Rappelons les faits : une épidémie de poliomyélite a pour épicentre la ville de Pointe-Noire et il y a à ce jour des centaines de morts et à ce rythme, il faut craindre l'hécatombe. Nous nous associons à ceux qui demandent la démission du ministre de la santé pour incompétence. La réaction face à l'épidémie dénote d'un amateurisme inacceptable comme envoyer des gens dans les rues avec des vaccins pour vacciner au hasard - alors qu'on devrait organiser avec le concours de l'OMS qui a fourni un million de doses de vaccin une campagne de vaccination à la hauteur du fléau. Déjà que les hôpitaux sont mal préparés et manquent de tout, on se rend compte qu'il y a une absence de communication autour de la campagne de vaccination puisque les ponténégrins refusent de se faire vacciner, la vaccination leur paraissant ne pas être faite dans les règles de l'art.
Certes, c'est une ville du sud qui essuie les attaques mais je rappelle que le virus ne pratique pas le tribalisme comme Sassou et si les conditions d'adduction d'eau sont les mêmes dans tout le pays, on ne va pas tarder à assister à une épidémie nationale car des cas sont déjà signalés à Nkayi et à Dolisie. Je ne vais pas revenir ici sur la question qui fâche : celle de l'absence d'un réseau d'eau potable viable et sain dans un pays où l'on voit Sassou laver ses mains chaque jour avec l'eau Okiéssi qu'il produit et que tous les Congolais ne peuvent pas acheter faute de pouvoir d'achat conséquent. Si Sassou n'utilise pas l'eau courante pour se laver les mains, on peut se dire qu'il sait qu'elle est polluée et impropre à la consommation. La question que je me demande est de savoir s'il prend des douches à base d'eau Okiéssi...
Comment peut-on laisser quelques individus à pied passer de parcelle en parcelle chercher à vacciner les gens ? Il n'est pas étonnant que ne voyant ni blouse blanche ni insigne renvoyant à l'ordre médical que les populations prennent peur et refusent de se faire vacciner.
Nous conseillons aux populations de se faire vacciner car il n'y a pas de remède à cette maladie. Il s'agit d'un virus dont on ne possède qu'un traitement préventif sous la forme d'un vaccin. Il faut que les autorités communiquent suffisamment sur la pandémie par tous les moyens car c'est une question de santé publique et on devrait mobiliser de moyens à la haureur d'un Etat. Si un ministre de la santé est incapable de faire face à une épidémie qui est encore maîtrisable, il n'a rien à faire dans un gouvernement. Nous nous associons à la demande populaire qui demande sa démission avant que le fléau ne fasse trop de victimes.
Depuis le début de l'apparition de cette épidémie, nous avons dénoncé la faiblesse de communication du gouvernement car le peuple n'est pas assez instruit sur la nécessité de se faire vacciner, sur les précautions d'usage et nous ne voyons pas des structures se mettre en place à la hauteur de la présence d'un Etat et d'un ministère de la santé dignes d'une république qui a un vrai homme d'Etat à sa tête. A Pointe-Noire, tous ne sont pas au courant qu'une épidémie sévit et quelles précautions prendre pour éviter tout contact à risque. Encore heureux qu'il ne s'agisse pas d'un virus qui se transmet dans l'air.
Mes chers compatriotes, faites-vous vacciner car le vaccin est à titre préventif ; il permettra à votre organisme de fabriquer des anticorps correspondant au type de virus qui circule.
Nous demandons à tous nos concitoyens de se substituer à l'Etat en matière de communication et d'inciter les frères à aller se faire vacciner. C'est triste. Il m'arrive d'avoir pitié de mon peuple qui souffre tant. Nous vivons une période difficile au Congo où il y a une vraie crise des valeurs qui confine à la décadence de la nation au point où on se demande si l'autorité existe encore pour représenter ne serait qu'un millième de l'intérêt général.
The show is going over. Lentement, les rideaux de la scène avec le grand éléphant comme acteur principal, se referment. Au rythme de la vie, de la maladie et de la mort. Sassou a toujours pensé qu'un leader politique devrait se faire tout seul et non recevoir le pouvoir d'un autre comme si la volonté d'un mort n'avait pas quelque valeur testamentaire en politique. Il est encore maître de l'échiquier qu'il a mis en place et il peut encore faire tomber des pièces chez les Kouyous ou chez les Likoualiens avant de partir reposer pour l'éternité à Kona-Kona parmi les siens. La réunion qui s'est tenue à Owando a-t-elle rassuré le nord dans ses véilletés de conserver le pouvoir ? Jean Dominique, celui dont le seul mérite est de rester derrière l'oncle comme une seconde ombre ne doit pas se faire trop d'illusions : le pouvoir ne lui tombera pas dans le bec comme le fromage du corbeau. Quelque part, quelqu'un aiguise son couteau et il n'est pas forcément d'en-haut. Personne ne sait d'où vient l'épervier qui vient voler le poussin.
Certes, ils se sont réunis chez Yhombi pour deviser de toutes les hypothèses du pouvoir mais qui peut croire que Yhombi est fiable, lui qui n'a pas cessé de trahir et de comploter tout le long de sa carrière politique ? Qu'il ne se frotte pas vite les mains en se disant que le pouvoir allait lui revenir comme une femme volage parce que la dernière assiette roumaine n'a pas encore été cassée et il pourrait en faire les frais. Sassou connaît Yhombi et Yhombi a déjà été déposé par Sassou qui l'a ensuite arrêté avant de l'envoyer en résidence surveillée à Owando. L'inverse de la confiance règne et non la confiance - même si chaque bouffée de ngoki qu'enfourne le général de brigade est payée par Sassou. Les Mbochis ont l'art de la réunion avant et après la réunion et cela, Yhombi le sait. Après le conciliabule Owando 1, les Mbochis se sont encore retrouvés autour de Jean Dominique Okemba et Yhombi a dû consulter Engombo et compagnie de son côté.
Pendant qu'ils complotent contre la république pour lui ôter cette fois-ci les ailes au lieu des plumes, les Likoualiens guettent et suivent le processus de loin et de près. Au coin du feu, la kalachnikov. Il y a toujours des inconnues dans cette équation de la conservation du pouvoir au nord. Jean Dominique Okemba sait-il que dans son propre camp, on le qualifie d'analphabète ? Certes, il connaît tous les secrets de l'oncle et c'est lui le gardien du temple mais ça n'en fait pas pour autant un homme politique ou un homme de pouvoir : il n'a pas le charisme de Sassou et même le dauphinat ne lui portera pas chance. Qu'il craigne qu'en faisant de lui son dauphin, qu'en réalité, Sassou l'expose à l'appétit des pirhanas de toutes sortes et qu'il ne s'en sorte pas indemne. Quand tombe l'éléphant, la chute est si lourde que tout s'écroule autour et les petites bestioles ont vite fait de prendre la poudre d'escampette. Celui qu'on désignerait comme successeur risquerait de manger son acte de naissance avant le cobra lui-même car trop d'ambitions qui rampent autour du pouvoir finiraient par le mordre. Sassou a encore un reste de venin politique à écouler. Ceux qui prennent des postures pour devenir des pièces autonomes sur l'échiquier le savent. Une ambition trop voyante ou désignée pourrait l'expédier ad patres avant l'heure pour surfer sur la parole du fourbe numéro un de la république en bon Brutus qui décapite le César qui l'a fait.
L'armée ne tient que si les ordres tiennent et personne n'a assez d'autorité pour tenir les gâchettes dégoupillées. Au sud, les armes se sont terrées sous les lits mais elles peuvent crépiter si l'occasion de restituer la démocratie au peuple avortait. Personne ne sait ce qui va se passer : Sassou a lâché la France et la France a lâché Sassou sinon nous n'aurions pas le procès des Biens Mal Acquis. Les coulisses sont sombres, et personne ne sait d'où viendra la lumière si ce n'est la foudre. Un peuple bâillonné qui a commencé à arracher des arbres plantés a envie de déraciner plus que de l'eucalyptus. Attention, il y a de la soif de scalp dans l'air : nous voyons ta marmite toujours bouillante tandis qu'à un mètre de toi, on meurt de faim. Il faudra ne pas sous-estimer les forces et les tensions sociales. Un arme qui a craché hier peut encore le faire des années plus tard.
Yhombi ne fait pas confiance à Denis et Sassou ne fait pas confiance à Joachim. Entre les Kouyous et les Mbochis, il y a le spectre de l'assassinat de Marien Ngouabi, un mort en trop. Oui, les Généraux prendront les milliards de francs cfa que tu leur donneras mais, une fois l'arme à gauche, tu ignores ce qu'ils vont faire. L'unité du nord ? Elle a tenu par le jeu de la peur mais il n'y a plus une mais des peurs parce que les affaires attendent : disparus du Beach, Bien Mal Acquis dont le juge ne manquera pas d'enquêter jusqu'en Espagne, vu que l'Union Européenne l'autorise. Bientôt, il ne vous restera que la Chine mais méfiance ! Ba liaka batu moyindo ! L'oeil bridé est le symbole du serpent et dans votre clan, il semble que les cobras ont du venin à revendre : il y a de la morsure en l'air comme il y a de la pestilence dans les signes du temps. Que la pièce se referme et qui verra dira ! Méfie-toi de celui qui est derrière toi et qui a toujours eu envie d'être devant toi !
LION DE MAKANDA
Entre la propagande du pouvoir de Brazzaville et la réalité, il y a un éléphant comme abysse, un éléphant qui est le symbole même de Sassou dont les promesses non tenues n'étonnent plus personne ; le peuple en est de toute façon blasé et résigné face à la terreur et au spectre de nouveaux massacres que pourraient causer les révoltes.
Il y a comme deux politiques au Congo : une pour le nord et sa capitale Oyo et une autre pour le reste du pays. Tandis que Brazzaville la capitale croupit dans le noir et que la tour Nabemba de 30 étages abritant de nombreuses directions de ministères est désertée faute d'électricité, Sassou dépense des fortunes pour amener le courant à Oyo, un tout petit village de pêcheurs à qui on a donné le look d'une ville, en engageant des travaux pharaoniques comme la construction d'un canal de la Léfini jusqu'aux bords de l'Alima pour transporter le courant à travers marais et marécages. A Brazzaville, de petits investissements de travaux de réparation ou de groupes électrogènes de réserve peinent à suivre. Le système est out avec de vieux transformateurs qui déclenchent souvent des incendies et des décès. En fait, les installations à Brazzaville datent de l'époque coloniale.
Des millions de litres de pétrole par jour mais pas une seule goutte d'eau potable à Pointe-Noire, la capitale économique, où les populations subissent le fouet d'une épidémie de poliomyélite. Monsieur Okiémy, ministre de la communication du royaume, peut fournir à monsieur Sassou une plaidoierie d'avance dans l'affaire des Biens Mal Acquis mais de grâce qu'il arrête d'associer le peuple congolais à des comportements lugubres qui déshonorent la république comme le détournement du denier public : Sassou n'est pas aimé des Congolais sinon pourquoi auraient-ils arraché les arbres qu'il a plantés le 6 novembre 2010 ? Incivisme ? Non, manifestation de révolte comme un indicateur de la furie qui risque de s'abattre sur le pays quand l'éléphant politique mi-souris, mi-cobra, ne sera plus là. Il est faux de penser qu'il n'y a d'organisations congolaises qui ne sont pas parties civiles dans cette affaire. L'association Transparency International n'est pas seule dans cette affaire et si nécessaire, je me porterai partie civile.
Ceux qui planifient d'user de la force pour conserver le pouvoir seront responsables des crimes qui seront commis si jamais on faisait couler le sang d'innocents - juste pour terroriser le pays comme quand Sassou semait la mort pour trouver le prétexte de son coup d'Etat en 1997. Le Général Joachim Yhombi Opango serait mal inspiré de soutenir un tel putsch, lui dont les parents ont été assassinés par les sbires de Sassou à la recherche d'un prétexte pour déclencher le coup d'Etat.
Jean Jacques Bouya peut toujours accuser le peuple de détourner l'électricité qui n'existe même pas mais il faut qu'il sache que ceux qui ont des maisons électrifiées appartiennent d'abord au système en place et sont ses propres frères. Le petit peuple n'a pas d'électricité et même Dolisie qui d'ordinaire a de l'électricité en permanence est plongé dans le noir.
Je l'ai dit et redit : le barrage d'Imboulou ne sera pas la solution aux délestages car l'électricité sera détourné et vendu ailleurs à des pays frontaliers qui en payeront le prix. Que tout ceci s'arrête et vite car les vrais Congolais ont un pays à construire ; je dis bien construire et non reconstruire car il n'a jamais été construit...
Voici une vidéo qui m'a été sugérée par les francs-maçons du myosotis - qui ne sont pas mes amis car je ne suis point franc-maçon et par un ami. J'ai pris le temps de l'étudier, d'en dégager tous les symboles et toutes les leçons et voici mon constat :
- cette vidéo n'a pu être prise que par un franc-maçon et cela se voit qu'il n'avait pas l'autorisation de filmer au vu de la qualité de la vidéo prise certainement avec un téléphone portable. Nul n'entre dans une Loge s'il n'est pas franc-maçon ou s'il n'a été au préalable invité par le Grand Maître de la Loge. C'est dire que même les gardes du corps du président Ali Bongo n'ont pas pu être admis à l'intérieur, les loges ayant leur propre service de sécurité ;
- de manière implicite, cette vidéo indique que les pouvoirs intérieurs en Afrique viennent de l'extérieur, d'une puissance tutélaire, de sorte que la logique coloniale se poursuit. Il y a extraversion du pouvoir, de tous les pouvoirs. Si on vous donne le pouvoir spirituel plus important, a fortiori, on vous donnera le pouvoir temporel et il n'est pas étonnant que l'on entende dire que nul ne peut devenir président de la république en Afrique s'il n'est franc-maçon. C'est une image de la vassalité, de la perennité de la domination de l'homme noir par le Blanc qui lui donne la moindre autorité puisque même nos diplômes doivent être validés par l'Occident. Nous sommes en face d'un assujettissement total des Nègres par les Occidentaux et cela sur tous les plans, nos religions ayant été battues en brèche par le christianisme et notre monnaie est encore le franc cfa créé sur le modèle de la monnaie nazie comme le dit un économiste ivoirien ;
- La loge, un univers très hiérarchique où la franc-maçonnerie l'impose sur la souveraineté terrestre des chefs d'Etat, sur la souveraineté d'une nation comme un monde à part caché au profane qui se sublime au travers de symboles prétendument anciens. Chacun y est à sa place et on acclame le nouveau maître en faisant le signe de l'apprenti : un vacarme. La disciple et l'obéissance sont de règle et il est étonnant que l'on prétende que la démocratie moderne est née dans un univers aussi totalitaire - c'est presque insultant ;
- Ali Bongo Ondimba porte le tablier blanc d'apprenti et cela signifie qu'il fait un bond extraordinaire de simple apprenti à Grand Maître de Loge. Cela ne se peut que s'il a donné beaucoup d'argent à la GLNF car un bond pareil dans la hiérarchie serait autrement incompréhensible ! On voit que c'est un homme ambitieux qui veut tous les pouvoirs et nul ne saurait lui prendre la place de son père en tant que Grand Maître puisqu'il a déjà mis ses fesses dans le fauteuil présidentiel de papa ;
- On voit Stifani, Foellner entre autres, quitter la France pour venir introniser Ali Bongo Ondimba au titre de Grand maître de la Grande Loge Nationale du Gabon (ils ont fait la même chose au Congo en installant Sassou à ce poste alors que les chiens errants mangeaient encore les cadavres du coup d'Etat de 1997 et que le calme n'était même pas encore totalement revenu) ; ce qui infirme le fait que les loges filles auraient une quelconque indépendance vis-à-vis de la GLNF (Grande Loge Nationale de France) car si elles étaient indépendantes, elles éliraient seules leurs Grands Maîtres et personne n'est dupe en coryant qu'il y a eu élection, c'est-à-dire, qu'il y ait eu candidatures multiples et élections. Le mot "élection" est tout bonnement détourné de son sens originel, de son étymologie principale ;
- Le texte d'intronisation est imposé par Stifani - ce qui montre qu'il y a bien un chef hiérarchique qui est Stifani qui joue ici le rôle de Grand Architecte assis à la place symbolique de Salomon car c'est à lui qu'Ali Bongo Ondimba promet de faire tout ce qui est en son pouvoir pour défendre les intérêts de la franc-maçonnerie et c'est un acte solennel devant de nombreux témoins. Ce qui pose un problème : si les intérêts de la franc-maçonnerie s'opposent à ceux du Gabon, Ali Bongo Ondimba est obligé de céder en faveur des intérêts de la franc-maçonnerie qui sont ici les intérêts de la France. Je vous laisse tirer les conséquences. Je rappelle juste qu'Ali Bongo Ondimba a prêté serment de défendre les intérêts du Gabon et les Gabonais.
Lors du cérémonial, un fait m'a amusé : Ali est entre semble-t-il Foellner et un autre ancien Grand Maître. Foellner lui tend la main, il la donne comme un enfant tendrait la main à son père et il tend sa main droite à l'autre Grand Maître qui est à sa droite mais celui-ci ne la tend pas. Ali la met sur coeur imitant Foellner mais à sa droite l'autre ex-Grand maître tend à son tour la main mais Ali qui l'a regardé s'y refuse. Foellner aura plus de chance d'être écouté, je présume, car Ali est rancunier et ce petit fait a suffi de le prouver.
Ensuite, on voit Ali Bongo s'agenouiller comme un serviteur et symboliquement, la genuflexion est le symbole de la soumission, de l'abaissement total, de la supplication, de l'infériorisation car le supérieur ne s'agenouille jamais devant l'inférieur (1) et en spiritualité, celui qui parle au nom de Dieu tient la place de Dieu - c'est en fait lui Dieu (Feuerbach). Après avoir solennellement juré de défendre les intérêts de la franc-maçonnerie (lesquels ?), il s'agenouille, lui qui représente un pays peuplé de plusieurs millions d'habitants ! Le Gabon s'agenouille devant la franc-maçonnerie et moi j'y vois la France car il suffira de passer par Stifani pour imposer à Ali Bongo Ondimba la défense des intérêts de la France à travers la franc-maçonnerie : déjà entre frères, on se doit d'être solidaires et les exemples ne manquent pas. Face à la soumission, la sagesse de Salomon ne suffira pas car SALOMON ETAIT UN HOMME LIBRE QUI NE REPONDAIT QU'AUX SEULS PRECEPTES D'HASHEM, SON DIEU. ET JAMAIS UN JUIF PRATIQUANT NE S'AGENOUILLERAIT - MÊME POUR DEVENIR GRAND MAÎTRE DEVANT UN HOMME. D'AILLEURS, LES JUIFS ONT LEUR PROPRE OBEDIENCE MACONNIQUE RESERVEE EXCLUSIVEMENT AUX JUIFS : "BNEI BRIT" OU LES FILS (ENFANTS) DE L'ALLIANCE EN HEBREU...
Pourquoi mêler le spirituel et le temporel ? Pourquoi forcément un président à la tête des Grandes loges en Afrique ? Aux Etats-Unis, les présidents sont souvent des francs-maçons mais ils ne sont pas des Grands Maîtres de Loge ! Idem en Europe. Le processus d'enchaînement mental de l'Afrique est simple : il suffit de tenir celui qui est à la tête du pays pour jouir de toutes ses richesses et asservir tout le pays. Stifani est clair : il reviendra pour élire un autre Grand Maître si besoin il y avait. La Grande Nationale du Gabon n'est donc pas libre de mettre en place son propre Grand Maître ? C'est à une domination politique qu'on assiste au travers d'une pseudo-spiritualité. UNE QUESTION : JUSQU' A QUELLE BASSESSE LES ALI, LES SASSOU SONT-ILS PRÊTS A DESCENDRE POUR UNE PSEUDO-RECONNAISSANCE SPIRITUELLE QUI N'EN EST PAS UNE ? Sarkozy n'est pas Stifani. Si Ali est Grand Maître, pourquoi Sarkozy ne le serait-il pas à la place de Stifani ? Ici, les pouvoirs terrestre et pseudo-spirituel sont séparés - même s'il y a des interpénétrations avec la présence du Grand Maître Bauer auprès de Nicolas Sarkozy comme conseiller : en France, la franc-maçonnerie tient l'oreille droite du "roi" de France au travers de la parole éclairée de Grand Maître Bauer.
Ceux qui mettent les genoux des nations africaines par terre, les serviteurs sous oripeaux de maîtres, sont des traîtres ! La ruse de la grandeur fictive continue à tenir les hommes d'où qu'ils soient et enchaîner les Africains sera toujours aussi facile : par les péchés d'un seul, le péché est entré dans toute l'humanité ; par les chaînes d'un seul, on enchaîna tout un pays. Seules ont changé les chaînes de la servitude. Et Eblis nous attacha par les chaînes de l'esprit, des chaînes mentales plus solides que le fer et non corrosives. Regardez, écoutez bien comment l'Afrique se vend au travers d'un homme.
Les chaînes ne sont plus au cou et aux pieds mais mettent l'esprit au carcan de l'esprit et les chairs s'enchaînent toutes seules.
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(1) Quand Moïse s'agenouille devant Jethro, l'Africain (Ethiopien), beau-père de celui-ci, puisqu'il était marié à une femme éthiopienne qui désigne la femme noire dans le langage de l'époque, le terme péjoratif de noir, nègre, négro étant inventé par les esclavagistes plus tard, on peut en déduire que la religion que nous Africains croyons recevoir des Juifs, c'est en fait l'inverse qui s'est produit au commencement et que l'on prenne la chose du côté des Egyptiens ou Kémétious, c'est encore des Noirs qu'il aura reçu les lumières, ce Moïse, de même qu'un Pythagore, un Solon, un Euclide, Un Orphée, un Platon, un Hyppocrate qui alla apprendre la médecine en Egypte et tant d'autres encore. Jethro demande à Moïse d'organiser la foule et de leur enseigner les préceptes. Cela ne peut signifier qu'une chose : les lois qui seront inscrites sur les tables de la loi étaient connues de Jéthro prêtre de Madian dont la religion est inconnue comme celle de Balaam qui était aussi de Madian - ce qui montre que la religion que les Juifs prétendent être les seuls détenteurs était pratiquée avant eux par d'autres. D'ailleurs, Abraham s'agenouilla devant Melchisedek et lui donna la dîme - ce qui est un signe de soumission spirituelle, Mechisedek dont Paul dit qu'il n'avait ni père ni mère comme pour en évoquer l'ancienneté et le flou des origines.
La Lettre du Continent avait annoncé une réunion des Mbochis influents déblatérant sur toutes les hypothèses possibles de conservation du pouvoir au nord. Nous avions déjà soupçonné que cela ne pouvait qu'avoir un lien avec Sassou lui-même. Des rumeurs qui nous parviennent, je dis bien rumeurs, il semble que Sassou soit très malade - ce qui explique les demandes de prières de sa femme auprès du monde ecclésiastique.
Nous appelons les Congolais à la vigilance absolue car il faudrait éviter que Sassou meure et qu'on ne nous l'annonce que six mois plus tard. Si les rumeurs ne sont pas fondées, laissez des commentaires car il y va de l'avenir du pays. Il est à noter que chez nous la rumeur est comme l'épiderme de la vérité. Il suffit de gratter un peu pour que ça saigne. Nous allons continuer à enquêter sur ces rumeurs.
Il est question de cancer dans la rumeur et de "métastases". On peut se tromper mais ça peut aussi être vrai, vu que l'on nous cache tout de la santé de cet homme public !
La mort de Sassou ne sonnera pas la délivrance du peuple si celui qui lui succède est pire que lui en poursuivant une politique de frivolité économique exacerbée. Attention, nulle part, nous ne souhaitons la mort de ce monsieur - même si nous désapprouvons sa politique. C'est un être humain et sa vie appartient à celui qui la lui a donnée - même si déplorons qu'il n'ait pas hésité à prendre plusieurs vies parfois gratuitement. Ca, c'est une affaire entre lui et D.IEU. Nous ne le jugeons pas mais nous ne faisons que dénoncer les conséquences de sa politique désastreuse pour notre peuple depuis plus de 25 ans.
Soyez vigilants. Souvenez-vous de ce qui s'est passé au Gabon où la mort de Bongo à été dissimulée aux Gabonais - alors même qu'il était mort au Gabon. Lisez les signes des temps. Azraël signe toujours son passage par une odeur caractéristique et Azraël, c'est l'ange de la mort...
Comme toujours avec un retard sur la presse étrangère et sur DNCB, le gouvernement congolais reconnaît enfin l'épidémie virale de poliomyélite. Le fait qu'on parle de virus "sauvage" est étrange : S'agit-il d'une souche inconnue du virus ou d'une souche ancienne ? Si le virus est sauvage, qu'est-ce qui nous rassure que le vaccin va arrêter l'épidémie ? La question est cruciale puisqu'il n'existe aucun médicament pouvant guérir de la polio. C'est un effet de style déplacé qu'utilise ici le journaliste comme pour éviter de renvoyer les responsabilités au gouvernement qui est incapable de fournir de l'eau potable aux populations. Si un virus n'a pas une origine sauvage, il ne peut avoir qu'une origine humaine - une manipulation de laboratoire - ce qui serait déplacé car cela signifierait que les laboratoires pharmaceutiques produisent eux-mêmes les souches de virus qui affectent les populations pour ensuite leur vendre des vaccins car la polio a pratiquement disparu de la surface de la terre. Comment se fait-il que l'OMS ait réussi à rassembler si vite un million de doses de vaccin contre la polio ? Certes, le vaccin existe mais ce qui est problématique, c'est la validité des stocks. Un vaccin a une durée de vie et nous n'espérons pas que l'OMS écoule les invendus des laboratoires pharmaceutiques qui datent d'il y a vingt ans. Fournir en si peu de temps un million de doses est curieux...
Cette tournure de virus "sauvage" ne veut rien dire car sur le plan viral, seules le mutations caractérisent les différences entre souches et les types. De toute façon, un virus même civilisé qu'on n'en voudrait pas ! Le pédantisme atteint parfois de telles inepties !
Ceux qui doutaient encore sont à présent convaincus qu'une épidémie sévit bien à Pointe-Noire et si les conditions de manque d'eau potable sont identiques ailleurs dans certaines parties du pays, personne ne s'étonnera que la maladie apparaisse ailleurs. Curieux que l'OMS ait déjà préparé un million de doses de vaccins. Espérons seulement qu'il ne s'agisse pas de vaccins périmés...
En d'autres lieux, l'école est le lieu de l'excellence intellectuelle et morale mais chez nous, elle est devenue un lieu de dépravation et de production à la chaîne de la médiocrité. Notre système éducatif est décadent. Comme tout le reste d'ailleurs. Il est devenu très difficile d'évaluer le niveau de notre enseignant tellement les enseignants et les enseignements laissent à désirer. Nombreux ne sont pas des enseignants de profession mais des étudiants qui ont échoué lamentablement à l'université Marien Ngouabi qui est devenue l'une des dernières de l'Afrique. Et que dire de ces écoles privées qui prolifèrent comme de la mauvaise graine ? Rien ne vient encadrer tout cela, c'est à se demander pourquoi il y a des ministères...
Antoinette Sassou Nguesso va à Kinshasa débattre du treizième mois des enseignants ou mois de la culbute, de l'eau entre autres choses. Elle fait bien mais concernant les abus sexuels sur les élèves et sur les étudiantes, c'est au pays qu'il faut d'abord en parler avec les élèves, les étudiants, les enseignants, les parents et les pantouflards des ministères concernés. Le Congo est le pays de l'impunité et tant que les enseignants ne redouteront rien - comme perdre leur emploi, ils continueront à violer et à abuser de jeunes filles. Les notes se tirent et se retirent dans l'ombre d'une chambe d'hôtel, par exemple. Ce qui m'inquiète, c'est que le phénomène a même gagné l'école primaire ! Les enfants sont donc en danger car l'abus pourrait s'assimiler à du viol et de la pédophilie ! Note contre sexe, voilà un comportement prostituant criminel car il fait croire à la jeune congolaise que la sexualité est une monnaie d'échange qui lui fait choisir la solution de la facilité. Ca s'appelle tout bonnement de la prostitution. Les enseignants sont tout bonnement en violation de la charte de l'enseignement et il faudra en remédier.
Chaque jour qui se passe nous nous posons une seule question : dans quel état Denis Sassou Nguesso laissera-t-il le pays ? Sur le plan moral ? Economique ? Social, etc ? La décadence a toujours précédé la mort des empires et des nations et pour ceux qui auront la chance de travailler à la reconstruction du pays, il y aura fort à faire : il y a de l'os sur la planche !
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Voici un texte trouvé sur le site allAfrica.com qui parle en détail des abus sexuels de nos enseignants car les universités, les lycées, les collèges et même les écoles primaires sont devenus des nids à pervers...
La terre est le symbole de la souveraineté d'un pays. A mon humble avis, il ne peut y avoir deux autorités sur la terre du Congo. Entre l'Etat et les propriétaires fonciers, il y a une autorité de trop et il n'est donc pas étonnant que les propriétaires fonciers dament le pion à la république en vendant même le domaine alloué au public. Parmi les ratés de la Conférence Nationale, il y a la question foncière avec le rétablissement des propriétaires fonciers qui n'ont aucune prérogative traditionnelle : la terre est le tsi de tous, le tsi des Kugnis, des Vilis, des Mbochis et nul n'achetait son terrain d'habitation. Juste fallait-il demander au chef du village de s'installer quand on était un étranger à la périphérie du village. Seule l'accès à la forêt était plus réglementé puisque la forêt est le garde-manger des tribus et des peuplades repondant à une autorité traditionnelle. Au nom de la tradition, nul ne peut donc se prévaloir de vendre un terrain d'habitation. De Brazza lui-même n'acheta pas le terrain de Mfoa à Makoko mais obtint juste le droit d'y installer un comptoir. Pour le reste, lisez l'article sur SAVORGNAN DE BRAZZA "Vérité sur un mensonge colonial" pour comprendre le reste.
Le cas d'Eugène Moloki est emblématique du problème de l'occupation de l'espace au Congo : qui décide de qui doit occuper tel ou tel espace ? L'Etat ? Oui si on est en république ! Les propriétaires fonciers ? D'où vient leur autorité ? En effet, il y a anachronisme : on recule alors qu'on est déjà en république ! Question de primoterritorialité, personne ne peut prouver que ses ancêtres possédaient seuls la terre - alors dans nos traditions sa gestion et son occupation ont toujours été collectives. Qu'on me dise dans quelle tradition ethnique, nos historiens ont montré qu'un individu possédait seul et vendait à ce titre la terre. Je défie les historiens congolais ou ce qui en reste sur la question. La terre n'a jamais été une marchandise dans nos traditions ; on ne l'échangeait pas contre du bétail ou quoi que ce soit. On parle de pays kugni, lumbu, vili, téké, etc.
L'Etat s'arroge le droit de posséder les ressources du sous-sol mais se refuse le droit de régir la terre. Etrange ! Que le ministre Pierre Mabiala ait entendu notre conseil en prenant le soin de délimiter et d'encadrer le domaine public, c'est bien, qu'il arrête un Eugène Moloki, c'est très bien mais il n'est pas le seul et son cas dénote du vide juridique sur le domaine foncier congolais. Les Eugène Moloki sont nombreux et ils sont souvent des militaires qui usurpent l'autorité foncière à des propriétaires fonciers qui n'ont que la légitimité qu'on veut bien leur concéder. Il suffit qu'un homme arrive, qu'il soit le premier sur un terrain nu pour qu'il se proclame propriétaire foncier en délimitant sa zone de pouvoir sur des hectares jusqu'à ce qu'il rencontre l'autorité d'un autre propriétaire foncier. Et le règne de l'anarchie suit puisqu'aucune règle préalable ne dresse une modalité d'occupation de tout terrain de la république. S'il y a des propriétaires fonciers, pourquoi la forêt n'appartient-elle pas aux peuples autochtones qui en dépendent puisqu'ils en vivent ? Pourquoi les Pygmées ne décident pas s'ils doivent concéder à une exploitation forestière ou non ? Sassou a un précédent avec les chefferies mbochies sur l'aéroport d'ollombo : il refuse de payer un centime prétextant que le terrain appartient aussi à la république et surtout qu'il est lui aussi Mbochi - donc en théorie propriétaire de la terre. N'est-il pas lui aussi un kani - puisqu'ayant été initié à des pratiques de ce genre ? Sinon le Kani des Kanis en sa qualité de gangster en chef de l'Etat privé parce que privatisé du Congo ?
Au Congo, personne ne fixe le prix du mètre carré, personne ne décide où se trouveront les futures écoles, les marchés, les hôpitaux, les routes, les champs, etc. Les propriétaires fonciers vendent à qui veut acheter et on se retrouve avec des zones où rien n'a été prévu pour un poste de police, une gendarmerie, un terrain de football, etc. Pierre Mabiala a reconnu qu'il n'y a pas de plan cadastral national ; c'est l'aveu que la terre, la surface est négligée par l'Etat sauf lorsque son sous-sol recèle une ressource quelconque comme le pétrole. En fait, la surface n'intéresse l'Etat que pour des ressources comme le bois mais la terre brute n'a aucune importance. Sassou s'est imposé sur les chefs fonciers à propos de l'exploitation du pétrole en surface en territoire vili. Là, on a envoyé valser l'autorité des propriétaires fonciers.
A l'heure où les cartographies sont aussi précises que le sont les satellites, comment expliquer qu'il n'y ait pas de plan cadastral national au Congo comme cela se fait ailleurs ? Carence volontaire ? Amnésie ? Incompétence ? Absence de volonté politique ?
Elle est à tous, la terre. Nous l'avons trouvée là. Elle était là avant nous.. Même les chimpanzés nous y ont précédés. Certes, à tel ou tel endroit telle ou telle tribu était là avant les autres mais ce temps-là est révolu puisque nous avons mis la terre en commun en donnant juridiquement son administration à l'Etat. En acceptant la république, nous avons factorisé, mis en commun la terre sinon la république perdrait de son sens. La cohabitation entre DROIT TRADITIONNEL et DROIT REPUBLICAIN doit être structurée juridiquement. Comme ses ressources sont à tous, la terre est à tous et l'Etat doit la gérer pour nous puisqu'il nous représente tous et l'absence d'une transparence dans la gestion de nos ressources augure du désordre qui prévaut dans la gestion foncière du pays, la terre étant une ressource comme les autres. Oui, nous sommes une république bananière, tomatière, patatière, tout ce que vous voulez sinon si nous étions une république tout court, la terre et tout le reste auraient un caractère républicain et il y aurait un seul souverain sur la terre : la république !
Moloki, un nom qui signifie "sorcier". Tout un symbole. Il a été arrêté mais la terre a déjà été vendue et lotie ! Qui prendra le risque de venir perturber le sommeil d'un militaire qui dort à côté de sa kalachnikov ? Les maraîchers ont perdu leur espace de travail. Fallait-il attendre aussi longtemps pour sévir ? Il y a un ministère des affaires foncières et du domaine et aucune structure fiable et viable pour surveiller le territoire ? Les gens veulent acheter des terrains et vivre dans un petit coin qui soit à eux mais à qui s'adresser si les choses ne sont pas claires ? Rien ne permet de savoir à qui s'en référer parce qu'il n'existe aucun organe qui contrôle les propriétaires fonciers. Un terrain nu n'a pas de maître apparent puisque la répulique a renoncé à ses droits. Un Eugène Moloki vient combler une lacune et le peuple lui confère l'autorité qui manque ! Un Moloki ou un autre, quelle importance ? Ce que le peuple cherche, c'est une autorité qui leur permet d'avoir un acte de propriété sur un terrain. Si Moloki n'existait pas, les Congolais allaient l'inventer. Ceci témoigne au moins du fait qu'il n'y a pas occupation anarchique dans la mesure où 1) Les individus ne s'installent pas sans en demander l'autorisation 2) les individus achètent le terrain à un prétendu propriétaire foncier puisque l'Etat s'est désengagé. Après tout, il faut bien l'acheter à quelqu'un et aux dernières nouvelles, même des étrangers sont devenus propriétaires fonciers au Congo ! Ce n'est pas l'Etat qui fait le propriétaire foncier mais l'ANARCHIE et l'AUDACE ! Quelles sont les conditions que doit remplir un propriétaire foncier agréé ? Au nom d'une histoire et d'un passé supposés ou même inventés, un individu peut se proclamer propriétaire foncier comme la terre ne parle pas pour désavouer son maître. Un propriétaire foncier doit-il exhiber à chaque pas sont titre de propriété ? Qui le lui a attribué et au nom de quoi ? Quelle est la juridiction qui régit la terre ? Tradition ? Droit moderne ? Il faut que les choses soient cohérentes et dans la question foncière et sa pagaille ndombolienne, je vois le règne de l'anarchie et chacun peut s'approprier au courage un peu d'autorité. Eugène Moloki, je le sais, ne croupira pas longtemps en prison : les militaires et policiers à qui il a donné un espace et un sommeil paisible ne l'ont pas assez remercié pour le laisser à la merci du moustique et des odeurs âcres de nos cellules carcérales. Il va vite sortir et recommencer : Moloki a des terres à vendre et il n'a pas fini son travail. Nul besoin d'être sorcier pour le comprendre...