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25 novembre 2009 3 25 /11 /novembre /2009 20:05
Essous, "3 S", le monument de la musique congolaise qui a fait les beaux temps des Bantous de la capitale, est mort, aujourd'hui 25 novembre 2009, à quinze heures. Gravement malade, il avait réussi dans un premier temps à obtenir une somme de dix millions de francs cfa pour se faire soigner à l'étranger. Hélas, il a choisi un voleur, un escroc en la personne de Théo INKON, neveu de Martin Mbemba, pour l'accompagner en France. Une fois sur le sol français, Théo Inkon s'est enfui avec un peu plus de quinze mille euros qui aurait permis de soigner ce saxophoniste et clarinettiste de talent, chanteur à ses heures. Avis à tous ceux qui connaissent ce monsieur ou qui le verront dans les ngandas parisiens ou dans les macquis, évitez de boire la bière qu'il vous propose car il pourrait vous faire croire que c'est son argent - alors que c'est l'argent qui aurait permis de soigner un digne citoyen du Congo.
C'est un homme malade, abandonné par un lâche qui n'emportera pas en enfer l'argent qui aurait permis qu'on le soigne, qui va reprendre l'avion pour le Congo. Arrivé au Congo, une autre démarche a été faite pour qu'on le renvoie à nouveau en France mais cette fois-ci, c'est le directeur général du budget, cet assassin d'Okandzi, qui a bloqué le dossier - alors que tout avait été fait pour faciliter la rapidité de son traitement. C'est ça, le Congo, un pays où même quand la nation se montre généreuse à l'égard de ses enfants qui ont participé à son histoire, il faut toujours qu'un salaud vienne mettre sa saleté pour anéantir la bonne intention. Nous sommes sûrs que si Essous était mbochi, Okandzi aurait vite signé le bon de sortie du trésor pour donner une nouvelle chance à cet homme qui avait  voué sa vie à donner du plaisir aux autres. Essous aurait encore pu être en vie si le coeur d'Okandzi n'avait pas été durci par le fait qu'il est devenu un froid meurtrier ; ce qui a eu le chic de dévaloriser la vie humaine à ses yeux. Surtout quand il s'agit de la vie d'un sudiste...
Essous, c'était l'homme qui avait fait danser ma mère, un chanteur qui de sa voix grave et suave vous berçait quand il ne vous charmait pas au saxophone. C'était l'égal d'un Manu Dibango, un homme qui était connu de tous les mélomanes amoureux de la rumba congolaise.
Dans cette affaire, le grand tort revient une fois de plus à l'Etat congolais qui ne nous a pas doté d'hôpitaux dignes de ce nom car au lieu de perdre du temps en courant d'un continent à un autre, Essous aurait pu se faire soigner au Congo, là où il aurait bénéficié du soutien de ses enfants, de ses amis et des mélomanes congolais.

Okandzi, cet homme qui a froidement assassiné son cuisinier du sud  et qui a échappé aux mailles de la justice congolaise parce qu'il est mbochi, doit être fier d'entendre qu'Essous est mort et de savoir qu'il est responsable de ne pas avoir débloqué l'argent qui aurait permis de le renvoyer en France puisqu'on ne pouvait le soigner au Congo.On peut se demander dans un premier temps pourquoi on a choisi cet homme sans scrupule de Théo Inkon pour l'accompagner en France avec la responsabilité de gérer l'argent - alors qu'on aurait pu choisir un de ses enfants pour cela. Monsieur Inkon, vous ne vous enrichirez pas avec 15000 euros. Inconscient comme vous l'êtes, vous aurez vite fait de dépenser en futilité l'argent du crime, l'argent du péché.
Okandzi doit avoir la confiance du reptile royal pour qu'un assassin comme lui soit directeur général du budget car entre loups, on se connaît, on s'apprécie, on s'entrelèche les derrières. Cependant, il faut qu'il s'attende à être jugé un jour car lorsque nous rétablirons la justice dans notre pays, nous rouvrirons tous les dossiers baclés par les juges de l'oyocratie.
Après l'assassinat physique de Rapha boundzéki maquillé en crise cardiaque, voilà que disparaît à présent un grand nom de la musique africaine - comme si l'argent était plus important que la vie humaine. Essous Spiritus n'est plus !

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25 novembre 2009 3 25 /11 /novembre /2009 14:19
Chers abonnés à la newsletter,
chers compatriotes,
mesdames et messieurs.
Bonjour.
Je vous annonce la création prochaine d'un nouveau parti politique autour d'idées nouvelles et d'un projet novateur dont l'objectif est de restituer le Congo avec toutes ses richesses aux Congolais. Je m'adresse d'abord à vous parce que vous avez fait le choix de me suivre depuis des années pour certains et je sais que feu Bruno Jaquet Ossébi ne pourra malheureusement pas lire ce message, lui qui est toujours abonné à la newsletter.

J'ai fait l'objet d'une attaque judiciaire par le pouvoir de Brazzaville au travers d'un homme qui est le bras droit de monsieur Denis Sassou Nguesso, un homme qui mange à sa table et qui partage le même sang venimeux avec lui : monsieur Maurice Nguesso. C'est dire que le clan au pouvoir reconnaît ma valeur car nombreux écrivent, nombreux ont des sites mais sur le plan qualitatif, le pouvoir sait que votre serviteur a le potentiel de rendre le peuple congolais heureux en lui restituant sa liberté confisquée.
Pourquoi la création d'un nouveau parti politique ? Pour la simple raison que les idées que j'incarne, ma vision d'un Nouveau Congo, ne sont représentées nulle part et vous aurez le privilège de vous en rendre compte, vous d'abord - avant les autres.
J'ai dit au Tribunal de Grande Instance de Paris, celui-là même où a été jugé Dominique de Villepin, puisque nous avons été convoqués le même jour, le 21 septembre 2009, que je ne combattais pas des individus mais un système et que jamais je ne renoncerai.
Je suis pour certains un David face à des Goliaths mais j'ai foi que porté par l'espérance d'un peuple et mon idéal qui n'est pas attaché aux choses de la terre, à l'argent, ensemble, nous pouvons réussir.
N'ayez pas peur : nous ne sommes pas seuls. Il y a toutes les âmes de ceux qui ont foulé le sol de notre pays qui sont avec nous. Il est difficile de se lancer dans une arène où les ennemis sont nombreux mais celui qui ne combat pas a déjà perdu et nous sommes vaincus faute d'avoir accepté de combattre, combattre dans le bon combat et ce combat exige qu'on renonce à sa petite personne pour la dissoudre dans une PERSONNE GLOBALE, le peuple congolais.
Si vous m'encouragez, j'irai vite et vous connaissez ma capacité de travail ; je serai encore plus sublimé que je me sentirai compris, suivi car le peuple congolais a besoin de s'identifier à quelque idéal nouveau et j'ai bon espoir qu'ensemble, vous et moi, pour lui, pour ce peuple tant et tant trahi par des hommes qui n'ont rien compris à l'histoire, nous pouvons bâtir  demain un nouveau Congo.
Vive le Congo-Brazzaville uni et libre !
                             Jean-Pierre IBOUANGA, alias LION DE MAKANDA
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25 novembre 2009 3 25 /11 /novembre /2009 00:45

Jean-François Probst parle de Denis Sassou Nguesso comme d'un voyou et Denis Sassou Nguesso n'osera jamais lui faire un procès.

Jean-François Probst parle de Denis Sassou Nguesso comme d'un voyou et Denis Sassou Nguesso n'osera jamais lui faire un procès.

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25 novembre 2009 3 25 /11 /novembre /2009 00:25

Voici une vidéo dans laquelle Vershave explique la naissance des sociétés secrètes modernes et leurs connexions.

Voici une vidéo dans laquelle Vershave explique la naissance des sociétés secrètes modernes et leurs connexions.

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24 novembre 2009 2 24 /11 /novembre /2009 16:30

COMMENTAIRE : C'est un mail envoyé par un ami, le "nouveau denisien", qui est tellement révélateur de beaucoup de choses comme le fait que la femme de Kinfouissia est l'amie d'Antoinette Sassou Nguesso ; ce qui laisse présager de contacts entre Kinfoussia et Sassou au travers de leurs épouses, que j'ai tenu à vous faire profiter de son message que j'ai divisé en parties avec des paragraphes précédés par des titres en majuscules et en gras. Là où nous sommes d'accord avec lui, c'est dans le questionnement : si le Front est une vraie opposition pourquoi Ngouélondélé qui a dirigé les services secrets de Sassou Nguesso ne balance pas ce monsieur pour qu'il soit arrêté ? Il peut envoyer à DNCB les infos compromettants pour que nous les transmettions à la justice tout en les rendant publics ! Alors, pourquoi Dzon qui connaît aussi d'énormes secrets compromettants dont certains de nature financière se tait  - alors même que Sassou n'a pas hésité à le compromettre dans un listing de la BEAC ? La suspicion que nous avions sur ce Front se renforce et vous pouvez être à présent sûrs qu'il ne vous reste pas beaucoup de véritables opposants. Dans peu de temps, je mettrai mon programme en ligne et si vous y adhérez nombreux, je crée un parti. La nécessité de la création d'un parti apparaît quand vos idées ne sont représentées nulle part. Et c'est bien le cas de celles de LDM, votre humble serviteur. DNCB va devenir un parti politique dont l'objectif est de restituer le Congo avec toutes ses richesses à ses véritables propriétaires : LE PEUPLE CONGOLAIS.

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Mon frère Mouvimat,


  •  A PROPOS DES MERCENAIRES ET DE LEUR CHANGEMENT D’IDENTITE ET DE NATIONALITE EN DEVENANT DES CONGOLAIS

 


Pensez-vous qu'un mercenaire peut utiliser son propre son nom lors des missions qu'il effectue?
Aujourd'hui si les Rwandais qui ont combattu lors du génocide venaient encore à porter ou utiliser leur nom,c'est que le Tribunal Pénal International pour le Rwanda (TPIR) remontera facilement à leur source, tout comme cela s'est fait avec quelques-uns en Belgique, Allemagne, Canada, ou l'arrestation y a pas longtemps de Idelphonse Nizeyimana en Ouganda le mois dernier. L'erreur de ses hommes, disons la plupart qui sont en exil aujourd'hui est de ne pas avoir eu l'ingénieuse idée de changer d'identité, ce que Sassou a veillé à faire avec ses troupes Rwandaises et Zaïroises de peur d'être poursuivi à la longue de complicité, et je peux vous assurer que bon nombre d'entre eux ont des passeports congolais, comme vous l'avez si bien écrit lors d'une de vos rédactions sur les Libanais possédant des passeports Congolais. Aujourd'hui,  tous les étrangers vivant au Congo pour des raisons mafieuses en possèdent ; on ne sait plus exactement qui est Congolais ou qui ne l'est pas.


La seule distinction est au niveau de visage, car c'est facile de reconnaitre un Rwandais, un Ouest-africain, entre autres....

 

 

  • A PROPOS DU « FRONT »

 


Aujourd'hui même, ce soir,  j'ai lu votre article sur "Sarkozy négocie-t-il avec Sassou et les membres du Front un gouvernement d'union nationale ?"
Mon frère Ibouanga Mouvimat, Sassou et son clan arrivent à nous mener depuis plus de 30 ans en bateau. Pourquoi ? Parce qu'il n'a pas encore trouvé sur sa route un Stratège Politicien Congolais  :  allant de Youlou jusqu'aux membres du Front, personne n'arrive à l'atteindre à la cheville ; il connaît mieux que personne au Congo tous les rouages et combines de la politique Congolaise, Africaine et Mondiale.

Mais sur votre article, vous vous posez la question comment se fait-il que l'on n'ait pas vu un Membre du Front, ou même leur représentant, et pourtant  il y a quelques têtes en France en ce moment, et ceux qui sont au pays, que leur coûterait un aller-retour sur Air france après avoir récolté dans le passé leur part dans la mangeoire  ?
Qui peut mieux détruire médiatiquement Sassou aujourd'hui si ce n'est pas le Général Ngouélondélé et Mathias Dzon, deux grandes personnalités du Front qui connaissent Sassou plus que tous les opposants actuels qui luttent contre lui ? Le Général a été responsable durant plusieurs années des services secrets de la république, il connaît trop bien Sassou pour avoir fait marié son fils et sa fille au clan de la famille Nguesso, mais vous connaissez l'histoire mon cher Frère, pourquoi continuez-vous à dormir debout ?
Le Général est venu plusieurs fois à Paris, a tenu  des meetings avec plusieurs opposants, est passé sur plusieurs radios et chaînes tv, y compris Télésud, de même pour Dzon. Pourquoi n'ont-ils jamais dit qui est réellement Sassou, quelles sont les pratiques qu'il instaure lui et son clan pour régner depuis un quart de siècle ? Pourquoi certains opposants comme Kolélas et Yhombi ont trahi leur propre idéologie ? Qui a aidé Sassou à reprendre le pouvoir à Lissouba qui avait pourtant l'armée entre ses mains ? Pourquoi Lissouba peut-il rentrer au pays tandis que   Moungounga et Koukébéné ne peuvent-ils pas rentrer chez eux, et pourquoi le silence du Front à ce sujet ? Ne sont-ils pas ceux qui risqueront de venir faire oublier ce Front qui a montré sa vraie face après avoir trompé le peuple sur les enjeux des élections (« on n'ira pas, on y va, n'allez pas voter ») et qui a perdu sa face à la dernière minute ?

 

 

  • A PROPOS DU GENERAL MBAOU

 


Libres sont les membres du Front, mais pourquoi pas Mbaou ? Lors de négociations avec le ministre Yoka (Oncle même de Sassou), l'avocat Malonga membre du Front tout comme Mbaou a-t-il oublié de plaider pour le  cas du Général ? Peut-on dire que le cas Mbaou n'est pas pareil,  vu qu'il est peut être le vrai opposant car ayant combattu auprès de Lissouba ce Sassou lors de la guerre civile de 1997 ?

 

DES LIENS ENTRE LA FEMME DE KINFOUSSIA ET ANTOINETTE SASSOU NGUESSO A TRAVERS  LA FONDATION CONGO-ASSISTANCE


Kinfoussia Guy Romain : qui dans le quartier Château d'eau dans l'arrondissement Makélékélé ne sait pas que la Femme légitime de ce Monsieur travaille dans le cabinet de notre Mama Antou épouse de Sassou ? Qui ne le sait pas à Brazzaville ou au Congo ?
Qui ne le sait pas au Front, j'ai entendu certains de ses proches dire que c'était avant, je dis faux, et ça tous les Congolais qui connaissent le visage de l'épouse de Kinfoussia le savent, car là où est Antoinette l'épouse Kinfoussia n'est jamais loin, nombreux de la Diaspora qui ne le croyaient, quelques-uns les ont vues de leurs propres yeux à Lourdes en fin d'année passée lorsque Mama Antou et Jocelyne Lissouba ont prié auprès de Mâ Marie.

 

 

  • SI LE FRONT ETAIT UNE VRAIE OPPOSITION…

 


Vous avez auprès de vous des gens comme le Général qui était au service de la nation depuis Marien Ngouabi jusqu'à Pascal Lissouba, ben je pense qu'au lieu de perdre le temps à des procès sur les Biens Mal Acquis qui n'arrivent pas aboutir depuis des années, passons aux choses sérieuses afin de faire tomber définitivement Sassou : les membres clés du Front qui ont travaillé avec Sassou n'ont qu'à dire exactement certains secrets d'état graves qu'ils cachent, et je pense que le Monde entier sera au courant de qui est ce Monsieur au sourire aimable mais au cœur noir comme du charbon. A partir de là, je pense que Jean Pierre Mbemba aura à sa compagnie un proche dans les cellules de la Haye.
Hélas, comme on dit l'on ne peut trahir un frère de la même secte même si nous avons quelques différends, Lissouba avait su le faire avant en disant : «  loin de moi l'idée de refaire le monde », malgré qu'il pensait que Sassou n'était pas un être humain, allant même à le qualifier de boucher, une vidéo postée par vous-même (www.wat.tv/video/lissouba-parle-apres-putsch 1997-17bor_kuue_.html). En tout cas j'espère que vous avez pu la regarder et la comprendre avant de la mettre en ligne.

 

 

  • CE QUE LE NOUVEAU DENISIEN PENSE DE KOVALIN…

 


Je pense qu'au lieu d'entendre des messieurs comme Kovalin, le samedi en meeting en salle, qui plus est pour moi, ce monsieur n'a même pas sa place en politique, je  ne sais même pas s'il sait réellement ce qu'il dit, en voulant rendre les sudistes plus sudistes, ou en créant des clans politiques sudistes, tout ça pour nous emmener où ? Après tant de guerres civiles au Congo et en Afrique, je vois qu'il y a des gens qui pour moi n'ont pas pu entrer dans les années 2000 mais sont encore restés dans les années 1900. A quoi cela servirait-il de refaire encore les erreurs du passé avec les clans qui se sont formés dans le pouvoir du monopartisme, de celui de Lissouba, puis de Sassou à nos jours ? Tandis qu’ailleurs, l'on ne cesse de crier à l’Unité nationale, dans des meetings en salle, la diaspora crie : « Division nationale !» Toutes mes félicitations.

 

 

  • LE CONGO RISQUE DE NE PAS CHANGER APRES SASSOU, A VOIR CE QUI SE PASSE PAR EXEMPLE AILLEURS (RDC, GABON, TOGO)…

 


Je prendrai uniquement le cas de l'Afrique Centrale, sans regarder ce qui se passe ailleurs. Après plus de 30
années de Mobutu et 40 années de Bongo, les mêmes erreurs qu'on pu faire les Zaïrois aujourd'hui Congolais démocrates et les Gabonais seront les mêmes que feront les Congolais après Sassou, car ne nous disons pas qu'une fois ce Monsieur mort, le Congo sera libre et vivra en paix et heureux. Hélas, ce qui se passe en RDC et au Gabon risquera de nous arriver et peut-être même pire si nous ne prenions pas conscience dès maintenant car Sassou lui sait qu'il n'est pas immortel, vous n'avez qu'à lire dans son regard lorsqu'il va saluer la dépouille d'un de ses proches ou ceux qu'il a aimés, vous y lirez la peur dans ses yeux et son regard car il sait que bientôt ça sera son tour et lui à déjà commencé à préparer son APRES.


Tandis que les opposants Gabonais combattaient sans savoir réellement combattre,  Bongo, quant à lui avait suffisamment le temps de préparer son APRES, et voilà pourquoi tous les opposants ont été pris par surprise et n'ont pas su déjouer les plans d’Ali à élection dernière, car une élection ne se prépare pas lors d'une campagne électorale mais bien avant le début de la campagne, et on dit : « en guerre tous les coups sont permis ».
Cela sera de même pour les Congolais lorsque vous regardez uniquement ses deux vidéos (www.youtube.com/watch?v=xYS938NOC8w     et      www.youtube.com/watch?v=SllYJYHDqSQ) , vous sentez comment Sassou arrive à transformer son peuple à sa merci malgré la souffrance atroce qu'il lui fait subir.

 

 

  • SASSOU S’OCCUPE D’AFFAIRISME ET LAISSE SON CLAN MATER LES OPPOSANTS…

 

 

Sassou n'a plus le temps de s'occuper de ses opposants, laissant le temps aux Ndenguet, Mokoki, Adoua,Yoka, Mvouba, et autres proches. Aujourd'hui son regard est sur ses biens qu'il veut protéger à tout prix et à son APRES.
Voilà pourquoi nous sommes tous appelés à fournir plus d'effort et à changer notre fusil d'épaule, car nous n'utilisons pas jusqu'aujourd'hui la bonne épaule.

 

 

  • L’IMPORTANCE DES TEMOIGNAGES DE PERSONNAGES CLES

 


Tant que nous n'arriverons pas à faire parler des gens comme TOUADI Jean-Léonard et Patrick KIBANGOU sur le sujet réel du Congo,
tant que nous n'arriverons pas à faire joindre ces deux grandes personnalités qui peuvent être des Grandes têtes à faire face à Sassou et à lui contrer sur ses lobbies, chose que TOUADI peut aujourd'hui fréquenter et discuter afin de déjouer Sassou…

Hier, nous étions en 1997 lorsqu'il reprenait le pouvoir avec les armes à Lissouba. 2002 : organisation des élections où  tout le monde sait comment cela s'est déroulé, et il a pu rester au pouvoir. 2009, idem avec cette fois-ci un coup d'Etat que tout le monde a évoqué de gauche à droite mais qui n'a pas suffi pour le décrédibiliser au plan Continental et International. 2016????
Attendons voir ce qui pourra se passer. Mais de 1997 à 2009, cela fait 12 années, je ne pense pas que Lissouba et les autres auraient prédit qu'ils passeraient autant d'années en exil. Je ne pense pas que les Congolais imaginaient vivre, manger et respirer aussi longtemps encore ce Sassou après l'époque du Mono.
Continuons ainsi et voyons voir ce que les choses donneront. Car nous n'arrivons pas à comprendre une chose : aujourd'hui, les années passent, les âges se multiplient, les espoirs disparaissent, les choses se dégradent de plus bel, mais la suprématie de Sassou demeure.


                                     Bien de choses  à vous.

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24 novembre 2009 2 24 /11 /novembre /2009 00:38
Il se construit des palais partout (Brazzaville, Pointe-Noire, Oyo, Impfondo, Owando, etc), des palaces qu'il n'habite même pas en sa qualité de reptile royal du Congo - au lieu de construire des pédiatries qui permettraient aux enfants congolais de se faire soigner correctement. Ils sont parfois cinq sur un même lit, les mères n'ont nulle part ou dormir, se contaminent les uns les autres car leurs petits organismes affamés ne sont pas assez résistants à la maladie. L'hôpital est devenu une usine de production de mort en masse de nos enfants qui naissent déjà malades.
Pointe-Noire, capitale économique, ville qui produit le fameux or noir, n'a même pas une pédiatrie digne de nom. Les enfants qui y sont admis en sortent plus malades qu'à leur arrivée quand ils ne sont pas tous simplement décédés par manque de soin. A l'heure de la grippe AH1N1, il faut prier car l'on redoute des épidémies qui risquent d'augmenter affreusement la mortalité infantile dans notre pays. Il y a tant de petitesse dans cet homme, ce Sassou Nguesso Denis,  qui est assis à la place où doit s'asseoir la grandeur. Lui, soigne ses enfants en France, des enfants qui ne connaissent pas la malnutrition. C'est un gâchis de vies innocentes que tous ces enfants qui n'auront jamais la chance de grandir. Toutes ces âmes qui auraient pu apporter tant au Congo meurent par la faute d'un seul : un homme petit par l'esprit car on n'est pas grand de posséder tant de milliards dérobés mais on est  grand de porter un idéal si haut qu'il vous rapproche des "dieux" par votre grandeur d'âme., une âme compassionnelle prête à sauver toute la terre s'il le faut ; encore qu'à Sassou, on ne demande que de sauver les enfants du Congo. En Denis Sassou Nguesso, il n'y a de grande que la monstruosité car tout le reste est petit...

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22 novembre 2009 7 22 /11 /novembre /2009 19:35
Depuis que monsieur Denis Sassou Nguesso s'est autoproclamé illégitimement "reptile royal" derechef, aucun chef d'Etat européen n'a officiellement reconnu ce pouvoir. C'est qu'il y a de la gêne dans cette affaire. De l'agacement aussi. C'est que les frasques du clan Denis Sassou Nguesso apparaissent au grand jour et il devient de plus en plus difficile de soutenir - même pour des raisons financières un régime criminel et criminogène, un régime corrompu et corrupteur qui fait la honte de la gent humaine. Certes, face aux pesanteurs de l'argent, le droit se fait muet ou aveugle mais l'occident semble être à la croisée des chemins car il y va de la survie du modèle civilisationnel qu'il vante comme être le meilleur  déjà mis à mal par le saccage de la planète dont le climat se dérègle. Ce modèle semble poursuivre une logique suicidaire pour des intérêts pécuniaires ;  d'où son soutien à des énergumènes comme Denis Sassou Nguesso qui n'ont aucune considération pour la vie humaine. Hier, ce sont les Français qui n'avaient aucune considération pour les autochtones des colonies, aujourd'hui, c'est un nègre en chef qui n'a aucune considération pour ses propres compatriotes. Au nom de la grandeur : en effet, le chef des esclaves est un chef tout de même et il a pour lui toutes les miettes de richesses que lui laisse le maître. Ce comportement risque de provoquer un jour la fin de la puissance française car un nouvel esprit africain éclot doucement et il est prévisible que le règne de la France sur ses ex-colonies au travers d'Etats faibles, corrompus et totalement à la solde des puissances de l'argent est sur le point de prendre fin.  D'aucuns diront la françafrique a  des ressources mais l'histoire aussi. Hélas, tout a une fin et la françafrique doit se résoudre à mourir à son tour. Elle ne peut perdurer indéfiniment.
Le problème de Sarkozy est simple : il faut sauver la face d'un système monstrueux qui la sert si bien et la France est prête à tout - d'abord à exiger à Sassou une modification de sa Constitution pour créer un poste de vice-président qui accéderait automatiquement au pouvoir s'il venait à décéder et ensuite mettre en place un gouvernement d'union nationale car Sarkozy sait très bien que Denis Sassou Nguesso salit l'image de la France qui l'a ramené au pouvoir en  gérant le pouvoir comme un bien privé. L'homme de la rupture verbale, Nicolas Sarkozy, chercherait, selon la rumeur qui m'est parvenue lors de mon séjour à Paris, un moyen pour donner un semblant de "légitimité
" à son valet Denis Sassou Nguesso. Et le moyen qu'il aurait trouvé pour divertir les Congolais serait de boutiquer un gouvernement d'union nationale, véritable raison, paraît-il pour laquelle certains membres du "Front" seraient à Paris.
Sassou Nguesso, Sarkozy le sait, eu égard à tous les éléments dont il dispose, n'est plus président de la république car il ne peut fonder une légitimité sur la tricherie, la violation de toutes les lois électorales. La présence de Sarkozy à Brazzaville pour redorer l'image de monsieur Sassou nguesso n'a pas suffi à redorer son image et la France redoute que l'affaire lui échappe car il y a une tension sourde au Congo qui pourrait trouver une fissure un jour et exploser au visage de la puissance qui tire toujours les ficelles au Congo. Il y a trop d'enjeux, trop d'argent à perdre pour la folie d'un seul.  La France, pour les intérêts d'un Bolloré et de Total-Elf-Fina, est prête à tout et nous devons continuer à la pousser dans ses retranchements car Sarkozy, en ce qui concerne ses promesses africaines, a déjà échoué. Il a été forcé de soutenir Denis Sassou Nguesso sous le conseil de Claude Guéant.
Samedi, les Congolais ont organisé une marche et nous n'avons pas vu un seul membre du "Front" dont j'ai du mal à qualifier comme "Front de l'opposition" car ils semblent tous, pour ce qui est de ses membres, rechercher à entrer dans le cercle des positions dominantes qui fait que pour l'instant, notre pays est victime de trahison perpétuelle. La marche était pourtant prévue pour demander un dialogue national inclusif mais on voit très bien que ceux qui se mettent aux avan-postes veulent directement prendre leurs ordres auprès de monsieur Sarkozy en personne. Ils  ont beau dire : "Vous ne savez pas ce que nous endurons au pays ; vous êtes ici, en France, etc" , leur crédibilité est petit à petit entamée. En fait, en jouant le rôle d'une fausse opposition qui ne s'oppose en rien et qui a juste profité de l'opportunité de l'élection présidentielle pour jouer les premiers rôles, cette opposition donne un peu de crédibilité démocratique à monsieur Denis Sassou Nguesso comme pour dire : "Vous voyez ? Au Congo, il y a une opposition !" Il y a ceux qui pensent qu'il vaut mieux une opposition que rien, même une opposition de façade. En se présentant à l'élection présidentielle tous ensemble au lieu de ne présenter qu'un seul candidat pour enfin demander à la population de ne plus aller voter, cette fausse opposition trouble a perturbé le peuple et a  ainsi fait le jeu de monsieur Denis Sassou Nguesso.
 Non, il nous revient de mettre en place une véritable opposition qui saura elle affonter le  pouvoir de Brazzaville et l'obliger à nous restituer la chose la plus précieuse qu'elle ait volée au peuple congolais : LA DEMOCRATIE. Nous devons résister à toutes les tentations et le spectre qui recherche des serviteurs pour avilir notre dignité, nous y sommes dedans, en plein ! Si Christ, fils de Dieu, a été trahi, la divinité crucifiée à Golgotha, c'est que nous ne sommes pas à l'abri de bonimenteurs qui parlent pour tous avec leur bouche à eux, avec leurs mots mais parce qu'ils ont reçu l'ordre de le faire.
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22 novembre 2009 7 22 /11 /novembre /2009 18:38


L’affaire à forte odeur de corruption et de détournements de fonds publics faisait depuis quelques semaines le tour des coulisses des milieux diplomatiques américains et notamment au Département d’État. Le célèbre New York Times dans son édition du 17 Novembre 2009, vient de la révéler au grand public. Un vrai scandale, équato-guinéen celui-là, qui vient ainsi s’ajouter à d’autres dénoncés dans d’autres pays africains. Teodoro Nguema Obiang, ministre des forêts et de l’agriculture de Guinée Équatoriale principal mis en cause voit peser sur lui des accusations de corruption et de détournements de fonds publics. Ce qui choque les auteurs de l’enquête c’est non seulement que ces faits sont avérés - du moins si l’on en juge par les fonds détenus par le fils du président de Guinée Équatoriale-  mais le plus grave c’est qu’il réussit toujours à se voir délivrer un visa d’entrée aux États-Unis malgré les restrictions qui sont en principe sensées être appliquées à tous ceux qui auraient des liens directs ou indirects avec la corruption, ceci conformément à une loi signée en 2004 par le président George W. Bush et renforcée par une autre votée par le Congrès américain en 2007.

 

La villa de Nguema Obiang a Malibu



Car c’est bien de corruption qu’il est question ici, sinon par quels moyens Teodoro Nguema Obiang a-t-il pu s’offrir une villa de 35 millions de dollars à Malibu dans l’État de Californie, un jet privé de 38 millions de dollars, quatre Ferraris d’une valeur de 1 million de dollars à raison de 250.000 dollars chacune, 2 Rolls – Royce de 700.000 dollars à raison de 350.000 dollars chacune, une bentley de 240.000 dollars, 2 maybachs de 700.000 dollars à raison de 350.000 dollars chacune ?

Ces chiffres ne sont en aucun cas des estimations de journalistes, mais bien des données produites et rendues publiques par une agence spécialisée américaine à savoir l’United States Immigration and Customs Enforcement qui dépend en réalité du Département de la Sécurité intérieure des États-Unis (United States Department of Homeland Security) un département de l'administration fédérale américaine créé en novembre 2002 à l'initiative du président George W. Bush, en réponse aux attentats du 11 septembre 2001. Son objectif est d'organiser et d'assurer la sécurité intérieure du pays. C’est donc une agence dont la crédibilité ne fait l’ombre d’aucun doute puisqu’elle est chargée entre autres du contre-espionnage au sein du territoire américain.

Teodorino Nguema Obiang


Ainsi les allées et venues de Teodorino Nguema Obiang, comme celles de beaucoup d’autres leaders et personnalités africaines et du monde n’échappent pas à l’Etat américain. Mais la grande question que beaucoup se posent est celle de savoir comment une personnalité dont les soupçons de corruption n’échappent pas aux autorités américaines continuent de bénéficier d’un visa d’entrée aux États-Unis en violation des règles, lois et autres bonnes intentions visant à interdire l’entrée sur le sol américain de tous ceux-la qui pillent l’Afrique, ses biens et fonds publics ?


Odeur de pétrole

Depuis 1996 la Guinée Équatoriale a inscrit son nom en lettres d’or sur la liste des pays producteurs de pétrole, se classant au passage troisième pays d’Afrique Subsaharienne après le Nigeria et l’Angola. En 2007 le pétrole a rapporté environ 4.8 milliards de dollars à la Guinée Équatoriale. Des langues au Département d’État américain se délient. Pour certains officiels en poste, les liens serrés que la Guinée Équatoriale entretient avec l’industrie pétrolière américaine seraient pour beaucoup dans le non renforcement de la loi sur la délivrance des visas. John Bennet Ambassadeur des États-Unis en Guinée Équatoriale de 1991 à 1994 est affirmatif à ce propos en déclarant qu’effectivement c’est grâce à son pétrole que la Guinée Équatoriale bénéficie de ces « faveurs » alors que les officiels du Zimbabwe pour ne prendre que eux sont interdits d’entrée aux États-Unis. Ces deux États sont presque pareils et si le Zimbabwe avait des ressources pétrolières poursuit John Bennet, ces officiels ne continueraient pas à être bloqués aux portes des États-Unis. On apprend d’autre part que les quelques 400.000 barils de pétrole produits par jour en Guinée Équatoriale sont majoritairement exploités par des compagnies américaine comme Exxon mobil, Hess ou encore Marathon. Tout ceci provoque bien entendu des mécontentements, des frustrations et de la colère chez certains Sénateurs. C’est le cas chez Patrick J Leahy , Sénateur Démocrate du Vermont à l’origine de la loi sur la restriction des visas et qui est convaincu que Teodorino Nguema Obiang est un corrompu. Alors dit-il "Le fait que quelqu’un comme Teodorino Nguema Obiang continue de voyager librement entre son pays et les États-Unis montre bien que le Département d’État n’applique pas vigoureusement la loi comme l’aurait voulu le Congrès". « Il y a de nombreux officiels de certains pays étrangers qui exploitent les ressources du pays pour leurs intérêts personnels et la loi est claire là-dessus, si vous le faites, vous n’êtes pas  le bienvenu aux États-Unis ».


Transfert de fonds

Un rapport du département de la justice datant du 4 septembre 2007 révèle que le Gouvernement américain croit savoir que la richesse de Teodoro Nguema Obiang provient de l’extorsion et du détournement des fonds publics. Ainsi entre avril 2005 et avril 2006 Teodoro Nguema Obiang a fait transférer pas moins de 73 millions de dollars aux Etat-Unis à travers les comptes de certaines entreprises pétrolières opérant en Guinée Équatoriale. Toujours suivant le même rapport, de 2005 à 2006 le fils du président équato-guinéen a transféré d’importantes sommes d’argent entre son pays et l’étranger. De nombreux mouvements de fonds sont ainsi partis d’une banque en Guinée Équatoriale, ont transité par la Banque Centrale de France avant d’atterrir aux États-Unis dans des comptes de certaines banques comme Wachovia, Bank of America ou encore UBS. Pas moins 33.799.799.99 dollars ont par exemple été transférés en six semaines. Il n’est pas exclu que cet argent soit parti dans l’achat du jet privé de Teodoro Nguema Obiang. Ce dernier aurait notamment mis en place en Guinée Équatoriale une taxe dont les fonds provenant de l’exploitation du bois étaient versés non pas dans les caisses du trésor public, mais plutôt directement dans le compte de Teodorino Nguema Obiang qui de l’avis de certains observateurs pourrait remplacer son père au pouvoir. Un autre rapport du département de la sécurité intérieure américain révèle que Teodorino Nguema Obiang voyage régulièrement avec plus de 1 million de dollars liquide et qu’il ne déclare pas. En temps normal, une telle faute lui vaudrait jusqu'à cinq ans de prison aux États-Unis. On apprend également que Teodoro Nguema Obiang voyage avec un passeport diplomatique bien que ses voyages aux États-Unis n’aient rien à voir avec des missions diplomatiques.

Eve, la célèbre rappeuse américaine
et ex de Nguema Obiang

 

Aux Etats-Unis justement, Teodorino a étudié l'Anglais à la Pepperdine University à Malibu, en Californie. Il y est cependant plus connu pour son côté "playboy", sauvagement riche, dépensier et extravagant. Des sources lui attribuent des dépenses quotidiennes aux montants faramineux (avoisinant les 200.000 dollars) dans les magasins de la place. Monsieur le Ministre y est aussi connu pour des vagues créées autour de sa relation avec la célèbre rappeuse et actrice americaine "Eve". En 2006, Teodorino a mis les gros moyens pour séduire la belle américaine qui, finalement, n'a pas pu résister face à une telle démonstration de force financière: 75.000 dollars en une soirée pour un dîner ; 700.000 dollars pour la location du yacht du milliardaire de Microsoft Paul Allen pour une petite croisière intime à Noël avec la chanteuse ; 25 millions de dollars sur un album de Eve sous le label "Detroit's TNO (Teodorino Nguema Obiang) Entertainment", etc... Sous la pression incessante de son entourage et progressivement mise au fait des réalités du régime équato-guinéen, l'américaine par ailleurs engagée dans quelques oeuvres à caractère social, a fini par ne plus se sentir très à l'aise aux côtés de son "dépensier-ministre-potentiel-futur-président" de boyfriend. Ils ont break up, comme on dit ici.


Accusations rejetées en bloc

Que répond donc le fils du président équato-guinéen de toutes ces accusations de corruption dont il fait l’objet ? En tout cas Teodoro Nguema Obiang n’entend pas se prononcer sur cette question, apprend-t-on du porte parole de Qorvis Communications, un cabinet de relations publiques basé à Washington DC et travaillant pour le compte de la Guinée Équatoriale. En revanche, Gabriel Mbega Obiang Lima , frère de Teodoro Nguema Obiang et par ailleurs ministre des mines, de l’énergie et de l’industrie lui trouve tout simplement que tout ceci arrive parce que son pays est en train de réussir. Il nous apprend ainsi que son pays s’est engagé dans la lutte contre la corruption.

En attendant de voir plus clair dans cette affaire, la Guinée Équatoriale continuera de pomper tranquillement son pétrole et la famille Obiang s’enrichira encore et encore au détriment de la population dont trois quart vivent en dessous du seuil de pauvreté suivant le rapport 2009 du Fonds Monétaire International. Pire encore la mortalité infantile est passée de 10 à 12% selon le rapport 2009 de l’Unicef.

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22 novembre 2009 7 22 /11 /novembre /2009 17:59
L'affaire du Beach fait à nouveau parler d'elle. Ce week-end, à Paris, j'ai appris que Norbert Dabira, sous le coup d'un mandat d'arrêt international (ce qui explique qu'il ne quitte plus jamais le Congo) s'était plaint d'avoir été lâché par monsieur Denis Sassou Nguesso et qu'il ne voulait pas payer seul. Certes, il peut se planquer dans sa DRTV mais un jour, il n'échapper pas à la justice qui est comme un serpent capable d'attendre des décennies devant votre petit trou que vous sortiez pour respirer avant de vous jeter en prison.
Voici ce que l'on peut lire sur le site mediapart. fr :
"
Les fantômes de l'affaire des «disparus du Beach» frappent à l'Elysée. Dans une lettre adressée à Nicolas Sarkozy et que Mediapart révèle, l'avocat des parties civiles de ce dossier instruit depuis 2002 en France pour «crimes contre l'humanité», demande au président de la République «d'intervenir afin qu'hors de toute entrave ou pression, la procédure [...] puisse reprendre et poursuivre sereinement son cours normal». Cette requête intervient après cinq années d'imbroglios judiciaires."
La justice va devoir se montrer plus juste qu'elle ne l'est déjà et pour cela, il ne faudra pas qu'elle regarde au portefeuille ou au rang social car une vie en vaut une autre. Quand on voit le gouvernement de Brazzaville garder le Général Mbaou en prison sans aucun motif, - alors que sa femme est malade et qu'elle voudrait passer les fêtes avec son époux,  on se demande comment des individus comme Denis Sassou Nguesso peuvent faire l'objet d'atermoiement de la part de la justice - notamment française. Sarkozy est devant un dilemme : s'il ne fait rien, le monde entier saura qu'il soutient un dictateur, un assassin comme monsieur Denis Sassou Nguesso mais s'il laisse la justice de son pays suivre son cours, il confirmera que dans ce pays l'indépendance de la justice a encore un sens.
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22 novembre 2009 7 22 /11 /novembre /2009 15:49

   COMMENTAIRE : Une excellente plaidoierie de maître Brice Dzamba qui fait que plus jamais je ne considérerai que monsieur Denis Sassou Nguesso est président du Congo. Ce n'est qu'un imposteur et cette démarche du cercle doit être appuyé par tous les démocrates congolais en ne désignant plus monsieur Denis Sassou Nguesso par le vocable de "PRESIDENT" CAR IL N'EST POINT PRESIDENT DU CONGO. Appelez-le dans vos écrits par "monsieur Denis Sassou Nguesso" et non plus par "président" Denis Sassou Nguesso. Sassou est un chef de junte et non un président de la république car il n'en a point l'étoffe...

 

-------------------------------------------------------------------------------------------------------------------------------

 




                                        CERCLE DE REFLEXION LA RUPTURE

                                                                  

 

 

                     CONCLUSIONS TENDANT  À DEMONTRER LA NON

                     TRANSPARENCE DE L’ELECTION PRESIDENTIELLE

                     DU 12  JUILLET 2009 AU CONGO-BRAZZAVILLE



I- LE RAPPEL DES FAITS:

 

Le 12 juillet 2009, il s’est tenu au Congo-Brazzaville une élection présidentielle  qui a suscité une vive polémique aussi bien entre les acteurs politiques de ce pays qu’entre les quelques observateurs qui ont cru devoir veiller au bon déroulement de cette échéance.

 

Cette polémique, portant  aussi bien sur les conditions d’organisation de ce scrutin capital  que sur le taux d’abstention qui en est résulté doit être éclaircie au plus vite car il y va de la stabilité politique du Congo-Brazzaville.

 

Il va sans dire, que le peuple Congolais tout entier souhaitait l’organisation au Congo d’une élection présidentielle libre, démocratique, transparente et régulière.

 

Toutefois, le débat sur l’organisation de cette élection présidentielle a longtemps suscité des divergences accrues entre les opposants et le pouvoir en place.

 

En effet, Pour l’opposition, au regard de l’histoire récente du Congo et des engagements internationaux pris par le Gouvernement sur l’organisation des élections, la tenue des élections libres, démocratiques et transparentes devait passer par la mise en place d’une commission électorale indépendante.

 

Du côté du pouvoir, l’organisation de cette élection était de la seule compétence du ministère de l’intérieur et n’impliquait donc pas que les partis de l’opposition soient nécessairement associés à toutes les étapes d’organisation de cette élection.

 

 Le scrutin présidentiel a été finalement organisé sous le contrôle du pouvoir de tout le processus électoral.

 

C’est dans ces conditions que des irrégularités graves ont étés constatées tout le long de l’organisation de cette élection présidentielle, aboutissant à  une abstention massive du peuple Congolais.

 

Dès lors, il vous plaira de constater que cette élection présidentielle n’a été ni transparente, ni régulière, par conséquent non démocratique.

 

 

II- DESCRIPTION DES GRIEFS ATTESTANT DE L’ABSENCE DE TRANSPARENCE ET DU CARACTÈRE NON DÉMOCRATIQUE DE L’ÉLECTION DU 12 JUILLET 2009 :

 

L’élection présidentielle du 12 juillet 2009 peut être qualifiée de non libre et non démocratique pour des raisons relatives à la fiabilité du fichier électoral ( A),  pour des  raisons liées à l’organisation de ce scrutin ( B), et sur le taux d’abstention relatif à celle-ci (C).

 

A- Griefs relatifs à la fiabilité du fichier électoral :

 

Attendu qu’aux termes du troisième point de la déclaration de principes relative à l’observation internationale d’élections, souscrite par l’union africaine et commémorée à l’organisation des nations unies le 27 octobre 2005 :

« La volonté du peuple est le fondement de l’autorité des pouvoirs publics. Cette volonté doit s’exprimer par des élections honnêtes qui doivent avoir lieu périodiquement au suffrage universel égal et au vote secret ou suivant une procédure équivalente assurant la liberté du vote. Ces élections doivent garantir le droit et la possibilité de voter librement et d’être élu à l’issue d’un scrutin régulier, et leurs résultats doivent être rigoureusement établis, annoncés et respectés. La tenue d’élections honnêtes et démocratiques implique donc le respect d’un nombre considérable de droits, de libertés, de procédures et de lois, ainsi que l’intervention de certaines institutions. »

 

Que ce faisant,  le respect de certaines procédures et des textes qui les instituent dans le cadre de l’organisation d’un scrutin régulier est une donnée fondamentale pour la transparence et le caractère démocratique d’un scrutin électoral.

 

Que parmi ces procédures, celle relative au recensement de la population afin d’établir un fichier électoral fiable, occupe une place importante.

 

Que le Congo-Brazzaville a connu trois recensements généraux de la population et de l’habitation respectivement en 1974, 1984 et 1996.

 

Que toutefois, le recensement de 1996, dont la collecte des données a été réalisée en juillet 1996, a été interrompue, en phase d’exploitation informatique, par les guerres civiles qui ont secoué le pays de 1997 à 1999.

 

Que le régime politique succédant à la guerre civile du 5 juin 1997, a invalidé les résultats provisoires de cette opération au motif qu’ils étaient trop parcellaires.

 

Qu’ainsi, le décret n° 2003-108 du 7 juillet 2003 décrivant les attributions du ministre de l’administration du territoire et de la décentralisation, prévoyait que celui-ci était chargé entre autres de la préparation et de l’exécution du recensement administratif annuel.

 

Que dans le même sens, le décret n°2004-242 du 24 mai 2004 portant organisation du recensement général de la population et de l’habitat prévoyait l’organisation sur toute l’étendue du territoire national de cette opération en 2005.

 

Que contre toute attente, ces opérations ne se sont pas déroulées comme prévues, générant de ce fait le doute sur la volonté réelle du pouvoir de Brazzaville, à organiser un recensement reflétant le taux réel de la population congolaise, et de tenir un fichier électoral fiable.

 

Que  dans ce contexte que le gouvernement congolais organisera en 2007 un recensement de la population dans le but d’établir un fichier pour les élections législative, locale et présidentielle.

 

Que ce recensement détermina que la population congolaise s’élevait à 3 695 579 habitants  avec un taux de croissance démographique annuel de 2, 41%.

 

Que par extraordinaire, les chiffres communiqués par le ministre de l’Administration du territoire et de la décentralisation, le fichier électoral s’élevait en juin 2008, lors des élections locales, à 2.277.144 pour une population estimée à 3.784.670  d’habitants.

 

Qu’il est constant qu’au regard de la structure de la population congolaise, ce fichier électoral correspond à une projection de la population de 4.712.632 habitants.

 

Qu’au demeurant, les inexactitudes sur le fichier électoral transparaissent dans les différentes communications des ministres du gouvernement congolais.

 

Qu’en effet, le 9 juillet 2009, le ministre du territoire et de la décentralisation indiquait que le corps électoral pour l’élection présidentielle s’élevait à 2.200.000 alors que le 11 juillet, ce chiffre a été contredit par le président de la commission nationale d’organisation de l’élection présidentielle qui avançait un corps électoral de 1.800.000 électeurs, et le 15 juillet lors de la proclamation des résultats, le fichier électoral est finalement estimé à 2.078.802 électeurs.

 

 

Que ces différentes contradictions du gouvernement sur le nombre d’électeurs contenus dans le fichier électoral utilisé pour l’élection présidentielle du 12 juillet 2009 sont significatives du caractère non transparent de celle-ci.

 

Que ces irrégularités et contradictions sont contraires à la déclaration de Bamako qui prévoit dans son titre relatif à la  « tenue d’élections libres, fiables et transparentes », la nécessité de mettre l’accent sur l’établissement d’un Etat civil et de listes électorales fiables, seule garantie de la pleine participation des citoyens au scrutin.

 

Que dans ces conditions, il apparaît clairement que le gouvernement congolais a méconnu aussi bien les principes directeurs d’organisation d’élections édictés par les nations unies que les principes relatifs à la tenue d’élections libres, fiables et transparentes, émanant de la déclaration de Bamako.

 

Qu’ainsi, les résultats de l’élection présidentielle du 12 juillet 2009, n’expriment pas la volonté du peuple Congolais, seul habilité à conférer la légitimité politique du chef de l’Etat.

 

Que par conséquent, Monsieur Denis Sassou Nguesso ne jouit d’aucune légitimité de chef d’Etat car son élection a été faite avec un fichier électoral non fiable.

 

 

B- Grief relatif aux conditions d’organisation du scrutin :

 

Attendu qu’aux termes du point 8 de la déclaration de Bamako relative à la tenue d’élections libres, fiables et transparentes, le gouvernement doit : « Impliquer l’ensemble des partis politiques légalement constitués, tant de la majorité que de l’opposition, à toutes les étapes du processus électoral, dans le respect des principes démocratiques consacrés par les textes fondamentaux et les institutions, et leur permettre de bénéficier de financements du budget de l’Etat »

 

Que l’obligation faite à tous les Etats membres de la Francophonie, signataires de la déclaration de Bamako, tous membres de l’union Africaine, de faire participer tous les partis de l’opposition à toutes les étapes du processus électoral et de les financer, est un gage de la pérennité de la démocratie et du renforcement de l’Etat de droit.

 

Que cette exigence qui participe à la consolidation de l’Etat de droit dans le cadre même  de la convention internationale de la protection des droits civils et politiques, est loin d’être la préoccupation du régime de Brazzaville.

 

Qu’en effet, tous les partis de l’opposition n’ont pas été associés à toutes les étapes du processus électoral, de l’établissement du fichier électoral à la composition de la commission nationale chargée de l’organisation de l’élection du 12 juillet 2009.

 

Qu’au contraire, le régime de Brazzaville, en totale méconnaissance des dispositions précitées, n’a jugé bon, ni d’associer l’opposition à tout le processus électoral, ni encore d’assurer le financement des partis politiques.

 

Que pour contourner ces dispositions, il a trié sur le  volet une infime partie de l’opposition, marginalisant les plus grands partis de celle-ci.

 

Que ce faisant, le régime de Brazzaville a méconnu les dispositions de la loi électorale du 24 novembre 2001 qui prévoit dans son article 18  que « La commission nationale d’organisation des élections est composée des représentants de l’Etat, des partis politiques et de la société civile. »

 

Que l’organisation de l’élection présidentielle exigeant pour sa transparence, la présence des représentants des partis politiques, il est certain que l’absence des représentants des partis de constituants le front de l’opposition, est un élément significatif de la non transparence de l’élection du 12 juillet 2009.

 

Qu’enfin, l’article 17 de la même loi attribue à la commission nationale d’organisation des élections les prérogatives de :

-Vérifier les listes électorales ;

-Veiller au bon déroulement de la campagne électorale ;

-Assurer le suivi des opérations électorales ;

-Proposer à l’administration toute mesure susceptible de contribuer à la bonne tenue des élections ;

-Centraliser les résultats électoraux en provenance des commissions locales ;

-Transmettre les résultats au ministre de l’intérieur et au juge constitutionnel.

 

Qu’il est constant que cette commission nationale n’a pas vérifier la fiabilité des listes électorales en ne décelant pas les anomalies qu’elles contenaient, elle n’a pas assurer le bon déroulement de la campagne électorale en ne permettant pas aux leaders de l’opposition d’intervenir dans les médias pour y faire campagne.

 

Qu’au demeurant, cette commission n’a fait aucune proposition à l’administration susceptible de contribuer à la bonne tenue de l’élection présidentielle du 12 juillet 2009.

 

Qu’ainsi, les conditions d’organisation de l’élection présidentielle du 12 juillet sont entachées de plusieurs atteintes aux principes d’une élection libre et transparente.

 

Que par conséquent, l’élection du 12 juillet 2009 doit être déclarée nulle et non avenue car elle s’est déroulée dans des conditions d’organisation contraires, aussi bien aux principes issus de la déclaration de Bamako, de la convention internationales des droits civils et politiques, qu’aux principes issus de la loi électorale du 24 novembre 2009.

 

 

C- GRIEFS RELATIFS AU TAUX D’ABSTENTION :

 

Attendu qu’aux termes du préambule de la déclaration de principes relative à l’observation internationale d’élections :  « L’observation internationale d’élections est l’expression de l’intérêt que la communauté internationale porte à la tenue d’élections démocratiques s’insérant dans le cadre du développement démocratique, notamment le respect des droits de l’homme et de la primauté du droit visant à garantir le respect des droits civils et politiques,  l’observation internationale des élections est un élément de la surveillance internationale du respect des droits de l’homme et, à ce titre, doit répondre aux plus hautes exigences d’impartialité concernant les forces politiques nationales et ne tenir compte d’aucune considération bilatérale ou multilatérale contraire à ces exigences. Elle consiste à évaluer les processus électoraux conformément aux principes internationaux qui gouvernent les élections honnêtes et démocratiques et au système juridique du pays où ils se déroulent,étant entendu que, en dernière instance, ce sont les citoyens qui déterminent la crédibilité et la légitimité d’un processus électoral. »

 

Que ce faisant, l’intérêt porté par la communauté internationale à la tenue d’élections libres et transparentes, se manifeste à travers la présence d’observateurs internationaux sur les lieux où se déroulent les élections.

 

Que le fait que l’élection présidentielle du 12 juillet 2009 n’ait pas suscité l’engouement des observateurs internationaux en dehors de ceux de l’union africaine, triés au volet, est significatif de la volonté de la communauté internationale à ne pas apporter de caution à un scrutin dont l’organisation laissait à désirer.

 

Que pour s’en convaincre, l’union européenne qui est le premier partenaire du Congo-Brazzaville n’a pas jugé pertinent d’envoyer ses observateurs à ce scrutin dont les irrégularités d’organisation étaient patentes.

 

Que les observateurs internationaux présents sur les lieux de l’élection ont tous rendu des rapports attestant le fort taux d’abstention de la population Congolaise à cette élection.

 

Qu’il en est ainsi de l’observatoire congolais des droits de l’homme qui a déployé 47 observateurs dont 10 répartis dans différents départements, et les autres à Brazzaville.

 

Que l’observatoire congolais des droits de l’homme, au terme de sa mission d’observation,  a conclu que l’élection présidentielle du 12 juillet 2009, au vu du faible taux de participation, des fraudes et irrégularités, n’a été ni juste, ni transparente et équitable et n’a pas exprimé la volonté du peuple Congolais.

 

Que ce faible taux de participation ne permet en aucun, au regard des conventions internationales, de considérer monsieur Sassou Nguesso comme étant investi de la souveraineté du peuple Congolais.

 

Qu’ainsi, monsieur Sassou Nguesso n’est pas au regard du droit international qui fonde toute légitimité sur l’expression de la volonté de la majorité du peuple à travers des élections libres et transparentes, le chef de l’Etat de la république du Congo.

 

Que son maintien au pouvoir ne peut se justifier que par la peur qu’il distille au peuple congolais dont il a fait souffrir par ces miliciens et autres mercenaires.

 

Que par conséquent, le peuple congolais, à travers sa société civile, les partis d’opposition et toutes les personnes éprises de la démocratie et des droits de l’homme vous invite à l’aider en reconnaissant que le pouvoir de Sassou Nguesso n’est pas l’expression de la volonté populaire comme le souligne l’observatoire des droits de l’homme.

 

 

PAR CES MOTIFS,

 

-         DIRE ET PUBLIER QUE L’ELECTION PRÉSIDENTIELLE DU 12 JUILLET 2009 N’A ETE NI LIBRE, NI TRANSPARENTE, ET NI DÉMOCRATIQUE ;

-         DIRE QUE MONSIEUR SASSOU NGUESSO NE JOUIT D’AUCUNE LEGITIMITÉ ;

-         INCITER MONSIEUR SASSOU NGUESSO A ACCEPTER L’ORGANISATION D’UNE CONFERENCE NATIONALE AVEC TOUTES LES FORCES VIVES DE LA NATION POUR RELANCER LE PROCESSUS DEMOCRATIQUE.

 

 

             ET CE SERA RENDRE JUSTICE AU PEUPLE CONGOLAIS

        ET PARTICIPER A LA VICTOIRE DE LA DÉMOCRATIE AU CONGO  

 

 

PIECES JOINTES :

 

1- La déclaration des principes pour l’observation internationale d’élections.

2- Déclaration de Bamako.

3- Loi électorale du Congo-Brazzaville en date du 24 novembre 2001

4- Communiqué de l’observatoire congolais des droits de l’homme

5- Analyse statistique sur le corps électoral Congolais.

 

 

DOCUMENTS :

 

Articles des journaux Français sur l’élection présidentielle du 12 juillet 2009 au Congo-Brazzaville.

 

 

 

BRICE DZAMBA

Membre du Cercle la RUPTURE

 

                          

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