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18 novembre 2020 3 18 /11 /novembre /2020 15:22

COMMENTAIRE : Nous sommes heureux d'apprendre aux Congolais, notamment aux habitants de Pointe-Noire l'existence d'un centre de néphrologie et d'hémodialyse dirigé par le docteur Dengo. Il n'est donc plus nécessaire d'aller faire sa dialyse à Brazzaville ou à l'étranger : les habitants de Pointe-Noire peuvent désormais le faire sur place. Le docteur Jean Christophe Dengo en parle mieux que moi dans le message qu'il m'a envoyé :

 

" S'agissant du centre, je te remercie très sincèrement et à l'avance si tu faisais un article là-dessus. IESHOUAH Santé veut dire "Santé de Dieu". C'est un centre de Néphrologie et Hémodialyse dont l'ouverture s'est faite le 27 février 2017. Nous sommes spécialisés dans la prise en charge des patients souffrant d'hypertension artérielle, de diabète de type 2 (ou diabète de l'adulte), d'insuffisance rénale aigüe ou chronique et des maladies du rein et des voies urinaires, etc. L'hypertension artérielle et le diabète de type 2 sont les deux pathologies dont souffrent beaucoup les Congolais en particulier et les Africains de manière générale. Sans suivi médical approprié, ces patients arrivent assez rapidement au stade d'insuffisance rénale chronique puis terminale nécessitant une prise en charge par la dialyse. Sans dialyse, au stade d'insuffisance rénale chronique terminale, tous les patients décèdent. Et le taux de mortalité par insuffisance rénale chronique terminale au Congo est très élevé. Je peux aujourd'hui affirmer avec certitude que l'insuffisance rénale chronique terminale tue tous les jours au Congo car le coût de la séance de dialyse reste élevé, les patients n'ayant pas les moyens de se faire dialyser 3 fois par semaine et à vie.

 

Le paludisme tue également surtout les enfants mais également les adultes lorsque le traitement n'est pas bien administré. Les patients développent une insuffisance rénale aigüe qui nécessite quelques séances de dialyse pour espérer une récupération de la fonction rénale. Il arrive que certaines familles n'aient pas les moyens financiers de réaliser 2, 3 ou 4 séances de dialyse souvent nécessaires à la reprise de la fonction rénale et vont donc perdre un membre de la famille. 


L'État Congolais devrait normalement aider des centres comme le mien qui apportent une solution spécialisée à la population congolaise au lieu de faire des évacuations sanitaires à l'étranger qui reviennent très chères à l'État. Bref, voilà un peu les éléments principaux que tu retourneras à ta sauce. 
Bien amicalement.

 

Docteur Jean Christophe Dengo."

 

 

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16 octobre 2020 5 16 /10 /octobre /2020 09:26

Bonjour, Laurent. Il est révoltant de voir un peuple subir l'injustice, l'arbitraire, la négation de ses droits, sans qu'il puisse oser se soulever, se rebeller - même quand la souffrance atteint un tel paroxysme ! Certes les dictatures ont pour eux l'usage de la violence  et de la coercition légitimes mais que peuvent-elles faire face à des peuples déchaînés, survoltés ? Il n'y a rien pour tenir des peuples qui se révoltent dans leur totalité. Aussi, ont-ils toujours été divisés. Et, d'entrée de jeu, je fais remarquer que les colonisateurs n'avaient pas pour but de faire de nos tribus ou de nos ethnies des nations. Au contraire ! Ils ont créé des divisions plus marquées avec l'état civil. Avant, l'identité était clanique et non tribal avec ceci que le clan traversait et commentait toutes les tribus. J'ai eu une agréable surprise d'être contacté par un MINDZUMBA BEMBÉ à Mouyondzi !

 

Tu te demandes pourquoi notre peuple ne réagit pas à toutes ses souffrances, de sorte à renverser la table de la dictature. Comment pourrait-on expliquer cela ? Je vois que tu t'arrêtes au niveau de l'indignation. Peut-être que le temps te manque pour creuser ton questionnement. C'est déjà une bonne démarche de s'interroger car celui qui ne s'interroge pas ne peut pas chercher les réponses concomitantes aux questions. 

 

Les réponses sont à rechercher à plusieurs niveaux : 
1)- Comment se constitue une nation unie et solidaire ? 
2)- Quels sont les facteurs psychologiques  (intériorité) et environnementaux (extériorité) qui conduisent un peuple à prendre conscience (ne pas négliger cette étape) et à défendre ses droits ?

 

Les deux registres sont liés. Je m'explique : si une nation n'existe pas mais qu'il existe juste un ersatz de "république" extraverti, la deuxième question ne se pose même pas. En effet, l'addition de plusieurs ethnies pour servir une ou des puissances étrangères ne fait pas une nation. Je pense même que le Congo n'est pas l'addition de plusieurs ethnies mais la SUPERPOSITION de plusieurs ethnies, chaque ethnie cherchant à dominer sur les autres.

 

On ne peut pas envisager la deuxième question sans avoir résolu les problèmes posés par la première.

 

Si d'aventure, la question 1 n'était plus un problème, se poserait celui de la conscience de ses droits. Contrairement à ce que l'on pense, nous le voyons chez nous, ce n'est pas aussi facile de prendre conscience de ses droits. En effet, une nation est une donnée impersonnelle, abstraite et qu'un tout au niveau humain ne peut pas s'administrer au niveau du tout : même la cellule s'administre au niveau de l'ADN avec l'ARN comme exécutant fidèle du plan de bonne gestion de l'ensemble - en toute solidarité car l'organisme humain est un tout intégré. Les sociétés humaines doivent s'aliéner pour se gouverner et là commencent nos problèmes : ceux qui atteignent le niveau de l'administration du TOUT SOCIÉTAL ont tendance à réduire les droits des autres quand ils ne les nient pas totalement. 

 

Les droits qu'une société concède sont d'abord MENTAUX, ABSTRAITS au départ. En effet, ce sont d'abord des mots, des concepts qu'il faut traduire dans la réalité, dans les faits, dans la résolution des problèmes de tous les jours. 

 

On n'a pas son bon droit dans la poche comme une pièce de cent francs CFA ou dans l'assiette comme un morceau de ngoulou mou mako pour le défendre contre les voleurs ! Le droit est un élément de nature psychologique avant tout. Il faut une éducation pour qu'une telle idée germe dans le cerveau et qu'on ait envie de la défendre comme les nôtres défendent les idées religieuses que les pasteurs des églises de sommeil et de mensonge fourrent chaque dimanche dans le cerveau des nôtres. Sans cette étape d'intériorisation, les nôtres ne peuvent pas se battre pour changer les données extérieures ! Voilà ce que j'en pense !

 

Voici l'indicateur principal qui nous renseignera sur le niveau de la question 1 : TANT QUE L'ETHNIE SERA AU-DESSUS DE LA NATION ET QUE NOUS AURONS UN NON ETAT PARCE QUE JUSTE UNE ETHNIE-ETAT, C'EST QU'IL NOUS FAUDRA D'ABORD RÉSOUDRE CE POINT.

 

Néanmoins, on peut aussi résoudre la question 1 en commençant par la résolution de la question 2 : il faut introduire une sorte d'éducation de la conscience du droit et de la nécessité de le défendre depuis l'enfance jusqu'à l'université et même en faire une question d'éducation de l'enfant ! On doit armer les nôtres du droit, du devoir de défendre la liberté dès la tendre enfance. Nous avions un déficit dans le subconscient quand les étrangers vinrent chez nous : NOUS N'AVIONS AUCUNE EXPÉRIENCE DE LA VIOLENCE DE L'HISTOIRE ET DE LA DICTATURE DES SOUVERAINS CAR LES NTOTILA DE MBANZA KONGO ÉTAIENT DES SAGES. Dans un tel environnement, on ne pose pas les questions du droit, de la liberté, de l'égalité. On n'est donc pas enclin à prendre une posture défensive. Ce terreau a facilité la conquête de nos ancêtres. Ils ont fait confiance aux étrangers comme ils faisaient confiance au Ntotila.

 

Pour résoudre nos faiblesses, il faut posséder le pouvoir politique ou surfer sur le pouvoir religieux ou sur le pouvoir culturo-éducatif. Le travail est ardu. Les moissonneurs manquent par ailleurs. Si toi et moi n'avions pas pris des risques pour conscientiser nos compatriotes, le peu d'éveil auquel nous assistons n'existerait même pas !

 

Je n'écris plus beaucoup car désormais, il y a beaucoup à lire. Cependant, il faille encore transformer le démocrate émotionnel en démocrate politique. Là aussi, il y a du boulot. Tu es plus jeune que moi. J'ai beaucoup donné. Je vous laisse le soin de terminer le travail.

 

MBUTA NE NKOSSI ZA MAKANDA,
LION DE MAKANDA,
MWAN' MINDZUMB'

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10 octobre 2020 6 10 /10 /octobre /2020 20:42

 

Toutes les nations de la terre investissent sur leur jeunesse car la jeunesse, c'est l'avenir du pays. C'est la relève de ceux qui décident du sort des nations, la jeunesse. Il incombe aux hommes politiques de former leur jeunesse. Pour cela, rien de mieux que les études ou les formations. Quand un pays comme le Congo n'a pas pris la peine de bâtir des écoles d'ingénieurs, d'architecture, quand même la qualité de notre université laisse à désirer, notre pays se voit obligé de former des étudiants à l'étranger. C'est une grande responsabilité d'enlever des enfants à leurs familles et de les envoyer à l'étranger - parfois dans des pays où il est si dur de survivre sans moyens pécuniaires. Notre État doit prendre ses responsabilités et soutenir nos jeunes jusqu'à la fin des études ou des formations de nos jeunes. C'est pour cela que des contrats bilatéraux sont signés entre États pour garantir que les choses se passent bien. Hélas, nous observons que notre pays le Congo a du mal à honorer sa part des contrats. Former sa jeunesse pour garantir un bel avenir au pays a un coût. LE CONGO DOIT EN PAYER LE PRIX ! Autrement, comment le Congo peut-il devenir un pays émergent d'ici à 2025 ?

 

Des étudiants congolais envoyés à l'étranger par notre pays sont en perdition partout. C'est un déshonneur national. Le message de 216 étudiants congolais au Maroc m'a ému. J'ai donc décidé d'interpeller le chef de l'État de notre pays.

 

Monsieur Denis Sassou Nguesso, vous avez signé des contrats bilatéraux avec des pays tiers pour que nos étudiants se retrouvent au Maroc, à Cuba, en Russie, au Togo, etc. Vous avez signé sur l'honneur fournir à nos étudiants de quoi leur permettre de mener leurs études jusqu'au bout. NOTRE ÉTAT S'EST ENGAGÉ POUR CELA. IL Y VA DE SA DIGNITÉ ET DE LA VÔTRE. Pour le bien du Congo car la jeunesse, c'est l'avenir du pays.

 

Comment expliquez-vous qu'on mette à la porte nos étudiants au Maroc, entre autres ? C'est certainement au ministre de l'enseignement supérieur, monsieur Itoua, de répondre à cette question. Un budget a dû être voté pour nos étudiants. Et ce qui est budgétisé est mis à côté. A lui de répondre à cette question : où est passé le pognon qui doit permettre de mener les études et formations de nos jeunes jusqu'au bout ? Il doit s'expliquer devant la nation. Il y va de sa responsabilité. 

 

Monsieur Denis Sassou Nguesso, comment expliquez-vous qu'il vous est plus facile d'investir un milliard de francs CFA soit 150 millions d'euros en Chine pour reconstruire une école primaire que de financer les études de vos propres étudiants ? Est-ce parce que vous ne vous sentez pas assez Congolais, pas assez proche des Congolais ?

 

Dans l'affaire de nos étudiants qui sont rudoyés en Chine, qui vont être jetés à la rue au Maroc, les chefs d'État de ces pays ne peuvent que vous sous-estimer, monsieur Denis Sassou Nguesso car ils se disent que votre parole, vos engagements ne valent rien. Je ne doute pas que vous ayez le sens de l'honneur : j'en ai personnellement la preuve que vous en êtes capable. Je peux comprendre que la situation économique du pays ne soit pas au beau fixe - surtout que le coronavirus déstabilise l'économie mondiale mais, il y a un mais, comment expliquez-vous que vous parvenez facilement à mobiliser de l'argent pour des projets farfelus et que vous vous désintéressez de l'avenir du Congo ? Est-ce parce que juste votre avenir et celui des Mbochis vous importent ? Et Dieu sait que les jeunes Mbochis sont les plus nombreux parmi ces étudiants...

 

Monsieur Denis Sassou Nguesso, nos jeunes compatriotes ne seront pas reçus par l'ambassadeur du Congo au Maroc quand ils seront chassés des campus marocains. A l'heure de la Covid-19, vous ne pouvez pas laisser traîner deux cent seize jeunes Congolais dans les rues du Maroc. L'hiver et le froid arrivent. Cela constituerait de votre part un CRIME. Il ne vous reste que deux possibilités : soit vous payez leur dû aux universités maricaines, soit vous les rapatriez au pays. Choisir une autre option ferait de vous un monstre aux yeux des Congolais et de la communauté internationale. Nous avons la faiblesse de croire qu'au-dedans de vous, il reste encore un peu de nature humaine que la monstruosité qui caractérise les dictateurs aura laissée. Nous faisons le pari que vous réveillerez cette petite partie encore humaine de votre très haute personnalité...

 

MBUTA NE NKOSSI ZA MAKANDA,
LION DE MAKANDA,
MWAN' MINDZUMB'

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2 octobre 2020 5 02 /10 /octobre /2020 10:53

Nous déplorons l'assassinat de feue Merveille BAZONZILA par des miliciens kulunas mbochis en tenue de gendarmes à Nkayi pour non port de cache-nez pour ne pas dire masque. C'est même un double crime crapuleux puisque la défunte était enceinte de trois mois.

 

Attendez, vous me direz : "LDM, comment pouvez-vous être sûr que les assassins de feue Merveille Bazonzila et de son enfant dans son ventre étaient Mbochis ?" Je vous répondrai que les seuls qui bénéficient de l'impunité absolue LÉGITIME au Congo sont les Mbochis. Vous verrez la preuve de ce que je vous dis en ce que personne ne sera poursuivi dans cette affaire. D'ailleurs, la presse officielle avec Téléfoufou comme antenne principale n'en parle pas. Pourquoi ? Parce que Denis Sassou Nguesso l'a interdit. Pour preuve supplémentaire, madame Lydia MIKOLO, ministre de la femme soumise et de la séduction n'ose en dire un mot ! Ça se passe à Nkayi, chez elle, la terre qui constitue son ADN mais elle reste motus et bouche cousue pour ne pas risquer ses deux ministères. Merveille Bazonzila pourrait même être membre de sa famille que cela ne changerait rien : elle ne l'ouvrira pas. Même pas pour mentir. Certainement trop occupée à ridiculiser le Congo avec l'installation de son nouveau directeur général du CHTue, un nouveau Canadien venu s'enrichir sur le dos de la maladie et de la mort de nos compatriotes avant de se barrer comme l'autre après avoir détourné l'argent du Congo. Il va certainement aussi constater que le régime trafique des organes humains et s'adonne à des pratiques sataniques sur les cadavres.

 

23 ans, ce n'est pas un âge pour mourir. Certainement pas de la main d'un drogué kuluna en tenue de gendarme. Merveille Bazonzila ne connaîtra pas la joie d'être mère, le bonheur d'allaiter son enfant. Cette petite commerçante de rue ne s'attendait pas à mourir le 29 septembre 2020.

 

IL FAUT QUE LES CRIMES GRATUITS S'ARRÊTENT DANS NOTRE PAYS. QUE DENIS SASSOU NGUESSO DONNE DU TRAVAIL AUX KULUNAS MBOCHIS DÉSŒUVRÉS, ON LE SUBIT CAR IL A LE POUVOIR MAIS QU'IL LEUR INCITE À TUER DES SUDISTES DE SANG FROID, C'EST UNE PROGRAMMATION DE GÉNOCIDE.

 

Dans leur cadre du niveau du système de santé totalement chaotique du Congo, nul besoin d'un étranger pour ne rien faire ! En matière d'échec, il n'est pas nécessaire d'ajouter le mépris de ses propres concitoyens en leur préférant des Blancs et comme par hasard toujours CANADIENS - comme si les Canadiens avaient plus de mérite que les Français ou les Suisses !

 

PERSONNE NE PEUT RÉUSSIR LÀ OÙ DENIS SASSOU NGUESSO VEUT QUE TOUS ÉCHOUENT. Là où un Canadien a échoué, un autre Canadien échouera. On peut être sûr que le meilleur entraîneur à la tête de la pire des équipes de football jouant sur le pire des terrains ne peut que perdre. Au Congo, il est très facile de devenir prophète.

 

On aurait pensé que madame Lydia MIKOLO, ministre de la femme soumise et silencieuse, notre gourgandine nationale, aurait pu l'ouvrir  au moins ce coup-ci pour dire que la vérification du port du masque par une personne X n'est pas prétexte à déchaîner le penchant CRIMINEL et ASSASSIN du Mbochi lambda déguisé en gendarme !

 

En vérité, la commerçante ambulante enceinte de son enfant a été assassinée pour ne pas avoir donné de l'argent aux kulunas mbochis déguisés en gendarmes qui ne sont pas à Nkayi pour garantir l'ordre mais pour semer le désordre et le chaos, terroriser, arnaquer les populations et tuer pour leur bon plaisir...

 

A présent que les habitants de Nkayi ont décidé de ne plus porter le masque, que va faire notre ministre de la santé pour ramener les populations à le porter à nouveau ? Ah, j'oubliais ! Qui est au Congo notre ministre de la santé ? Encore madame la ministre de la femme soumise et silencieuse qui compte sur ses dessous et son string léopard pour rester au gouvernement : LYDIA MIKOLO, L'INAMOVIBLE ! On osait espérer que ce beau visage rond à la jeunesse éternelle aurait pu se montrer meilleure ministre de la femme que ministre de la santé. Eh bien, elle est doublement incompétente ! On voit bien qu'elle n'est pas au gouvernement pour ses compétences mais juste pour le travail formidable de ses lèvres pulpeuses...

 

Ce crime, ce meurtre, un de plus mais certainement pas le dernier, doit faire l'objet de poursuites judiciaires. Nous exhortons les parents de feue Merveille Bazonzila à porter plainte. Tant que cette affaire ne sera pas jugée, nous demandons aux habitants de Nkayi de ne plus tolérer un seul gendarme kuluna dans leur ville. La mort de feue Merveille Bazonzila et de son enfant ne doit pas rester impunie.

 

Par ailleurs, nous demandons au régime dictatorial, à l'ethnie-Etat de notre pays, de localiser la police et la gendarmerie : nous exigeons que le métier de policier et de gendarme soit exercé par les enfants du coin. On imagine mal des gendarmes bembés connaissant Merveille Bazonzila et sa famille la bastonner à mort comme l'ont fait les CRIMINELS KULUNAS MBOCHIS en tenue de gendarmes. Il est temps que la barbarie mbochie s'arrête dans notre pays.

 

MBUTA NE NKOSSI ZA MAKANDA,

LION DE MAKANDA,

MWAN' MINDZUMB'

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30 septembre 2020 3 30 /09 /septembre /2020 23:41
Voici l'usine de fabrication de panneaux solaires d'Oyo ! Une usine imaginaire !

 

2011 a vu le départ d'un projet farfelu du genre "vouloir construire sa propre voiture pour paraître" alors qu'on peut juste choisir un modèle sur ce qui existe comme voiture dans le monde. C'est le cas du COPASOL (la Congolaise des Panneaux Solaires), un des nombreux éléphants blancs à l'actif de l'homme d'Oyo, le bâtisseur infatigable des œuvres jamais pérennes.

 

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Normal que la formation soit gratuite puisque l'usine est fictive !

 

Installée à Oyo, la COPASOL est, dans le programme de diversification de l'industrie pour "l'immergence en 2025", une usine qui a la prétention de fabriquer des panneaux solaires made in Congo, comme si c'était une nécessité dans un monde où le prix du watt solaire est descendu au Congo de 6875 FCFA en 2005 à 334 F à ce jour. Société au capital de 1.830.000.000F, détenu à 65% (Congo) et 35% (ZTE),  avec une production estimée à 50 Mw/an, soit 220 panneaux/h (sic), la COPASOL compte 21 agents dont 18 techniciens formés au pays de l'empire du milieu.
 
Août 2018, le ministre Gilbert Ondongo qui a visité les industries de la partie septentrionale s'était plaint du fait que l'usine qui n'a produit aucun panneau, est envahi par des hautes herbes et que le personnel est au chômage...
 
Après son dernier projet foireux d'avant campagne électorale en 2014 où on nous a bercés par le forage de 4.000 puits, projet dénommé "eau pour tous", dont moins de la moitié a vu la réalisation surfacturée, et qui 4 ans plus tard sont tous à l'abandon, nous voilà encore embarqués dans une formation dite gratuite en énergie solaire pour 12.000 jeunes, soit 1.000 par département sous le patronage de son excellentissime Denis Sassou, de septembre 2020 à mars 2021.
 
Si l'usine COPASOL est incapable de produire un seul panneau solaire, à quoi va servir cette formation bidon ?
 
 
A l'heure de l'internet, toute personne sachant un tant soit peu lire est à même de se former par lui-même dans ce domaine et tant d'autres sans publicité d'État.
 
Pourquoi ne s'intéresse-t-on à l'auto-suffisance alimentaire du peuple ? Pourquoi les projets du bâtisseur infatigable ne durent que le temps de l'inauguration pour faner comme une fleur au soleil ?
 
Voilà un pays où il est très dangereux de voler un œuf qu'un bœuf ! Un pays où un chef d'État se plaint dans un discours à la nation, du vandalisme des panneaux solaires des forages d'eau qui ne fonctionnent plus, mais se tait sur le pillage des milliards du trésor public par son clan et son parti politique. Ce qui par ailleurs se comprend aisément : UN ELEPHANT, CA PILLE ENORMEMANT !
 
COMBIEN D'ÉLÉPHANTS BLANCS ALLONS-NOUS DÉNOMBRER A LA FIN DE CE REGNE ?
 
Davy Albano
 
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30 septembre 2020 3 30 /09 /septembre /2020 23:33

Je pense qu'il est aisé de comprendre qu'un sociologue traditionaliste comme moi ne peut être contre la tribu ou l'ethnie. Ce sont des identités ataviques contenant des richesses morales et pratiques que l'on doit exploiter. Le problème est le suivant : peut-on fondre toutes les ethnies en une nation AU-DESSUS de l'ethnie ? La réponse est oui. Avec quelle recette ? La justice sociale, l'égalité des chances, la distribution des rôles selon les vertus et les compétences.

 

J'ai même élaboré la théorie de la tradi-république. En effet, nous ne pouvons plus renoncer à la modernité pour vivre totalement comme nos ancêtres. C'est une évidence. Nous n'avons pas non plus renoncé totalement à nos identités traditionnelles. Il faut donc réussir à associer les deux aspirations dans la politique. J'ai énoncé les éléments d'une démocratie à la dimension de nos personnalités actuelles hybrides pour réussir le développement. Le texte de cette théorie se trouve dans un article portant le titre de tradi-république. Je me définis comme un tradi-républicain, un courant de pensée qui n'est pas encore bien connu.

 

La rencontre entre la modernité et nos traditions n'a pas été harmonieuse. Il fallait au préalable la penser. Les pères de l'indépendance n'avaient pas le temps : ils étaient pressés de remplacer le colon pour vivre comme lui. La question ethno-tribale a été oubliée. Elle nous rappelle à son existence jusqu'aujourd'hui. Or, nous nous refusons à reconnaître le problème du tribalisme. Ignoré, il ne peut être résolu. Non résolu, il divise le pays et fait de la politique juste LE POUVOIR D'UNE ETHNO-TRIBU SUR D'AUTRES. Dès que l'on soulève la question, nombreux croient que l'on soulève la hache pour tuer la tribu. Comment réussirons-nous à faire ce que le Mundélé n'a pas réussi ? Comment ? Il faut au contraire donner une dimension politique à l'erhno-tribu pour réussir la république. J'ai déjà détaillé la recette de la cuisine politique qui peut faire de l'ethnie, de l'État, des traditions et de la modernité un plat consistant.

 

MBUTA NE NKOSSI ZA MAKANDA,
LION DE MAKANDA,
MWAN' MINDZUMB'

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24 septembre 2020 4 24 /09 /septembre /2020 12:43

Le développement d'un pays est d'abord l'affaire d'une hauteur morale, une affaire de dirigeants libres et non soumis aux puissances étrangères. Comment peut-on développer un pays si on ne l'aime pas ? Comment peut-on défendre les intérêts d'un pays si ceux de la franc-maçonnerie passent avant ceux-ci ? Comment peut-on développer un pays quand on ne se voit pas en vrai chef d'État mais juste en chef de tribu ? Comment peut-on développer un pays auquel personne ne croit ?

 

Nous avons déjà dit que même si juridiquement, pour des raisons de définition des zones d'influence, le Congo existe pour la France et les grandes puissances, pour le soi-disant peuple congolais, il n'existe pas encore. Pourquoi ? Parce qu'il n'y a pas eu une véritable fusion spirituelle de toutes les ethnies de notre pays pour constituer une VRAIE nation. Les ethnies ont été regroupées pour servir les intérêts coloniaux. C'est toujours le cas aujourd'hui. On est plus Mbochi, Lari, Vili, Téké, Bembé, etc, que Congolais. Tant que l'identité ethno-tribale passera avant l'identité nationale, il n'y aura pas de nation congolaise. On vivra toujours, QUEL QUE SOIT LE CHEF D'ÉTAT, sous l'ethnodiscrimination d'une Ethnie-Etat soumise à des puissances étrangères. Les Français n'ont pas rassemblé les ethnies dans les grandes villes pour créer une nation. Au contraire, ils ont créé des divisions au travers de l'état civil.

 

Je vous explique la situation. Avant l'arrivée des Occidentaux, quel est l'élément principal qui déterminait notre identité ? Réponse : le CLAN. OR, LE CLAN ÉTAIT TRANS-ETHNIQUE ET NON ETHNIQUE. Ainsi exprimé, mon propos sociologique n'est pas très clair. Patience, vous allez comprendre. Le clan est l'attribut du mussi ou du mushi, c'est-à-dire, la référence à l'ancêtre commun(e) RÉELLE et non imaginaire comme le prétendent les ethnologues occidentaux. Vous pouvez être d'ethnie Vili, Téké, Punu, Tsangui, Nzebi, Bembé, Mbochi, Kugni, Tala et être mussi MAKANDA. Le clan ne dépend pas de votre ethnie qui se définit d'abord par une langue parlée, un espace et une culture. Le clan est aussi transpatial car on retrouve des Makanda au Gabon et dans d'autres pays. Quand les Occidentaux créent l'identité ethnique, l'ethnie seule devient l'élément d'identification et d'agrégation. On est d'abord Vili, Mbochi, Lari, Téké, Yaka. Même si deux personnes sont du même clan, ils deviennent distants du point de vue ethnique. On a surclassé l'identité clanique. Les MAKANDA maris peuvent très bien massacrer les Makanda Bembés et vice-versa. C'est cette identité créée par les Français qui sera à l'origine des guerres tribales et qui sape l'unité du Congo jusqu'à nos jours. En exemple, Denis Sassou Nguesso se comporte plus en Mbochi qu'en Congolais. Il déteste particulièrement l'ethnie Lari en causant de façon récurrente des troubles dans le Pool, la zone géographique de l'ethnie Lari. 

 

La politique veut résoudre les problèmes extérieurs de l'homme : l'eau, l'électricité, l'énergie, les routes, la santé, l'alimentation, l'habitat, le travail, l'éducation, la vestimentation, la sécurité et la défense, le commerce et l'échange, etc. Hélas, comme c'est de l'intérieur de l'homme, de l'entité morale intérieure que viennent les solutions qui améliorent les conditions extérieures de notre environnement collectif, il faut d'abord polir l'homme intérieur afin de lui donner une haute conscience avant d'espérer aboutir au bien-être de tous, au VRAI développement. Cela ne peut se faire qu'au travers de la culture et de la religion. 

 

Comment produire un homme intègre, désintéressé, impartial, juste, altruiste, humaniste, à haute dignité, soucieux du bien-être de tous ? Et comment porter cet oiseau rare au pouvoir, déjà qu'il n'est pas facile à déceler ? Là, il y a un sérieux problème : chez nous tout est extraverti, c'est-à-dire, tourné vers l'étranger, culture, religion, éducation, économie, même la politique. Bref, le développement avec le type de Congolais actuel n'est  pas possible !

 

MBUTA NE NKOSSI ZA MAKANDA,

LION DE MAKANDA,

MWAN' MINDZUMB'

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22 septembre 2020 2 22 /09 /septembre /2020 12:27

On pourrait croire qu'un homme imbu de sa personne et à l'ego démesuré qui carbure à la gloire comme Denis Sassou Nguesso se préoccupe de ce qu'il laissera comme souvenir impérissable à son peuple - et nous pensons à des souvenirs positifs et non aux violences, aux tortures, aux assassinats, à l'arbitraire qu'on s'efforcera vite d'oublier. Il se pourrait que l'on se souvienne plus du monstre de l'Alima à l'étranger qu'au Congo où les rues éponymes pourraient être débaptisées. Le Bénin se souviendra de lui à cause du marché d'Atankpo, les Chinois de l'école luxueuse Denis Sassou Nguesso si un tremblement de terre ne la détruit pas encore. Vous me direz qu'il laissera des œuvres architecturales dans notre pays. Je vous répondrai que toutes les chinoiseries architecturales au rabais que son neveu Jean Jacques Bouya a bricolées sont déjà emportées par les éléments du vivant même de l'enfant terrible d'Edou - alors même que certains édifices coloniaux tiennent encore la route.

 

Il est à peu près certain que Denis Sassou Nguesso sortira de la mémoire collective comme Mobutu ou Bokassa. On peut concéder qu'à Oyo, on se souviendra de lui. Pas si sûr ! Attendez que le barrage d'Imboulou rende l'âme et replonge Oyo dans le noir, que les industries locales qu'il a installées avec l'argent public volé déposent le bilan. Il est presque prévisible qu'à sa mort, les populations d'Oyo se partageront son cheptel et qu'il n'en restera plus rien. Aux sceptiques, je dirai : que sont devenues les initiatives industrielles de Mobutu à Ngadolite ? Même l'aéroport est à nouveau le repère des lézards et des rats. Nous espérons que l'aéroport d'Ollombo ne subira pas le même sort. La question "que restera-t-il du règne de Sassou ?" est légitime. Même la route Sembé - Souanké qui a à peine cinq ans se délabre sous le coup de boutoir des éléments. Encore quelques pluies de plus et l'université Marien Ngouabi finira dans le fleuve Congo !

 

Nous avons appris que Denis Sassou Nguesso songeait à l'électrification générale du Congo. C'est peut-être une blague mais ce projet, s'il le menait à bien, pourrait être celui qui laisserait une trace de lui dans la mémoire collective des Congolais. Hélas, je sais qu'il ne le fera pas car s'il l'avait vraiment voulu, au lieu de gaspiller 300 millions de dollars empruntés, il aurait pu les investir sur le barrage des gorges de Sounda ! Cependant, je crois que le tribalisme est passé par là, les Mbochis ayant dit : "Tant que nous serons au pouvoir, les Bakongos n'auront jamais le barrage de Sounda !" Comme si ce barrage allait juste alimenter le sud du pays où vivent également les Mbochis, les Nordistes et tous Congolais de toutes ethnies confondues ! S'il était réalisé, non seulement le Congo deviendrait énergétiquement autonome mais qu'il pourrait même exporter de l'électricité au lieu d'en acheter chez nos voisins d'en face. J'ai une fois discuté avec un très proche parent du ndzokousaure de l'Alima à qui j'ai dit ceci :

 

"S'il (Sassou) avait juste électrifié tout le pays pendant son long règne..." Sa réponse ne s'est pas fait attendre en lingala, mot pour mot :

 

- "MBE TO KOMA MOSSIKA !"

 

Cet homme avait compris que l'électrification générale du pays aurait boosté l'économie du pays en rendant tous les projets POSSIBLES ! En effet, l'électricité est nécessaire pour industrialiser un pays. C'est, à mon humble avis, la première condition du développement avec les routes et tous les supports logistiques. Chacun peut aisément admettre qu'en 33 ans au pouvoir le chef de l'État qui a le plus long règne dans notre pays a largement eu le temps de mener un tel projet à terme. Hélas, il ne l'a pas fait parce qu'il ne l'a pas voulu. Il a juste pensé à construire le barrage d'Imboulou pour électrifier Oyo et ses environs pour soutenir ses propres projets industriels. Il est temps que Denis Sassou Nguesso agisse comme un chef d'État et non juste comme un chef d'ethnie. Le barrage de Sounda a tous les atouts pour résoudre la crise énergétique au Congo en apportant l'électricité à tous les Congolais. Voilà un projet qui glorifierait vraiment Sassou pour une fois. Quand on aime la gloire, on ne se contente pas de quelques éléphants blancs ou de statues géantes à l'effigie de sa défunte fille : ON RÉALISE DES PROJETS GLORIEUX PROFITABLES A TOUS SES CONCITOYENS ! Denis Sassou Nguesso n'est même pas capable de doter tous les élèves du Congo de tables-bancs pour s'asseoir - préférant laisser le bois du Congo aller à l'étranger pour permettre aux petits Occidentaux ou aux petits Chinois de s'asseoir.

 

Un homme d'État voit grand, global, durable. Autrement, c'est un simple gangster d'État. Nous pensons que Denis Sassou Nguesso a atteint le bel âge où on s'élève au-dessus des petites idées tribales que ses proches lui soufflent à l'oreille. Il est de doter les Congolais d'un vrai barrage hydroélectrique qui ouvrirait la voie à l'industrialisation de tout le pays ouvrant ipso facto de façon très large les portes du développement.

 

MBUTA NE NKOSSI ZA MAKANDA,

LION DE MAKANDA,

MWAN' MINDZUMB'

 

 

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19 septembre 2020 6 19 /09 /septembre /2020 18:44

Nous avons tous appris le décès de feue Germaine Djembo, la sœur d'Antoinette Sassou Nguesso, l'épouse du chef de l'État du Congo, monsieur Denis Sassou Nguesso, à Paris, ce 31 août 2020. Lors des obsèques, Kinshasa est devenue la capitale des deux Congo au regard du parterre de personnalités politiques des deux pays qui se sont retrouvées dans la capitale de la RDC pour des obsèques.

Nous présentons nos sincères condoléances à madame Antoinette Sassou Nguesso, née Antoinette Loemba Tchibota et à toute sa famille, pour le décès de sa sœur cadette feue Germaine Djembo, née de sa mère Marie-Louise Djembo. Nous apportons cette précision pour signifier qu'il s'agit bien de deux sœurs utérines nées de feue Marie-Louise Djembo. On remarquera que la de cujus portait le nom de sa mère,  DJEMBO, avant que Marie-Louise Djembo ne devienne madame François Poto Gallo,  pour ensuite être connue communément sous l'appellation de MAMAN POTO.

 

Nous avons vérifié les informations que nous rapportons ici concernant les dates de naissance des deux sœurs. Wikipédia affiche que madame Antoinette Sassou Nguesso née Loemba Tchibota est née le 7 mai 1945 et à 75 ans à ce jour. Wikipédia ne peut pas publier des informations erronées. Nous fournissons les preuves de ce que nous avançons dans cet article.

 

Les affiches sur feue madame Germaine Djembo indiquent qu'elle est née le 1er août 1945. Elle est morte le 31 août 2020 à Paris. Notez juste que les deux sœurs, filles de Marie-Louise Djembo, sont nées toutes les deux la même année, en 1945 - sans être des jumelles. A TROIS MOIS D'INTERVALLE ! C'est ce détail qui nous a frappé. C'est factuel : Antoinette est née le 7 mai et sa cadette le 1er août. Il n'y a même pas neuf mois d'intervalle entre les deux sœurs. Bizarre, non ? Même si feue Marie-Louise Djembo était tombée tout de suite enceinte après son accouchement - ce qui est au demeurant impossible, il faut compter NEUF MOIS pour porter une grossesse. La biologie exclut au moins trois ou quatre mois pendant l'allaitement la possibilité qu'une femme retombe enceinte, ce qui lui permet d'allaiter tranquillement son bébé sans risque de porter une nouvelle grossesse.

 

QUESTION : COMMENT SE FAIT-IL QU'ENTRE ANTOINETTE SASSOU NGUESSO ET SA SŒUR FEUE GERMAINE DJEMBO, IL N'Y AIT QUE 3 PETITS MOIS DE DIFFÉRENCE ? Nous rédigeons cet article pour que vous nous aidiez à tirer cette affaire au clair. Encore une fois, nous n'inventons rien. Tout est dans le domaine public. Et soulever cet anachronisme est juste une question de bon sens. Monsieur Denis Sassou Nguesso est né en 1943. Il serait donc l'aîné de son épouse de deux ans.

 

Les chiffres ne mentent pas. Seul l'homme peut les faire mentir volontairement ou en se trompant dans ses calculs. Dans le cas d'espèce, il n'y a pas de calcul mais juste des déclarations d'âge à l'état civil. Antoinette Sassou Nguesso est née à Brazzaville selon Wikipédia. L'une des mairies de cette ville peut apporter des précisions. Nous ignorons où est née feue Germaine Djembo.

 

C'EST UNE CERTITUDE QU'UNE AU MOINS DES DEUX DATES DE NAISSANCE DES DEUX SŒURS EST FAUSSE...  Nous ne n risquerons pas à faire des hypothèses - même si cela saute aux yeux qu'il y a un problème quelque part. Que chacun se fasse son hypothèse de ses données PUBLIQUES.  Nous gardons la nôtre...

 

MBUTA NE NKOSSI ZA MAKANDA,

LION DE MAKANDA,

MWAN' MINDZUMB'

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1 septembre 2020 2 01 /09 /septembre /2020 09:17

Au buffet donné par la famille de feu Lissouba PASCAL LE GRAND que je nomme ainsi en allusion à Tsaty Mabiala Pascal le petit, un traître court sur pattes, que j'ai vu pour la première fois, j'ai eu confirmation de la bouche de Pascal (Junior), le fils de l'illustre disparu, que le natif de Tsinguidi était bien du clan Makanda comme je l'avais appris. Nous avons pu échanger quelques phrases :

"Je suis venu accompagner le membre de mon clan jusqu'à sa dernière demeure, lui ai-je dit.

- Vous êtes du clan Makanda ? M'a-t-il demandé.

- Oui. Je suis le Lion De Makanda..."

 

J'ai expliqué à Pascal (Junior) que son père et moi avions la même femme ancêtre et que le professeur Lissouba PASCAL LE GRAND avait strictement le même ADN mitochondrial que moi. C'est à ce titre que j'estimais déjà faire partie de l'intimité familiale (clanique) - très importante dans nos traditions ataviques.

 

Il m'a présenté une dame qui l'aidait à perfectionner son nzebi et a même pu prononcer une phrase en nzebi que j'ai bien comprise, le nzebi étant très proche du tsangui, la langue de ma mère. En substance, il me dit en nzebi qu'il avait mangé du poisson (tsui)...

 

Pour revenir sur le film de l'événement, nous avons quitté Lyon à 8 heures 30 en voiture pour arriver à 12 heures 45 à Perpignan, ce qui nous a laissé le temps de visiter les parages de la cathédrale Saint Jean de Perpignan. Je signalerai au passage l'accueil fait à Pascal le petit quand il est arrivé à l'église. Faye Monama n'a pas hésité à le traiter de tous les noms. Pas qu'à l'entrée, d'ailleurs. Je n'ai pas totalement terminé l'office religieux car j'étouffais sous mon masque - ce qui m'a obligé d'aller prendre de l'air.

 

 ll faut remercier Alliot-Marie, le maire de Perpignan, qui a tenu à donner un caractère solennel à l'événement en mettant à la disposition de la famille des policiers municipaux pour encadrer les obsèques. Tout s'est bien passé si on écarte le fait que Tsaty Mabiala et l'ambassadeur Adolphe Adada se sont fait chahuter par les jeunes. Comme la famille avait annoncé un enterrement dans l'intimité familiale, nous n'avions pas l'adresse du cimetière où allait être inhumé le professeur président Lissouba PASCAL LE GRAND.  Le maire de Perpignan a fait escorter par des motards de la police la dépouille de Lissouba PASCAL LE GRAND Jusqu'à sa dernière demeure.

 

Notre stratégie était simple : se positionner de façon à suivre le corbillard jusqu'au cimetière. C'est ainsi que nous avons pu pénétrer dans le cimetière Sud de Perpignan situé à une bonne distance de la ville, de sorte que son accès à pieds est difficile sans voiture. Nombreux n'ont donc pas assisté à la mise en terre du cercueil en zinc qui contenait la dépouille de feu le professeur, le seul président élu du Congo, Lissouba PASCAL LE GRAND. Hélas, il ne m'est pas possible de vous fournir la moindre image de son enterrement, la famille ayant expressément interdit de filmer la cérémonie.

 

A la fin de l'enterrement, j'ai pu présenter personnellement mes condoléances à l'honorable Jeremy Lissouba à qui j'ai exposé la nécessité d'un congrès de l'UPADS car il fallait renouveler ses instances, le parti ayant perdu son président - d'autant que Tsaty Mabiala Pascal le petit, si on n'y prêtait attention, pourrait provoquer la mort de ce grand parti. Or, il n'est pas si facile de créer un grand parti sans l'aura d'une grande personnalité. Pour preuve, Denis Sassou Nguesso, en dépit de tous ses milliards de dollars, n'a jamais osé créer son propre parti, préférant surfer sur l'aura du président Marien Ngouabi, fondateur du PCT, un parti qu'il maintient en vie à coups de millions de francs CFA.

 

Pascal le petit l'illégitime premier secrétaire de l'UPADS ne peut plus faire l'économie d'un Congrès de ce parti qui doit renouveler ses instances. Aussi, illustre soit-il, un mort ne peut pas rester le président d'un parti. Tsaty Mabiala doit organiser le Congrès du parti aux trois palmiers qu'il repousse sous des faux prétextes. Cette fois-ci, il ne pourra pas trouver des atermoiements. Il ne lui reste plus que le choix de doter l'UPADS d'un nouveau président. Il essayera certainement de se hisser à la présidence du parti en propulsant un de ses sous-fifres au poste de premier secrétaire. C'est lors de ce Congrès décisif qu'il faudra lui barrer le passage si l'on ne veut pas la dislocation de l'UPADS pour ne pas dire sa mort politique et peut-être physique. Ce Congrès a donc une importance capitale : on jouera le destin de l'héritage d'un grand homme, à savoir, le professeur Président Lissouba PASCAL LE GRAND sur la maintenance ou non de Pascal le petit à la tête de l'UPADS ou pas.

 

Il serait dangereux, politiquement criminel de laisser un homme vomi par les militants et sympathisants de l'UPADS, comme Pascal le petit à la tête d'un si grand parti. Tsaty Mabiala, l'imposteur, l'illégitime, le traître qui vote les textes du PCTue à l'assemblée nationale, l'encenseur de Denis Sassou Nguesso, l'homme des crimes de masse, l'homme des masses affamées, le dictateur infatigable, ayant épuisé son mandat, doit partir du sommet des trois palmiers. Le rat palmiste à tête de taupe du PCTue a vécu...

 

MBUTA NE NKOSSI ZA MAKANDA, 

 

LION DE MAKANDA, 

 

MWAN' MINDZUMB'

 

 

 

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