre...

Un sondage place Ségolène Royal victorieuse au deuxième tour sur Nicolas Sarkozy pour la première fois. Certains députés UMP sont par ailleurs prêts à soutenir S. Royal pour barrer le chemin à N. Sarkozy de Nagui Bocsa... Certes les puissances de l'argent qui tiennent les médias soutiennent N. Sarkozy mais les élections sont une question de nombre et les richissimes soutiens de Sarkozy n'y peuvent rien...  Ca promet !


 

 

 

 

NICOLAS SARKOZY : Nicolas Sarkozy, Ministre d'Etat, ministre de l'Intérieur et de l'aménagement du territoire, de son vrai nom Nicolas, Paul, Stéphane Sarközy de Nagy-Bocsa, fils de réfugiés juifs hongrois (père et mère juifs), né le 28 janvier 1955 à Paris 17ème, est le Président du parti de droite au pouvoir, l'UMP, Union pour un mouvement populaire. Il est également Président du conseil général des Hauts de Seine. Il est conseiller municipal de Neuilly-sur-Seine, dont il a été le maire de 1983 à 2002. Nicolas Sarkozy, au mandat de député clos, est considéré par ses détracteurs d'être un leader libéral populiste. Livre : "Nicolas Sarkozy, le destin de Brutus" de Victor Noir, Denis Demonpion, Sonya Faure, Antoine Glaser.


Nicolas Sarkozy, (photo), ici en compagnie du Rabbin Martin Hier, a reçu le "Prix de la tolérance" 2003 du "
Simon Wiesenthal Center" pour "sa" lutte contre l'antisémitisme. Le 22 juin 2005, le Syndicat de la magistrature avait estimé que Nicolas Sarkozy appelait "explicitement à la haine".
Photo, source : http://pro.wanadoo.fr/fil-info.org/gifinfos/nicolas,sarkozy,israel.jpg

Biographie officielle (modifiée) :

NDLR. En raison de ses déboires familiaux récents avec sa femme Cécilia (née Ciganer-Albeniz, ex-femme de Jacques Martin), sa situation matrimoniale "marié, 3 enfants" a été purement et simplement effacée sur le site du Ministère de l'Intérieur et du Premier Ministre. Lire l'édition du quotidien Fil-info-France du jeudi 13 octobre 2005 (N° 1163/22559) qui révèle que Nicolas Sarkozy a porté plainte contre l'Agence France Presse AFP présidée par Bertrand Eveno, pour "atteinte à la vie privée" après la diffusion d'une dépêche reprenant un article du quotidien "France-Soir" qui évoquait une liaison intime entre lui et Anne Fulda, journaliste du quotidien "Le Figaro".

Etudes :

Maîtrise de droit privé (1978)
Certificat d’aptitude à la profession d’avocat (1981)
DEA de Sciences Politiques avec mention (mémoire sur le Référendum du 27 avril 1969)
Institut d’Etudes Politiques de Paris (1979-1981)
Ancien avocat au barreau de Paris
 (Rappel de sa biographie officielle, mais les lecteurs de Fil-info-France disposent d'une autre version, Nicolas Sarkozy est avocat associé en "suspension" au Cabinet d'avocats "SCP Arnaud Claude et Nicolas Sarkozy", devenu en 2002, "SELAS Arnaud CLAUDE – Nicolas SARKOZY". - site officiel - )

Fonctions politiques :

Conseiller municipal de Neuilly-sur-Seine en 1977
Maire de Neuilly-sur-Seine de 1983 à 2002
Vice-Président du Conseil Général des Hauts-de-Seine, chargé de l’enseignement de la culture (1986-1988)
Député des Hauts-de-Seine (6ème circonscription) de 1988 à 2002
Elu Président du Comité départemental du RPR des Hauts-de-Seine le 3 mai 2000.
Elu Président du Conseil Général des Hauts-de-Seine le 1er avril 2004.
Ministre du Budget (1993-1995) et de la Communication (1994-1995)
Porte-Parole du Gouvernement (1993-1995)
Secrétaire national du RPR, chargé de la Jeunesse et de la Formation (1988)
Secrétaire national du RPR, chargé de l’Animation, de la Jeunesse et de la Formation (1989)
Co-directeur de la liste d’union pour les Elections européennes (1989)
Secrétaire Général Adjoint du RPR, chargé des Fédérations (1992-1993)
Membre du Bureau Politique du RPR (depuis 1993)
Coordonateur et porte-parole de l’équipe de transition (10 juillet 1997)
Secrétaire général du RPR (6 février 1998)
Président par intérim du RPR (avril 1999-octobre 1999)
Tête de la liste RPR-DL pour les Elections européennes de juin 1999.
Ministre de l'Intérieur, de la Sécurité Intérieure et des Libertés Locales (2002/2004)
Ministre d’Etat, ministre l’Economie, des Finances et de l’Industrie (2004)
Président du Conseil général des Hauts-de-Seine
Elu président de l’UMP le 28 novembre 2004
Depuis mai 2005, ministre d'Etat, minitre de l'Intérieur et de l'Aménagement du Territoire

Livres :

Georges Mandel, Le Moine de la Politique - Editions Grasset - 1994
Au bout de la passion, l'équilibre - Entretien avec Michel Denisot - Editions Albin Michel - 1995
Libre - Editions XO / Robert Laffont - Janvier 2001


ACTUALITES EXCLUSIVES SUR NICOLAS SARKOZY :
(Source : Quotidien Fil-info-France)


Mercredi 2 novembre 2005 N° 1180/22576

 

 

 

 

 

 

FRANCE : BAVURE : 6ème soirée de troubles en banlieue parisienne nord selon la Brigade des sapeurs-pompiers de Paris (BSPP) qui signale environ 150 départs de feu. Mais les émeutes de Clichy-sous-Bois (Seine-saint-Denis) ont baissé en intensité, et, malgré la présence de près d'un demi millier de policiers quadrillant toutes les cités-dortoirs, environ 70 voitures (NDLR. 68 répertoriées) ont été incendiées à coup de cocktails Molotov, projectile incendiaire artisanal composé d'une bouteille, d'essence et d'une mèche en tissu. Dans des villes voisines de Seine-Saint-Denis, des véhicules ont brûlé à Sevran, Bondy, Villetaneuse, Bobigny et Neuilly-sur-Marne. A Montfermeil, le garage de la police municipale a été incendié. A Aulnay-sous-Bois, les forces de l'ordre ont subi des caillassages. 7 véhicules ont été brûlés à Chelle (Seine-et-Marne). La voiture du recteur de la Mosquée de Paris, Dalil Boubakeur, venu rompre le jeûne du ramadan avec les fidèles de Clichy-sous-Bois, a été la cible de jets de pierres. Est à l'origine de ces émeutes, qui oppose uniquement la police dirigée par Nicolas Sarkozy, Ministre d'Etat, ministre de l'Intérieur et de l'aménagement du territoire, aux jeunes des cités "sensibles" habitées en grande majorité par des Musulmans, la mort de Ziad, 17 ans, et Banou, 15 ans, électrocutés dans un transformateur, le jeudi 28 octobre 2005 à Clichy-sous-Bois (Seine-saint-Denis) en voulant, selon la version populaire, échapper à la police. Le gouvernement de Dominique de Villepin a été déstabilisé après qu'Azouz Begag, ministre délégué à la Promotion de l'Egalité des chances, ait critiqué, Nicolas Sarkozy, mardi 25 octobre 2005, dans le quotidien "Libération", estimant que les mots "voyous et racaille", "Karcher" et employés par le ministre de l'Intérieur lors de ses visites en banlieue parisienne s'apparentaient à une "sémantique guerrière" : "On est là pour éradiquer la gangrène, on va vous débarrasser de cette bande de racaille". Ajoutant : "Je regrette de ne pas être associé (NDLR. Au ministre de l'Intérieur) quand il y a un dialogue difficile avec des jeunes. A chaque fois que mon collègue (NDLR. Nicolas Sarkozy) intervient en banlieue même quand il s'agit d'égalité des chances, je ne suis jamais contacté. Quand on nomme un préfet musulman, (NDLR. Aïssa Dermouche, 57 ans, préfet du Jura depuis le 14 janvier 2004) quand on dit vouloir donner le droit de vote aux étrangers et qu'on envoie des CRS contre les jeunes de banlieue, il y a un décalage". Azouz Begag concluant : "Ca fait 5 mois que je suis au gouvernement (NDLR. De Villepin) et je n'ai pas été assez incisif. J'ai été trop faible". Le 22 juin 2005, le Syndicat de la magistrature avait estimé que Nicolas Sarkozy appellait "explicitement à la haine". Le principal parti d'opposition, le Parti socialiste, a jugé, mardi 1er novembre 2005, "inadmissible" le silence du Premier ministre et du chef de l'Etat, Jacques Chirac, dans les événements de Clichy-sous-Bois, qui sont la conséquence "des provocations récurrentes de Sarkozy". Poursuivant dans un communiqué intitulés "Halte au feu !" : "Lorsqu'un ministre de l'Intérieur n'hésite pas à utiliser des propos injurieux, en traitant de "racaille" et en voulant "nettoyer au Kärcher" des populations qui ont le tort d'être fragiles, c'est l'image de la République qui est ternie" ; "La tension a atteint son paroxysme avec les tirs de gaz lacrymogènes en direction d'un lieu de prière (NDLR. Mosquée) et de surcroît pendant la "nuit sacrée" du Ramadan". "S'agit-il d'une erreur ou d'un acte délibéré ? On est tenté de croire à une énième provocation". Ce communiqué du Parti socialiste qui est signé par le délégué national chargé de l'égalité des chances et de la lutte contre les discriminations du PS, Faouzi Lamdaoui, dénonce "le silence observé par le préfet, le Premier ministre et le président de la République sur ce sujet comme sur la mort des 2 adolescents est tout simplement inadmissible". Nicolas Sarkozy y est qualifié de "ministre-pyromane". Concluant : '"Il est temps de mettre fin au populisme sécuritaire de Nicolas Sarkozy, directement inspiré de l'idéologie de l'extrême droite" ; "Ce que cette dernière a rêvé, Sarkozy l'a fait. L'opinion en est témoin et les électeurs s'en souviendront. Avec la mort de Banou et Ziad nous sommes déjà au stade de l'irréparable". Dominique de Villepin, Premier ministre, a reçu tardivement, mardi soir, pendant plus de 3 quarts d'heure, Azouz Begag, ministre délégué à la promotion de l'Egalité des chances, pour "étudier avec lui les perspectives de la promotion de l'égalité des chances". Il a également reçu mardi soir, Nicolas Sarkozy, avec les familles des jeunes garçons électrocutés à Clichy-sous-Bois, qui avaient refusé l'invitation très médiatisée de Nicolas Sarkozy, accusé par celles-ci d'être "très incompétent". Enfin, Dominique de Villepin a lancé un appel au calme. NDLR. 1 - Le terme employé par Nicolas Sarkozy, "racaille", est raciste dès lors qu'il désigne les Arabes. Ce terme raciste, avait connu son appogé de la fin des années 1900 jusqu'à l’été 2003 sur le site Internet SOS-RACAILLE qui estimait que depuis "depuis 20 ans, la France est colonisée par les immigrés afro-arabes". Ce site, d'abord accusé d'être une émanation de l'extrême droite française et anti-musulmane, présenté même par la presse comme "néo-nazi", était en réalité fabriqué par un ultranationaliste juif, "escroc multirécidiviste" surnommé le "caméléon", Joël Michel Sambuis, ingénieur en informatique déjà condamné à Grenoble. Il sera arrêté le 15 juillet 2003 à Moscou, (Russie) par le département "K" de la Direction centrale des affaires intérieures (GOuVD) de la ville de Moscou, une unité de la police russe chargée de la criminalité liée aux nouvelles technologies. Il est alors sous le coup de mandat d'arrêt international lancé contre lui par la justice française d'au moins 13 chefs d'inculpation, dont celui d'escroquerie à la carte bancaire. ; NDLR. 2 - Nicolas Sarkozy, de son vrai nom Nicolas, Paul, Stéphane Sarközy de Nagy-Bocsa, né à Paris en 1955, fils de réfugiés juifs hongrois, est également le Président du parti de droite au pouvoir, l'UMP, Union pour un mouvement populaire. Nicolas Sarkozy a reçu le prix de la tolérance 2003 du "Simon Wiesenthal Center" pour "sa" lutte contre l'antisémitisme. ; NDLR. 3 - Liste des sites considérés "racistes" sur Internet, établie par la Commission Nationale Consultative des Droits de l'Homme, tel que France Echos ou ISLAM ECHOS ; Musulmanes on line ; Sos France, "site contre l'islam et les collabos" ; SOS ISLAM ou SOS FRANCE ; Merde in France ; A lire, "Nicolas Sarkozy, le destin de Brutus" de Victor Noir, Denis Demonpion, Sonya Faure, Antoine Glaser. (Source Fil-info-France)

 

 

 

 

 

 

 

 

 

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13 octobre 2006 5 13 /10 /octobre /2006 19:35

Paulin Makita, secrétaire général de l'UPADS par intérim intente un procès en faux et usage de faux contre Gamassa, président par intérim familialement désigné, Koukébéné, ancien ministre richissime des hydrocarbures et Leyinda auprès des tribunaux français pour éviter le traquenard de la justice congolaise...

Nous avions démontré pourquoi ces documents prêtaient à suspicion (cf. l'article ...SUSPICION SUR GAMASSA ET SON CLAN.)

Dans l'état actuel de santé déclinante du président Lissouba, le bon sens aurait voulu qu'on s'arrête aux décisions que le professeur Lissouba aurait prises en toute lucidité d'esprit, en pleine possession de ses moyens intellectuels... Mais ce n'est qu'une idée !

Affaire à suivre....


 

Les parlementaires adoptent la loi de financement des Partis politiques

 

 

Mardi 7 mars 2006 | Par Keila Samuel

 

 

Au-delà de ce qu’ils constituent des associations telles que prévues par la loi de 1901, les Partis politiques seront désormais, au Congo, régis par la loi adoptée ce 24 février par l’assemblée nationale au cours d’une séance plénière et ce 2 mars par le sénat.

 

 

Conformément aux dispositions des articles 52, 53, 54, 55 et 111 de la constitution du 20 janvier 2002, cette nouvelle loi a pour objet de régler, entre autres, la création et le financement des formations politiques, tout en mettant un accent particulier sur le caractère national des partis comme un critère fondamental pour leur fondation et pour leur faire bénéficier des subventions.

 

 

Ainsi, au regard de cette nouvelle exigence, les Partis politiques, en plus de leurs sièges nationaux, doivent posséder des membres et des sièges nationaux permanents dans tous les départements du Congo. Cette disposition doit permettre la mise en place en leur sein des organes dirigeants reflétant la diversité ethnique nationale. « Il ne s’agit pas a révélé le Ministre de l’administration du territoire et de la décentralisation, M. François Ibovi, de faire que les 82 ethnies que compte le pays se retrouvent au niveau des organes dirigeants des Partis politiques, mais plutôt de s’efforcer de faire en sorte que la diversité ethnique soit respectée. » Et de notifier : « (...) L’ethnie ou la tribu n’est pas un mal en soi, c’est leur instrumentalisation à des fins politiques qui pose problème. »

 

 

Ce document exige que les Partis politiques prennent en compte la représentativité et la promotion de la femme, pour garantir et d’assurer leur présence au niveau de toutes les fonctions politiques, électives et administratives conformément à l’article 8 de la Constitution.

 

 

Cette loi interdit aux Partis politiques de créer ou d’entretenir des milices privées afin de permettre la conquête et l’exercice pacifiques du pouvoir.

 

 

Le financement des Partis sera désormais assuré par l’Etat, réglementé et soumis au contrôle de la Cour des Comptes et de Discipline Budgétaire. Ceci dans le dessein d’enrayer la corruption et d’éviter toutes sortes de pratiques illégales et d’interdire des financements provenant des personnes privées et étrangères, des entreprises, des églises et des confessions religieuses.

 

 

L’Etat apporte d’une manière équitable, son concours financier aux Partis politiques et groupements politiques représentés au parlement. Une subvention calculée en fonction du nombre des députés ou sénateurs qu appartiennent ou déclarent se rattacher à une formation ou groupement politique bénéficiaire.

 

 

Il en est de même pour les Partis politiques ou groupements politiques non représentés au parlement ayant présenté des candidats dans plus de la moitié des circonscriptions électorales et obtenu au moins 5% de suffrages exprimés sur l’ensemble des circonscriptions électorales.

 

 

Le projet de loi interdit aux confessions religieuses de se transformer en Partis politiques ou en instruments de propagande politique.

 

 

A titre transitoire, il est imparti un délai de 12 mois est accordé aux formations politiques créés avant la promulgation de la présente loi pour se conformer à ces disposition


 

Pour mettre une pincée d'humour à toutes ces affaires, disons que "pagaille invocat pagaille", la pagaille appelle la pagaille...

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11 octobre 2006 3 11 /10 /octobre /2006 18:01

La guerre fratricide au sein du parti aux trois palmiers a fait au moins un heureux : Sassou et ses sbires au travers de leur parodie de justice institutionnelle. En effet, Sassou a simplement estimé que ni le Conseil National ni le Conseil de Supervision censé organiser le congrès, n'avaient la moindre prérogative de diriger notre tripalmeraie nationale sans nous dire à qui revenait ce droit ! Quand deux cafards vont se plaindre auprès d'une poule, dit le proverbe, il est normal que les deux nigauds soient avalés par la poule heureuse de s'offrir un gueuleton sans effort car les proies sont venues à elle... Le pouvoir a saisi l'opportunité de s'immiscer dans la gestion interne d'un parti pour y ajouter à la confusion ambiante. Un document du ministre Ibovi assure la large diffusion de la justice renvoyant dos à dos les frères ennemis en les personnes de Gamassa et de Mouyabi.

Cette posture du pouvoir amène des réflexions par delà la réalité qui voudrait qu'il y ait non ingérence dans la démocratie interne d'un parti national par le pouvoir en place ; ce qui du reste est une violation flagrante des libertés et une tentative de désorganisation du parti tripalmier, l'UPADS :

1) A qui profite l'ingérence ?

Certes les Chinois qui louent le siège de l'UPADS peuvent manger leur riz cantonné tranquille mais là n'est pas le plus important car cette occupation dénote de la morbidité du parti à Brazzavile car une activité visible au travers de ce siège n'existe plus. En effet, si l'union Pan Africaine pour la Démocratie Sociale était revenue s'installer dans ses locaux, les Chinois auraient ri jaune en allant manger leur canard parfumé ailleurs ; ce ne sont pas les bâtiments qui manquent. A moins d'y voir dans cette occupation sans bail préalable une taloche du pouvoir voulant ridiculiser l'UPADS jusqu'au bout...

- A Sassou, bien sûr puisqu'il empêche une possible organisation du congrès qui aurait donné des instances viables au parti du professeur Lissouba et des redoutables candidats pour les prochaines élections de 2007 et 2009;

- A ceux qui au sein du parti sont en collusion (et ils sont plus nombreux qu'on ne le croit) avec lui (la souris venimeuse d'Oyo ou Cobra-Souris) car il cherche à contrôler ce parti en y mettant au pinacle une marionnette comme Poungui. En effet, Sassou a pénétré le parti en y soudoyant certains cadres qui auraient pour mission de lui accommoder la puissance électorale de ce parti aujourd'hui en lambeaux pour contrer la révolte des Tékés qui gronde et qui monte en puissance. Qu'on le sache, la tékité n'a pas renoncé à récupérer le pouvoir ravi à Ilo par ruse pour enfin créer un axe politique téké du Congo au Gabon. Bongo intrigue et intrigue encore. En essayant de peser sur l'élection du roi Makoko, Sassou veut montrer qu'il règne bien sur tous, même sur les pouvoirs occultes et virtuels. Aujourd'hui, nous constatons après avoir été parmi les premiers à critiquer le mausolée De Brazza, cette glorification de la colonisation qui n'est qu'un esclavage déguisé car les mots fluctuent mais les rapports restent les mêmes,  que des voix s'élèvent dans le même sens. Un article sera publié pour montrer la félonie de De Brazza qui n'avait pas été mandaté par la France dans son initiative d'explorateur. Eh oui, les dés étaient tronqués déjà au départ.

La légitimité des organes du parti est-elle le fait de la justice du pouvoir car celui qui paye c'est Sassou et cette justice lui est donc justiciable ou du jeu de la démocratie interne qui manque tant à l'UPADS ?

2) Pourquoi Mouyabi et Gamassa, les deux "cafards", en ont appelé à la poule Sassou ?

 Parce que le pouvoir interne est moribond au pinacle de l'UPADS. Tout se passe comme si le parti, à l'instar d'un Lissouba malade, s'était mis à balbutier. C'est le drame des institutions basées sur le culte de la personnalité, grande ou petite, qu'importe. Les intrigues sont légions, la tentative de se maintenir au sommet à tout prix, manifeste. Une pagaille qui doit profiter car pourquoi se battrait-on s'il n'y avait aucun enjeu ? Les buts en politique ne sont pas honorifiques mais sonnants et trébuchants. N'est pas mère Thérésa qui veut, encore que le Saint-Esprit au contraire de la raison selon Hegel, aura bien survolé le Congo aux ruelles bardées d'assemblées de prières.

La prière à chaque coin de rue indique que le Congo est devenu "LA REPUBLIQUE DU DESESPOIR, LE TABERNACLE DE LA DEMISSION DE LA RAISON, LA FOLIE RATIONNELLE D'UN PEUPLE EN DELIRE, LE MONOLOGUE D'UN PEUPLE QUI A TOUT PERDU MÊME SES DIEUX, LE DESESPOIR DEVENU LOUANGE A GENOU DEVANT UNE CROIX DE L'IMPUISSANCE AVOUEE, etc.".

Parce que Lissouba a perdu la faculté de la parole et ne s'adresse plus à sa base. Si Saint Pascal avait parlé, les miliants auraient suivi puisque Mbéri n'arrive plus à gagner la moindre élection au Congo. Or, l'homme, dit-on, est devenu "un légume humain" sans avoir mis de l'ordre dans la palmeraie aux trois petits palmiers mais aux innombrables militants. On pourrait se demander dans tout ceci où se cache Brutus... L'UPADS est-elle amenée à se "légumiser" comme Lissouba ? Lissouba aurait mieux fait d'organiser un Congrès Extraordinaire pour mettre en place des institutions plus stables pour que son parti lui survive quand il était en état de le faire car il risque de mourir avec lui. Quand l'aigle prophétique parle, vous devez y prêter attention... En tout cas, plusieurs facteurs sont nécessaires pour l'émergence d'un leader politique : le contexte historique, politique par l'existence d'une instance comme un parti, le temps, le charisme personnel, la stature morale, l'exemplarité, la ténacité du combat politique, l'intelligence, le niveau d'instruction, la chance événémentielle, etc. Or, tous ceux qui auraient pu prétendre succéder à Lissouba sont d'une façon ou d'une autre souillés politiquement et ce n'est la désorganisation qui fera d'un Moungounga ou d'un Mbéri les nouveaux lissoubas. La guerre de succession a déjà commencé du vivant même de Lissouba.

 

3) Qui doit résoudre les problèmes internes à l'UPADS ?

En tout cas pas Sassou, pas la justice congolaise, même pas la nouvelle loi muselière de Dengès mais la plus haute autorité morale du parti, celle qui pourrait en imposer : LISSOUBA. Or, LISSOUBA EST DEJA POLITIQUEMENT MORT AVANT DE RETOURNER DANS L'HADES... LE SILENCE, C'EST LA MORT ET MÊME LES VIEILLES VIDEOS NE PEUVENT GENERER UNE RESURRECTION POLITIQUE... LISSOUBA EST MORT, VIVE LE DESORDRE...

QUE NAISSE BRUTUS POUR QUE ROME SURVIVE....
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10 octobre 2006 2 10 /10 /octobre /2006 10:58
 

      La famille comme mode de gouvernance politique, tel est le crédo du pouvoir de Brazzaville après le putsch de 1997. S'appuyer sur les enfants, les neveux, la belle-famille (laquelle est assez large puisque Sassou est polygame, même si Antoinette est celle qui est publiquement présentée comme l'unique épouse du président Sassou), etc par des transactions qui font que l'argent de l'Etat congolais est détourné au profit de Sassou et des siens sans que personne y trouve à redire. Le parti, en l'occurrence, le Parti Congolais du Travail (P.C.T.) sert de paravent pour limiter les mécontentements mais qu'à cela ne tienne, dans chaque ministère, un parent du président tient véritablement les rênes du  pouvoir, le véritable exercice de l'autorité. Et la famille comme mode de gouvernance du pouvoir ou même comme mode de succession s'observe de plus en plus dans l'échiquier politique congolais. A juste titre, Kolélas s'appuie désormais sur ses enfants pour contrôler son parti le MCDDI et à l'UPADS, c'est Pascal Gamassa qui vient de prendre la présidence par intérim du parti, au dam de Paulin Makita et de Christophe Moukouéké...

  La famille peut-elle être un mode de gouvernance politique ? Oui ! Par mode de gouvernance politique, nous entendons l'organisation humaine et le mode juridique qui sont utilisés pour diriger un pays, un Etat, une nation. Dans le cas des dynasties, des royaumes, des principautés, cela se comprend mais dans le cas d'une République comme le Congo-Brazzaville, on sait que cette pratique n'est pas légitime. En effet, la royauté ou la principauté sont constitutionnelles et l'exercice du pouvoir par la famille a tout pour être légitime. Mais en dictature, rien n'est interdit, quand bien ce n'est pas légal. En effet, dans la réalité,  rien n'interdit à Sassou de prendre un neveu comme conseiller spécial... Ici, les notions de mérite ou de compétences n'ont aucune importance car seule compte la confiance que le dictateur Sassou a en vous.

   En instaurant un régime présidentiel fort, Sassou a voulu concentrer la totalité du pouvoir entre ses mains. Mais comment exercer véritablement le pouvoir, le contrôle sans avoir le don d'ubiquité ? La réponse : la famille. Il s'agit à la fois de s'appuyer sur elle pour exercer le pouvoir politique et le pouvoir économique. Pratiquement tout le secteur public congolais a été privatisé : les transports, la communication, la poste. Et les repreneurs ne sont autres que les membres de la famille présidentielle. Sassou donne aux siens l'argent de l'Etat congolais pour leur permettre de créer des sociétés anonymes dans lesquelles il est actionnaire et en plus leur confie les marchés de l'Etat. On dénote que de nombreux chantiers estimés au pif donnés à la famille Sassou n'ont pas été menés à terme. Mais qui s'en plaindra puisque l'Etat, le maître-d'oeuvre ne se plaint pas ? Il  s'agit d'un système de détournement légal (même si ça semble contradictoire) :

-on provoque la faillite des entreprises publiques, on les revend à la famille puis on leur refile les marchés de l'Etat. C'est un processus qui permet de transformer de L'ARGENT PUBLIC EN ARGENT PRIVE, sans que personne ne soupçonne la manoeuvre... 

   Pour le pétrole, il s'agit d'un domaine sensible, puisqu'il est catalogué "richesse nationale" (une richesse vendue d'avance qui ne profite en fait pas du tout au peuple congolais qui est l'un des plus endettés de la planète) mais Sassou a trouvé l'astuce :

-créer des sociétés privées off-shore situées hors du Congo, dans des paradis fiscaux, avec à la tête toujours le même personnage : Denis Gokana, conseiller spécial du président et neveu de sang royal (mais à qui appartiennent véritablement ces sociétés anonymes, surtout si l'actionnaire majoritaire ne se divulgue pas ?);

-et leur vendre le pétrole congolais au travers de la SNPC (Société Nationale de Pétrole Congolaise) à des prix défiant toute concurrence pour ensuite empocher la plus-value à titre privé sur le marché international où le pétrole est à 70 dollars.

   Sassou utilise à présent ses fils pour surveiller le pompage du pétrole au large car il n'est plus question de faire des cadeaux ou de perdre une portion des miettes qui sont dévolues au Congo-Brazzaville dans la distribution de la manne pétrolière.

   La famille, c'est l'assurance que l'on ne sera pas trahi (on dit Sassou a un numéro spécial pour la famille) et de plus, on a une autorité naturelle sur elle par la fonction, par le pouvoir politique et par le sang. Celle-ci sait que c'est par vous qu'elle a le pouvoir donc, elle vous soutient jusqu'au bout. Dans le monde des affaires normales, on trouve des affaires familiales qui sont soumis à la concurrence et qui doivent souvent s'ouvrir à des actionnaires étrangers. Ici, l'actionnaire principal anonyme, c'est l'Etat congolais. Et ce de manière gratuite. L'Etat n'est plus une institution juridique mais se réduit comme dans le cas de la royauté à un homme. Il ne manque plus à Sassou que le droit divin...

   Les enfants du cobra royal ont grandi. Tout comme les neveux (dont le plus connu est Willy Nguesso, le fils de Maurice Nguesso, celui qui s'occupe du domaine présidentiel). Ils peuvent donc aider leur père à piller le pays, et cette fois-ci de façon à le saigner à blanc. Ca tombe bien : il y a de l'argent dans les caisses de l'Etat. Les ministres ne peuvent être totalement contrôlés : on ne les voit pas quand on veut, on ne leur fait pas totalement confiance car ils peuvent dévoiler les secrets de la prédation. En fait, ils ne sont là que pour donner l'illusion qu'il y a un parti au pouvoir dans lequel en réalité on ne compte plus : depuis son accession au pouvoir Sassou II n'a organisé aucune réunion du P.C.T. L'objectif poursuivi par Sassou est simple : on a perdu une fois le pouvoir et on a vu ce que ça faisait de ne plus avoir un puits d'argent dans lequel on puisait à volonté. Cette fois-ci, on va s'enrichir et ne plus gaspiller le moindre pétrodollar en le conservant au sein de la famille. La famille rassure, nous aime et est prête à nous défendre bec et ongles. Le coup d'Etat a affaibli le parti : en effet, ce n'est pas de lui qu'on tient le pouvoir. On peut donc le négliger en lui donnant des miettes de pouvoir. La famille est le grand gagnant car elle s'est encore un peu plus rapprochée du président Sassou. Au fait, combien d'enfants a le président Sassou ? Vingt ? Trente ? Il ne s'agit pas bien entendu d'enfants légitimes mais d'enfants que le président fait parfois avec des femmes déjà mariées et qu'il reconnaît quand même ! La famille sert aussi à avoir des alliances à travers toutes les ethnies.  En fait, Sassou se comporte comme un chef tribal. Ce n'est pas vraiment une innovation politique, la famille comme mode de gouvernance. De nombreux dictateurs le font. D'ailleurs, on se rend compte que les fils succèdent au père en politique, en Afrique. C'est le cas au Zaïre pour Kabila fils ou au Togo pour Eyadéma fils.

  La famille comme mode de gouvernance politique, c'est l'assurance que les décisions prises dans le giron familial seront tenues dans le secret. Elle est facile à coordonner car elle tourne au quotidien autour du président.  Elle instaure entre ses membres une solidarité organique, un consensus implicite. Les décisions sont rapidement évaluées, la coordination des actions mafieuses plus rapide, le retour sur information vite encaissé. La coopération de la famille est immédiate car elle se sait héritière de tout ce que l'un de ses membres entreprend. Le mode opératoire se fait sur la base de la confiance et du bricolage politique au quotidien car Sassou n'a aucun projet politique pour le Congo. Nous avons démontré en quoi la "NOUVELLE ESPERANCE" n'était qu'une farce politique dans un précédent article. Sassou II est avant tout un règne totalement tourné vers l'enrichissement au travers du réseau familial. Maurice Nguesso, l'aîné du président Sassou, va créer une société aérienne sur les cendres de la société nationale "LINA CONGO". On sait d'avance d'où vient l'argent qui constituera le capital de la société...

   Le seul accroc de ce mode de gouvernance, c'est qu'en s'éloignant du parti (on dit que Sassou aurait l'intention de créer son propre parti car le P.C.T. semble être divisé en deux camps), de l'ethnie, on risque de les voir se retourner contre le président. En souris prudente, Sassou sait qu'il doit jeter du lest en achetant la paix sociale - par la corruption. Par ailleurs, mêler la famille à la mafia politique peut les exposer à la vindicte populaire (on ne s'étonnera donc pas que Sassou se déplace parfois avec de nombreux membres de Sassou ou pourquoi il a construit un aéroport à Olombo). Le sentiment d'injustice trop contenu explose toujours un jour et la furie du peuple est semblable à une folie furieuse.

    L'actualité tchadienne doit donner à réfléchir au président Sassou : en effet, la rébellion ou l'insurrection vient de sa propre ethnie (or, des rumeurs d'assassinat du président dans son propre fief nous sont parvenues. Où dort Sassou ? Au Congo? Au Gabon ?) et quelques neveux écartés des affaires sont parmi les instigateurs. Il vaut mieux donc être en bons termes avec la famille. L'armée congolaise doit être fortement composée et dirigée par les proches de Sassou et la détention des armes doit être entre leurs mains. A chaque fois qu'il y a disparition d'armes dans un commissariat, Sassou tremble. Hélas, il y a trop d'armes en circulation au Congo-Brazzaville et la famille royale congolaise ne peut pas réussir à contrôler toute l'artillerie qui se trouve dans la nature. La récupération des armes a été un fiasco. Or, toute dictature est basée sur la force et devant une balle, aucun franc cfa ne peut servir de bouclier.

   La famille comme mode de gouvernance n'est pas une nouveauté mais au Congo-Brazzaville, on redécouvre ses avantages, surtout, on l'utilise pour transformer de l'argent public en argent privé familial, des sociétés publiques en sociétés privées, on se sert d'elle aussi pour acheter tout le pays (Edith Lucie Sassou Bongo s'en charge).


 

 

 

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7 octobre 2006 6 07 /10 /octobre /2006 10:12
La Suisse par votation vient de durcir les conditions d'immigration pour les étrangers non communautaires, entendez les ressortissants du sud, donc les Noirs. Sarkozy avait déjà annoncé le ton avec son immigration choisie (on se demande si le critère racial ne sera pas le critère le plus important, vu que les yeux verts de nos hôtes s'offusquent de voir tant de peaux noires). Même le socialiste Zapatéro revoit actuellement sa politique.
Espace Schengen oblige, toutes les politiques européennes en matière d'immigration vont aller en s'uniformisant...
Que dit le président de l'Union Africaine pour la défense des immigrés africains ? Rien ! Sassou sait pourtant que nous ne fuyons que les dictatures que nous impose l'Europe, notamment la France. Sassou, Déby, Bongo, etc., tous des pions des puissances européennes de l'argent qui nous rendent la vie invivable en Afrique.
Cependant, que l'Europe se rassure : nous viendrons toujours plus nombreux souiller leurs rues tant qu'elle ne se décidera pas à nous débarrasser des pantins qu'elle a installés au pouvoir en Afrique. Dans des embarcations de fortune, par avion, par route, même si nombreux se noient ou sont réfoulés, nous viendrons. Ne voit-elle donc pas qu'aucune politique de l'immigration ne réussit ?  La solution est toute simple : au lieu de faire des débats à la télévision où les immigrés ne sont pas invités, il faut faire une véritable conférence internationale sur les vraies causes de l'immigration. La première loi de l'univers est la recherche du bien-être, du mieux-être pour chaque être vivant et cela implique parfois de changer l'espace pour trouver le bonheur...

Où a-t-on vu les oiseaux d'Afrique dire aux oies d'Europe : sortez vos cartes de séjour car vous n'avez pas à fuir la rudesse de l'hiver ?
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2 octobre 2006 1 02 /10 /octobre /2006 11:20

Voici des mois que monsieur Sassou est à la tête de l'Union Africaine, cette organisation dont le siège est à Addis-Abbeba et dont on peut se demander à quoi elle sert puisqu'elle n'a pas un budget conséquent à ses activités. En effet, le président en exercice doit puiser dans les caisses de son pays pour vaquer à ses prérogatives. Voilà le beau cadeau fait au Congo dont les enfants ne voient déjà pas un centime de l'argent du pétrole et du bois...

Donc, vous conviendrez que ce poste est honorifique et Sassou espère surtout y tirer un prestige par sa stature internationale sur l'échiquier politique national : il faut préparer les élections de 2007 et de 2009 et ce n'est pas gagné d'avance !

Regardons les dossiers chauds du continent africain et comptabilisons les succès accumulés par monsieur Sassou :

1) la Côte d'Ivoire : les rebelles ne désarment pas, Bagbo ne lâche pas le pouvoir et conditionne l'organisation des élections présidentielles par le désarmement des rebelles qui eux ne veulent pas désarmer tant que Bagbo est à la tête de l'Etat. L'échec de Sassou est cuisant et ce n'est pas la volonté française de vouloir gonfler les pouvoirs du premier ministre Konan Banny qui va changer quelque chose. Du reste, monsieur Sassou a reconnu son échec ;

2) le Darfour ou le spectacle d'un génocide doublé d'un scandale humanitaire. Sassou ne réussit pas à imposer les casques bleus de l'ONU à la place du contingent de militaires africains inexpérimentés. Les milices arabes continuent à brûler les villages, à tuer, à violer les femmes noires, etc. Sassou ne parvient à rien ;

3) les grandes causes comme le sida ou la fracture du numérique, la lutte contre la faim : Sassou n'a rien fait. L'idée d'une taxe sur les billets d'avion est celle de son maître Chirac. Quant à la fracture du numérique, dans son propre pays, c'est lui qui détient ce marché et les prix exorbitants qu'il pratique au travers de sa société CELTEL ne permettent pas au plus pauvres d'accéder à internet. Aucun succès engrangé au compteur. Au contraire, les gens meurent de faim en Afrique, notamment au Congo-Brazzaville, un pays immensément riche où la majorité a moins d'un dollar par jour pour vivre ;

4)les enjeux sur l'environnement : absolument rien et Total peut continuer à souiller nos côtes ;

5) le conflit entre le Soudan et le Tchad : le crédit d'une réconciliation virtuelle est à attribuer à Kadhafi et non à lui car on l'a vu profiter de la situation pour faire comme si c'était lui qui avait réconcilié les deux chefs d'Etat tchadien et soudanais;

6) sur la question de l'annulation de la dette continentale, on peut dire qu'il n'a rien obtenu car l'initiative ppte (pays pauvres très endettés) est déjà problématique pour le Congo où le vol et le détournement font rage;

7) nous avons failli oublier ce qui se passe en Somalie avec le règne des milices qui appliquent la charia. Il s'agit par ailleurs d'un dossier sensible dont on parle peu en ce moment et personne n'a entendu monsieur Sassou proposition la moindre pécadille de solution !

 

Alors, pourquoi échoue-t-il ? Mais pour une raison simple ! Il est incompétent car il n'arrive pas déjà à résoudre les problèmes de son propre pays, ce qui devrait être le premier critère de nomination d'un président d'une organisation et SURTOUT PARCE QU'IL NE PEUT PAS CORROMPRE !

Eh oui ! Sassou se retrouve en face de personnes qui ont des convictions et son argent n'y peut rien, encore qu'il s'agisse de l'argent volé au peuple congolais. La preuve de son incompétence en tant que chef d'Etat va se savoir si ce n'était déjà le cas. Franchement, il n'y a rien de bon dans cet homme et tous les Africains et le monde entier va le savoir. On n'est pas aussi bon diplomate que voleur : voler son peuple c'est plus facile mais résoudre des problèmes dans l'intérêt des peuples, ça demande plus de sérieux et ce n'est pas un maître d'école primaire qui peut posséder l'envergure nécessaire à de telles tâches.

 

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25 septembre 2006 1 25 /09 /septembre /2006 21:37

Il est désormais possible de suivre en différé le journal du Congo-Brazzaville sur le site http://www.congo-site.com/ du pouvoir de Brazzaville et on y apprend des choses qui font pitié comme cette distribution de quelques moustiquaires à Pointe-Noire dans le quartier infesté de moustiques, Libodo, à Pointe-Noire, en grande pompe par le ministre d'Etat Tati Loutard.

Tandis que l'aéroport d'Ollombo engloutit des milliards (on a déjà dépassé les cent milliards), la nouvelle désespérance de Sassou se traduit ailleurs par la distribution de quelques dizaines de moustiquaires dans le quartier le plus mal famé de Pointe-Noire. Il est aisé de comprendre l'embarras de Lou-tard, le ministre d'Etat l'écrivain qui arrivait toujours en retard à l'école (d'où le surnom de lou-tard ou le retard, en vili) quand il affirme qu'il faudrait que seuls les plus pauvres en reçoivent. Mais l'Etat n'a-t-il donc pas planifié cette distribution ? C'est quoi "les plus pauvres" ? A l'once de quoi se mesure cette pauvreté ? Est-il concevable que dans les familles nombreuses de ne recevoir qu'une moustiquaire, au nom de la très grande pauvreté ? Non, monsieur le président de l'Union Africaine, c'est une véritable campagne de démoustication qu'il faut engager et ça, ta nouvelle désespérance ne peut l'envisager car tu ne sais qu'ajouter à la pauvreté de ton peuple. Toi, tu bois de ton eau Okiessi tous les jours pendant que ton peuple a soif ; toi tu as ta centrale solaire à Mpila, ton peuple croupit dans le noir à cause des coupures intempestives d'électrcité. Il faudra quelque pouvoir surnaturel pour que ce peuple t'élise à nouveau mais en maître vaudou, tu as déjà trouvé la solution !

Le Congo-Brazzaville vient de construire un mausolée qui aurait permis à toute la population de Pointe-Noire aux restes de Savorgnan de Brazza, ce menteur qui a trompé Makoko car il n'était même pas mandaté par la France quand il a signé le fameux contrat de Mfoa avec Makoko.

A quoi sert-il en réalité ? Théophile Obenga aurait-il fait de Sassou un féru en histoire ? Les vieux Tékés disent à y dissimuler le fétiche nkini qui permettrait à Sassou de règner à vie sur le Congo-Brazzaville. En honorant Pierre Savorgnan de Brazza, c'est le mensonge primordial que Sassou honore. Du mensonge dont Satan est le père, il ne peut naître que le mensonge. Toute une histoire de mensonges !

Pendant que les Congolais n'ont même pas une carte d'identité dans leur propre pays, voilà que celui qui a vendu le pays à la France, cet Italien assoiffé de gloire, se fait une éternité chez ses esclaves. C'est normal car Sassou est l'héritier des esclavagistes en tant que grand maître esclave. Il aura beau se gratter la peau à l'ambi de sa femme (voir la photo avec Bush, un autre faux-cul de la politique mondial) qui ne cesse de venir se réfugier en France, chaque fois que son Otsiombé de mari fait un nouveau bâtard, il ne sera qu'un petit homme homme minable que l'histoire oubliera jusqu'au nom, symbole de toute la satanerie de la terre... En fait, on ne vit que dans la mémoire des hommes ; c'est pourquoi nous tuerons jusqu'à ta mémoire, Otsiombé pour éradiquer de nos mémoires le souvenir de la période la plus sombre de l'histoire de notre Congo !

 

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18 septembre 2006 1 18 /09 /septembre /2006 10:10

Enfin, un message clair, net, limpide du président Lissouba en direction de son parti et du pays sur le site www.upads.org ! Nous avons dit que le professeur devait parler au peuple congolais et cette vidéo où l'homme est seul, serein, dans toute sa magnificence et toute la splendeur de son aura, ne laisse place à aucun doute. Lissouba is back ! La bête politique est de retour ! C'est avec enthousiasme que j'écris cet article car j'ai retrouvé le "Président" dans sa stature nationale et les éléments à tirer de cette vidéo sont nombreux :

1) son caractère récent : Lissouba y parle du prochain congrès et des échéances à venir, à savoir les élections de 2007 et de 2009;

2) la confirmation d'un certain nombre de choses :

- le sommet de la direction du parti en sa personne et celle du secrétaire général Paulin Makita tant envié ;

- la radiation de Mbéri et de Kignoumbi Kia Mboungou;

-la suspension de Moukouéké ;

3) les éléments nouveaux :

- Lissouba parle du recensement des militants et de la nouvelle carte de l'UPADS ; ce qui atteste du caractère récent du discours.

Au niveau de la section Rhône-Alpes, il va falloir se réunir et commencer à étudier comment faire le recensement à partir d'anciennes adresses actualisées.

A l'attention du secrétaire général Paulin Makia, je souhaiterais d'orès et déjà me procurer la nouvelle carte. Il lui suffira de me dire combien elle coûte et quelle procédure il me faudra suivre pour me la procurer.

A ceux qui pour des raisons subjectives n'aiment pas Paulin Makita, nous disons que cette vidéo publique puisqu'elle sur internet le confirme dans ses attributions et nous sommes prêts, si les choses sont exactes à le soutenir car il  s'agit de préparer les joutes politiques futures, d'examiner à nouveau les textes du parti et son projet et de préparer les hommes aux nouvelles batailles politiques.

Il s'agit de préciser que nous faisons une critique constructive à l'intérieur du parti et à l'égard du bourreau de Brazzaville car la critique fondée est entendue et mène parfois à des changements d'attitude quelque peu positifs, même à l'égard d'une dictature.

La vidéo est courte à cause des exigences internet mais il s'agira de préciser les instances et non seulement les hommes car nous ne savons pas quelles sont les instances que le président Lissouba a conservées au sein du parti, notamment celle qui doit préparer le congrès.

Monsieur le président,

professeur Pascal Lissouba,

vous êtes le seul à faire barrage à Sassou car seul vous l'avez battu aux éléctions présidentielles, nous sommes derrière vous, pour l'intérêt du peuple congolais : il faut terminer le travail que vous avez commencé maic cette fois-ci avec des hommes nouveaux, loyaux, en donnant une bonne place aux jeunes talents au sein du parti car l'ancienne élite de l'UPADS issue du PCT (Parti Congolais du Travail) est "politiquement sclérosée", ses méthodes de travail ayant longuement, pendant plus de quarante ans fait la preuve de leur médiocrité.

Pour le prochain congrès, il s'agira de ne plus coopter les personnes mais de les choisir en fonction de leurs idées, de leurs convictions, de leur intégrité, de leur puissance innovante afin de redonner au plus grand parti du Congo-Brazzaville ses lettres de noblesse...

 

Monsieur le président, quand un peuple a goûté au nectar de la démocratie et a bu dans le calice de la liberté, il n'y a plus de retour possible..
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