18 février 2010
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Un article du Time évoquant la fuite et le blanchiment des capitaux - notamment de l'Afrique vers les Etats-Unis constatée par le patriot Act. De nombreux noms cités, comme Bongo, Obiang une seule photo pour illustrer les concernés : celle de notre Sassou national. C'est ce qui s'apelle devenir un symbole. Dans le mauvais sens comme le diable pour l'enfer. Ils en savent des choses, les frères à Bush mais seuls les intéressent les terroristes. Pour le reste, il ferme les yeux sur l'essorage de l'Afrique. Cinquante ans de rinçage de nos économies par nos propres chefs d'Etat pour l'orgueil d'avoir un compte fourni, ça fait un bail que ça dure. Cleptomane un jour, cleptomane toujours. La France laisse des miettes de richesses au Congo ; Sassou laisse juste un peu de poussière de miettes au peuple.
Les avocats américains aussi voraces que pénaux, aident les chefs d'Etat africains à contourner les lois américaines. Il y a des chasseurs de têtes chez les R.H. comme il va des chasseurs de failles juridiques chez les avocats aux Etats-Unis. De part et d'autre de l'Atlantique, on est prêt à trahir son pays pour de l'argent - même malpropre et sale. C'est que l'argent n'a point d'odeur sinon il sentirait le pourri, le soufre, la mort. Voici ce que l'on peut lire en traduisant une portion du texte in english vers le français :
"Le sous-comité du Sénat américain sur les enquêtes a publié son enquête sur les transferts d'argent des hauts responsables africains aux États-Unis via des failles dans une section du Patriot Act visant à réprimer le financement illégal du terrorisme. Les 330 pages du rapport scrutés dénoncent de hauts responsables politiques, économiques et commerciaux des pays notoirement corrompus comme l'Angola, la Guinée équatoriale, du Gabon et du Nigeria afin de déterminer s'ils ont violé ou tenté de contourner les lois interdisant le blanchiment d'argent. Le rapport a trouvé des preuves que plusieurs responsables puissants (connus comme «personnes politiquement exposées», ou PEP) ont exploité les lacunes juridiques dans le transfert de fonds suspects aux États-Unis, il a également découvert que les banquiers américains, les avocats et les agents immobiliers étaient désireux de faciliter ces transferts. (Voir les 25 personnes qui comptaient en 2009.) "
Pour ceux qui veulent lire l'article :
http://www.time.com/time/world/article/0,8599,1964306,00.html?xid=rss-topstories
Une chose est sûre : si le paradis existe quelque part, il suffirait d'y introduire une pièce de monnaie pour le transformer en enfer. Ils ont intérêt à faire du troc là-haut ! Non, le paradis doit ressembler à un kibboutz, c'est mieux ! Non, en face de l'Eternel, on ne vit que de son adoration. Et puis, zut, pourquoi est-il si silencieux et si indifférent, le créateur ?
Les avocats américains aussi voraces que pénaux, aident les chefs d'Etat africains à contourner les lois américaines. Il y a des chasseurs de têtes chez les R.H. comme il va des chasseurs de failles juridiques chez les avocats aux Etats-Unis. De part et d'autre de l'Atlantique, on est prêt à trahir son pays pour de l'argent - même malpropre et sale. C'est que l'argent n'a point d'odeur sinon il sentirait le pourri, le soufre, la mort. Voici ce que l'on peut lire en traduisant une portion du texte in english vers le français :
"Le sous-comité du Sénat américain sur les enquêtes a publié son enquête sur les transferts d'argent des hauts responsables africains aux États-Unis via des failles dans une section du Patriot Act visant à réprimer le financement illégal du terrorisme. Les 330 pages du rapport scrutés dénoncent de hauts responsables politiques, économiques et commerciaux des pays notoirement corrompus comme l'Angola, la Guinée équatoriale, du Gabon et du Nigeria afin de déterminer s'ils ont violé ou tenté de contourner les lois interdisant le blanchiment d'argent. Le rapport a trouvé des preuves que plusieurs responsables puissants (connus comme «personnes politiquement exposées», ou PEP) ont exploité les lacunes juridiques dans le transfert de fonds suspects aux États-Unis, il a également découvert que les banquiers américains, les avocats et les agents immobiliers étaient désireux de faciliter ces transferts. (Voir les 25 personnes qui comptaient en 2009.) "
Pour ceux qui veulent lire l'article :
http://www.time.com/time/world/article/0,8599,1964306,00.html?xid=rss-topstories
Une chose est sûre : si le paradis existe quelque part, il suffirait d'y introduire une pièce de monnaie pour le transformer en enfer. Ils ont intérêt à faire du troc là-haut ! Non, le paradis doit ressembler à un kibboutz, c'est mieux ! Non, en face de l'Eternel, on ne vit que de son adoration. Et puis, zut, pourquoi est-il si silencieux et si indifférent, le créateur ?