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20 novembre 2018 2 20 /11 /novembre /2018 10:11

Bonjour, LDM !
Votre plaidoyer pour ce que vous pensez être l'une des solutions à essayer pour sortir ce pays de sa situation actuelle, paraît tout à fait défendable. Comme je venais de vous le dire, aller vers le président actuel du Congo pour un dialogue franc et constructif pour ce pays, n'est pas du tout un délit. Dans le rapport de force actuel, on peut aussi bien être accusé de non-assistance à personne en danger, toute personne qui se contenterait de nier l'évidence qu'actuellement il y a un président au Congo, et que les souffrances du peuple lui sont imputables. Alors que faire ? En tant que retraité qui souffre, je dirais que toutes les solutions qui se présentent sont à explorer. 
Oui, il n'y a pas qu'à Paris qu'on entend le bruit des casseroles ; à Brazzaville aussi, devant la poste. Il s'avère que cela n'est plus suffisant pour faire avancer les choses. De même qu'il n'est pas superflu de se poser des questions sur les dérives autoritaires des dirigeants de l'Etat, quand on voit que des anciens militants de la liberté en France et ailleurs en Occident sont devenus les inspirateurs de ces dérives ? Alors, la sagesse commande peut-être de faire acte d'humilité, et de penser que le radicalisme n'est pas toujours opportun dans une situation où le rapport de force a peu de chance de s'inverser, quelle que soit la détermination des acteurs, qui ne sont que des hommes.
Je crois que dans l'état actuel des choses, il est de mise de laisser l'éclosion des solutions, de les expérimenter, puisque l'on ne sait jamais d'avance laquelle est la meilleure.
Merci !

                                                       MWANGOU

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M
Bjour LDM! Il y a, je crois, une question simple que les Noirs d'Afrique aujourd'hui ne se posent pas: Pourquoi, nous avons échoué, là où les colons, souvent pas très cultivés, en tous cas pas très diplômés, avaient pu innover, imposer l'organisation? Pourquoi tant de hauts diplômés universitaires noirs n'ont pas pu faire émerger l'innovation, l'organisation, la performance, dans la société?<br /> Au gouvernement congolais actuel, il y a un certain Mouamba C., premier docteur d'Etat en économie au Congo (au moins parmi les trois premiers, Miokono, Mouamba, Badinga, etc.) premier ministre, puis suivent des cracs au cycle secondaire ayant connu tant de mérites au cycle universitaire; ils sont légion... Des docteurs, des ingénieurs, qui entourent sassou nguesso... Mais pourquoi ça ne marche pas?<br /> Pourquoi Mouamba n'arrive pas à donner une impulsion nouvelle à la dynamique sociale et économique au Congo? Comment peut-il se laisser ranger tout bonnement dans le coffret vieillot de la démagogie improductive avec un Mboulou, un Ndenguet, un Gondo, de piètres professeurs de collège ou instituteurs, lui qui aurait pu s'affirmer dans le milieu universitaire européen? Comment? C'est incompréhensible et intolérable. <br /> Comment même un Nganongo et même un Itoua Bruno, de brillants élèves et qui ont mené brillamment leur cursus universitaires, se retrouvent-ils en train d'applaudir des Nianga Mbouala et autres, qui sont parvenus soit disant au sommet, à force de drames et de scenarii en tous genres, sacrifiant leurs compétences pour constituer la haie d'honneur aux tribulations ethniques? comment.<br /> Ces noms cités le sont à titre d'illustration, pour mieux comprendre le sens de la question de départ; ceux-là étant justement aux commandes. Mais on aurait pu citer d'autres, ceux qui avaient induits le Professeur Pascal Lissouba dans l'erreur. Et justement, comment un Professeur a-t-il pu échouer aussi "brillamment", là où tout le monde avait misé sur ses compétences? Et pourquoi, par lui-même, l'instituteur Massamba-Débat pouvait penser à l'évolution économique, et pourquoi les hauts-diplômés universitaires de l'époque, l'avaient-ils entraîné dans les abysses de la médiocrité en ayant choisi de donner la priorité au bruit, sous forme d'action politique, s'écartant ainsi des options fondamentalement positives de l’instituteur-président?<br /> La réponse me semble se situer donc au niveau des fondamentaux de l'école.<br /> Parmi les gens qui avaient mal réagi à la parution du livre en 1962, de l'Afrique noire est mal partie, il y a le chef d'Etat guinéen aujourd'hui. Que fait-il en Guinée? Il mène le même combat que l'instituteur en formation, devenu militaire, président du Congo: Se faire bien voir par leur petit-fils, président de la France actuellement. C'est tout. Mais comment sommes-nous, nous Noirs d'Afrique?
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