Ce 20 mai 2015, comme annoncées, les consultations pour "la vie de la nation et de l'Etat" ont débuté au palais présidentiel à Brazzaville. Si vous voulez comprendre le mode de pensée luciférien, il vous suffit d'inverser certains mots dans les intentions affichées. Lorsque Denis Sassou Nguesso parle de "vie de la nation et de l'Etat", il entend plutôt le contraire : la "mort de la nation et de l'Etat". De toute façon, l'Etat est déjà mort puisque privatisé. La nation agonise de sa complète déconnexion avec l'Etat assassiné depuis 1997. Nous mettons en ligne la première vidéo qui montre les premiers invités à la table du croque-mort des bords de l'Alima. Parfait Kolélas, Bokamba Ya Ngouma et Bounkoulou, entre autres.
Lorsque l'on ne soutient pas une action, on ne prend pas la peine d'aller sur place pour le dire : on se contente de le montrer. Certains parleront de "respect". Quel respect ? On ne doit respecter que le respectable. Comment respecter celui qui veut tuer votre pays et votre Etat ? Les mots et les actes doivent marcher en harmonie sans le moindre écart : dire ce que l'on fait, faire ce que l'on dit. Autrement, c'est de l'hypocrisie, de la manipulation...
En ce moment même, la réaction de nos jeunes frères sur la place de Paris n'a pas tardé : ils ont occupé l'ambassade du Congo en France, une ambassade dont le personnel serait en fuite - selon Brazza News. Nous attendons d'avoir plus d'informations...