En ce moment, il prépare activement sa sale besogne de fossoyeur national, en sa qualité de traître éternel et pour échapper à la vindicte populaire qu'il pressent, il a déjà préparé une porte de sortie : il a pris la nationalité française et pourra ainsi fuir le navire tranquillement quand il prendra l'eau et il le sait que les choses tourneront au vinaigre. Tout partira peut-être même de cette occasion. Qui sait ? Comme un pyromane qui a déjà pris les habits du pompier, celui qui a avoué son amitié à Sassou qui le lui a rendu en le décorant, a préparé sa porte de sortie : prendre une autre nationalité comme certains dans le gouvernement l'ont fait avant lui pour être sûrs de sortir de la tourbe en cas de bourbier.
Il sait que les Congolais sont au courant de son forfait qui n'est plus qu'un secret de polichinelle. En avocat de sa seule petite personne, maître Martin MBERI a déjà tracé la voie qui lui permettra de prendre les voiles. Nous le savons, vous le savez aussi. La traîtrise a bu ton lait, Congo. Ce sont tes propres fils qui te poignardent dans le dos. Il faudra un jour suivre le précepte biblique en séparant le bon grain de l'ivraie...
Tandis que Denis Sassou Nguesso se construit des bunkers comme son ami Mouammar Kadhafi, lui se protège en prenant la nationalité d'un autre pays. L'homme qui aujourd'hui modifie la Constitution congolaise, Martin MBERI, est devenu un citoyen français. Nos sources sont fiables. C'est donc un double traître qui va asséner le coup fatal au Congo, un homme qui a déjà trahi son propre camp, son propre parti l'UPADS, pour le compte de Sassou lors des événements de 1997. Le Congo est le pays où les traîtres ont bon dos...