Monsieur Mouyeni Ivolo, vous avez le droit de traiter le petit Pascal Tsaty de tous les noms d'oiseaux. Mais sachez que c'est tout le bureau de l'UPADS qui est complice de cette ignoble situation. Juste après les fausses élections présidentielles, les militants et les sympathisants de l'UPADS ont dénoncé l'ambiguïté des propos du petit Pascal à l'égard du PCT et de son tyran de chef : Sassou. Le bureau politique de l'UPADS n'en a pas tenu compte parce qu'ils attendaient tous que Sassou les invite à la mangeoire.
Le peuple souffre, le peuple se meurt, le peuple crie au secours et personne ne se lève pour trouver le moyen d'arrêter ce malheur. Tout ce qui intéresse les dirigeants de l'UPADS c'est le leadership, les honneurs et l'argent.
Le petit Pascal est un affidé du PCT. C'est un traître, un petit monsieur insignifiant qui n'a pas d'amour propre et qui baisse son froc pour quelques pétros-CFA. Le bureau politique qui l'a laissé à la tête du parti est aussi responsable de ce désastre.
Le petit Pascal est bakuni, c'est un rat palmiste de Loudima, ok. Mais ce qui met le pays à feu et à sang c'est la cupidité, le manque d'amour pour notre patrie et le non respect des biens publics. Le nord est cleptomane et criminel, le sud est cupide et traître. Lissouba a fait confiance aux Niboleks, il a perdu le pouvoir. L'UPADS que Lissouba vous a légué était le seul parti qui pouvait écraser le PCT et faire plier le monstre d'oyo. Sassou en avait peur. Il a compris que le seul moyen pour lui d'asseoir son pouvoir criminel était de désunir l'UPADS avec les pétros-CFA.
Connaissant la perfidie de Sassou, le bureau politique de l'UPADS ne devrait tolérer aucune faille de la part de ses dirigeants. Si aujourd'hui les Congolais souffrent, c'est parce qu'en face de Sassou il n'y a pas eu une opposition unie, ferme dans ses positions, convictions et propositions.
Les massacres du Pool, les assassinats gratuits, les humiliations, les viols, les braquages, les disparitions, les embastillements, la pédophilie, le chômage, sont les conséquences de l'absence d'une vraie opposition. Madame Munari et Mr Bowao qui essaient de dénoncer les crimes de Sassou et ses acolytes sont torpillés tout le temps. Le laxisme et la traîtrise de l'UPADS ont participé à ce désastre. Alors, monsieur Mouyeni Ivolo, si vous êtes premier secrétaire Ile-de-France de l'UPADS, assumez aussi votre part de responsabilité dans le malheur du peuple congolais.
N. Malanda, sympathisante de l'UPADS